La cabale
Depuis le 11 septembre, les Etats-Unis se sont lancés dans une guerre au terrorisme, au nom du monde "libre". Cette vision - impériale - n'a rien de surprenant pour un pays qui, guerres mondiales mises à part, a dépêché des troupes dans 28 pays en un siècle !
Premier bénéficiaire de cette frénésie interventionniste : le complexe militaro-industriel, dont la menace fut jadis prophétisée par le président Eisenhower. 50 ans plus tard, à l'heure de la présence américaine en Irak, le Pentagone (ministère de la Défense, nda) absorbe à lui seul les trois quarts des dépenses militaires de la planète.
La démocratie américaine peut-elle survivre à un tel appétit pour le recours à la force ? Dans ce film, Karen Kwiatkowski, ex-militaire de carrière, et Joe Trento, écrivain, racontent les ressorts d'une addiction à la guerre sans cesse croissante.
Ils reviennent pour cela sur la genèse de la guerre d'Irak, la sophistication criminelle du "scénario" servi à l'opinion à propos des armes de destruction massive. Ils détaillent le mensonge fait au peuple américain, au Congrès, aux alliés, aux Nations Unies, au monde... et ses dégâts politiques.
Jamais auparavant la Maison Blanche n'avait initié un conflit de cette envergure sur un tel mensonge et pour des raisons aussi éloignées des intérêts supérieurs de la nation américaine. Pour nos personnages, la guerre d'Irak constitue un "détournement de la nation". Elle est le prototype de la guerre de l'avenir, la "guerre éternelle, sans claire définition de la victoire", alimentée par la création permanente "d'ennemis imaginaires". Sombre bilan, à l'heure de l'actuelle, de la "crise iranienne".
A partir de la genèse du fiasco irakien, ce film s'offre comme une plongée sur Washington et ses arcanes, un monde secret aux mains de marchands d'influence prospérant sur le sang des autres. Parmi eux, le principal architecte de la guerre d'Irak : le vice-président Dick Cheney.
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