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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

Des espions dans l'espace



Dans leur course effrénée à la conquête de l'espace, Américains et Soviétiques ont aussi cherché à se surveiller mutuellement.

Les Soviétiques prennent les Américains de court en lançant dès 1957 le satellite Spoutnik. En août 1961, la NASA envoie Corona, satellite espion censé prendre des photos du territoire de l'URSS et de ses bases secrètes. Sauf que les clichés réalisés par cette petite merveille technique ne montrent qu'une mer de nuages au-dessus de l'empire ennemi. Les services de renseignements imaginent alors que des espions humains pourraient prendre des images fiables en embarquant à bord de satellites qui, en orbite, survoleraient toutes les quatre-vingt-dix minutes les immenses espaces soviétiques. La CIA confie alors à l'US Air Force le soin de former des pilotes et des astronautes pour participer au projet ultra secret de laboratoire spatial baptisé Manned Orbiting Laboratory (M.O.L.). De leur côté, les Soviétiques planchent sur leur programme Almaz ("diamant"), dédié lui aussi aux missions d'espionnage.
Pour la première fois, des vétérans russes et américains qui ont participé aux formations d'astronautes et de pilotes-espions, témoignent et montrent comment ces projets ont marqué la recherche spatiale jusqu'à aujourd'hui. 





Partie 1 :











Partie 2 :











Partie 3 :








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Infrarouge : Au nom de la science


Malgré sa violence, cette enquête est bien plus qu'un inventaire cauchemardesque, une variation de plus sur le grand complot mondial contre notre santé. Cette synthèse passionnante est surtout un outil formidable de compréhension des mécanismes de recherche, de production et de contrôle des industries militaires et de la santé. Pour la première fois, industriels et organismes d'état sont mis face à leurs responsabilités. A l'heure où notre regard sur la médecine évolue de jour en jour, où un changement profond de nos modes de consommation des produits de santé s'impose, Au nom de la Science est un appel à la vigilance, une clé essentielle pour ne plus subir, mais combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements... au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d'un siècle d'expérimentation secrète sur l'être humain.


En 2002, la ville de Vienne a fait enterrer avec les honneurs 750 cerveaux et têtes de petites victimes découverts dans les sous-sols du Spiegelgrund. Au total, ce sont 5000 enfants qui sont morts des suites de privations, sur-doses médicamenteuses et/ou opérations chirurgicales barbares dans cette clinique où sévissait, à l'époque du nazisme, le docteur Heinrich Gross.

Jugé en 1950, le psychiatre sera relaxé et autorisé à travailler à nouveau au Spiegelgrund, où il poursuivra ses expériences sur les dépouilles des enfants assassinés, jusqu'en 1981. Pire encore, Gross, qui a eu la bonne idée de s'inscrire au Parti social-démocrate après la guerre, dirigera un prestigieux institut scientifique, sera un expert judiciaire réputé et se verra remettre la Croix d'honneur pour les sciences et l'art. Un deuxième procès a bien débuté en 2000 mais pour être aussitôt ajourné (suspendu son procès pour le reconduire) mais cela sans fixer de dates précises.

Motif : le bon docteur Gross, 84 ans à l'époque, a été jugé dans l'incapacité à comparaître à cause de sa «santé fragile».

Le film de Joe Berlinger mérite pourtant la plus large audience, pour son enquête sur l'un des (nombreux) épisodes tabous du passé nazi en Autriche : un programme de recherches prétendument médicales sur des enfants considérés comme handicapés physiques et mentaux.




Documentaire interdit au moins de (-12)


Partie 1 :












Partie 2 :












Partie 3 :








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Juin 1967, la guerre des six jours


UN DOCUMENTAIRE EN DEUX PARTIES D’ILAN ZIV, EN COLLABORATION AVEC SERGE GORDEY ET JON KALINA


Traumatisme indélébile pour les Arabes, victoire empoisonnée pour Israël, la guerre des Six Jours constitue un tournant majeur dans l'histoire du Moyen-Orient. Quarante ans après, décryptage minutieux du conflit et de ses conséquences.




Le bruit des armes (1/2)


14 mai 1967. Nasser est informé par les Soviétiques qu'Israël s'apprête à attaquer la Syrie dans les prochains jours. Ayant conclu un pacte avec Damas, le raïs entreprend de dissuader ses voisins israéliens par des mouvements de troupe. Bientôt piégé par son image de figure providentielle du monde arabe, Nasser ne peut éviter l'engrenage. En face, moins charismatique, Levi Eshkol, Premier ministre et ministre de la Défense israélien, doit lui aussi répondre à la pression de son opinion. Les Arabes sont convaincus de la victoire, a fortiori depuis le ralliement de la Jordanie. De part et d'autre, la propagande accroît les tensions, alors que les forces de l'ONU sont priées par l'Égypte de déserter la frontière. Les réfugiés palestiniens, eux, se prennent à rêver d'un retour chez eux.




De la guerre à l’occupation (2/2)


L'Égypte ayant violé les accords de 1956, Israël lance le 5 juin 1967 une "attaque préventive". En six jours, elle neutralise l'armée égyptienne, repousse l'agression jordanienne et occupe le Golan syrien. De nouvelles frontières sont définies. La Cisjordanie, la péninsule du Sinaï, le plateau du Golan et la bande de Gaza passent sous contrôle israélien, comme Jérusalem-Est, jusque là sous administration jordanienne. Une défaite cruelle pour les Arabes qui, humiliés, voient s'effondrer leur rêve d'une nation unie.


Infernale spirale

Mêlant habilement images d'archives et nombreux entretiens, le film, tourné en Israël, en Égypte, en Syrie et en Jordanie, retrace avec précision l'enchaînement des faits et les stratégies imaginées de part et d'autre pour ne pas perdre la face. En filigrane, le récit croise les portraits de Levi Eshkol et de Nasser, des hommes au tempérament opposé mais qui échoueront l'un et l'autre à maîtriser le destin de leur pays. Une manière de souligner la confusion entretenue par la propagande et l'influence des grandes puissances dans ce tournant de l'histoire du Moyen-Orient. L'amertume qui émerge des témoignages, dont plusieurs inédits, montre combien, depuis quarante ans, cette guerre n'en finit pas de hanter les mémoires. L'impérieuse victoire du petit État d'Israël et l'indélébile humiliation des peuples arabes marquent surtout le terme cruel d'un rêve panarabe et le début de la spirale infernale de violence dans la région. Occupation, désespoir palestinien, terrorisme, représailles : l'impasse perdure.







Pour le moment je ne peux partager avec vous que la seconde partie car je n'ai pas chargé la première partie des 2 volets de ces documentaires, ce sera fait sous peu!






Seconde partie : "DE LA GUERRE A L'OCCUPATION"




Partie 1 :











Partie 2 :











Partie 3 :


93 La belle rebelle


Du rock au slam en passant par le punk et le hip-hop, histoire d'une résistance musicale dans le 93. Un vibrant hommage à une culture née du béton et de la révolte.


Département emblématique des banlieues françaises, la Seine-Saint-Denis, étiquetée du médiatique label 9-3, incarne depuis le début des années 1960 le cliché d'une jeunesse en colère, stigmatisée comme graine de "voyous" ou plus récemment de "racailles". Une image à laquelle le réalisateur Jean-Pierre Thorn a décidé de tordre le cou en redonnant toute sa valeur à un demi-siècle de contre-culture musicale, et aux voix souvent réprimées d'un territoire en perte d'identité, mais jamais en mal de vitalité... Du concert mythique de la Nation en 1963 au slam d'aujourd'hui en passant par le punk et bien sûr la grande vague hip-hop, le documentaire retrace les différentes étapes d'une résistance musicale intimement liée à la réalité sociale et populaire dont elle est issue. Une épopée racontée par quelques-uns de ceux qui en ont fait la richesse et la créativité : Daniel Boudon, chaudronnier et batteur d'un groupe rock au début des années 1960, Marc Perrone, promoteur du folk dix ans plus tard et précurseur du slam, Loran de Bérurier Noir, icône de la génération punk, DJ Dee Nasty, artisan de la culture hip-hop française, le rappeur Casey, associé au rockeur radical de Zone Libre (ex-Noir Désir) et le slameur D' de Kabal. De larges extraits de concerts (NTM, Bérus...) et des archives percutantes racontent ainsi l'histoire d'une banlieue minée par une politique urbaine anarchique, des mutations industrielles successives, la désillusion politique et l'indifférence, voire l'agression, des pouvoirs publics : un terreau fertile, où culture et pensée ne cessent de se réinventer.

























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L’horrible vérité commence à se faire jour sur les dirigeants européens


Article source d'Agoravox



C’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance du dernier article du journaliste britannique Ambrose Evans-Pritchard - dans le journal Daily Telegraph du 16 novembre - sur la crise irlandaise et européenne.
Et c’est pourquoi je prends l’initiative de vous en recommander la lecture ci-infra.



D’abord parce que son auteur est l’un des meilleurs journalistes du Royaume-Uni, et sans doute l’un des meilleurs journalistes du monde. Il continue, contre vents et marées, à faire son métier de journaliste, dans le sens le plus noble du terme. C’est-à-dire un métier d’investigation qui se fait un point d’honneur à découvrir la vérité derrière les mensonges officiels de tous les pouvoirs, puis d’en informer fidèlement et sans détours ses concitoyens, fussent-ils « sujets britanniques » dans le cas d’espèce. Pour ceux qui ont déjà vu mes conférences, Ambrose Evans Pritchard est d’ailleurs le journaliste dont je cite l’article du 17 septembre 2000 puisqu’il fut l’un des seuls, sinon le seul, à faire état des documents « Confidentiel Défense » déclassifiés à l’été 2000 par l’administration Clinton. Le journaliste du Daily Telegraph est ainsi le seul journaliste à avoir révélé que ces documents prouvaient - de façon on ne peut plus officielle - que la totalité de la construction européenne a été pilotée en sous-main par les autorités de Washington et leurs relais, tout au long des années 1950 et 1960 (les années après 1970 étant encore couvertes par le Secret Défense).
 
Ensuite, l’article d’aujourd’hui m’a d’autant plus frappé qu’il m’a semblé, à plusieurs reprises, avoir été écrit par moi-même ou par l’un des adhérents de l’UPR ! Quoi que je n’aie jamais rencontré Ambrose Evans-Prichard et qu’il vive dans un pays et un milieu socioprofessionnel fort différents des miens, ce journaliste talentueux est arrivé, par son travail sans relâche et ses investigations sans complaisance, à des analyses et à des comparaisons qui sont au fond exactement les nôtres. C’est bien la preuve que l’honnêteté intellectuelle et la vérité ne connaissent pas de frontière. Et c’est aussi la preuve, très porteuse d’espoir, qu’à travers toute l’Europe des forces sont en train de se lever pour briser la dictature impitoyable qui s’est mise en place sous couvert de « construction européenne » et pour rendre aux différents peuples d’Europe leur grandeur et leur bonheur, qui ne peuvent bien entendu aller de pair qu’avec leur liberté.

Comme on va le lire, les mots employés par Evans-Pritchard sont d’ailleurs très forts puisqu’il n’hésite pas à qualifier l’Union européenne d’organisation « proto-fasciste ». Et il a raison de le faire. De même qu’il a parfaitement raison de démonter – dans le cadre étroit d’un article de journal s’entend – le mécanisme absurde de l’euro, qui ne peut conduire qu’à son éclatement et à la destruction de l’Union européenne. Ceux qui ont assisté aux conférences que je fais depuis trois ans, et notamment à ma conférence sur la sortie de l’euro que j’ai faite depuis plusieurs mois, retrouveront des points communs, nombreux et évidents, avec mes propres analyses.

Enfin, qu’il me soit permis ici de dresser un triste constat sur la disparition de la liberté de penser et de publier en France.

Le Daily Telegraph, qui est l’un des journaux les plus anciens et les plus sérieux du monde, a fait d’Ambrose Evans Pritchard l’un de ses journalistes vedettes et lui ouvre grand ses colonnes pour publier l’article qu’on va lire. Ce journal et ce journaliste représentent à mes yeux ce qu’a de plus grand le peuple britannique : à savoir un goût inné pour le débat démocratique vrai, envers et contre tout.

Quel serrement de cœur ne m’étreint-il pas quand je pense qu’un tel article, dans un média de tout premier plan et sous la plume d’un journaliste de grand renom, est en revanche tout simplement impossible en France ! Dans le meilleur des cas, les médias français consentent de mauvaise grâce (et avec des arrière pensées calculatrices) à accorder, à dose homéopathique, un « point de vue » mal argumenté et faussement iconoclaste à telle ou telle personnalité politique connue pour son extrémisme ou pour sa complaisance avec les partis en place.

Jamais nos grands médias n’accordent de place à des analyses (et à des grands journalistes) lucides, honnêtes, démocratiques et sereines, donc réellement convaincantes - comme celles d’Ambrose Evans-Pritchard. Le regretté Maurice Allais en savait quelque chose. J’en sais moi aussi quelque chose, et vous avec moi, puisque, nonobstant la mobilisation de tous, nous n’arrivons toujours pas à obtenir un temps d’antenne dans les émissions, pourtant prétendument iconoclastes, de MM. Taddeï ou Bourdin par exemple.

Que chacun et chacune d’entre vous médite bien cet état d’asservissement des médias français et le fasse savoir tout autour de lui (ou d’elle). Car c’est là, principalement, que réside désormais le dernier verrou qui maintient les Français dans l’état d’hébétement qui empêche leur libération. Il est de notre devoir, à tous, de diffuser nos analyses, et aussi celles qui vont dans le même sens, comme cet article ci-après que je vous suggère de diffuser largement.


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L’article d’Ambrose Evans Pritchard auquel je fais allusion s’intitule The horrible truth starts to dawn on Europe’s leaders et est disponible librement à la lecture en anglais sur le site Internet du Telegraph, à l’adresse http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100008667/the-horrible-truth-starts-to-dawn-on-europes-leaders/

Pour ceux qui ne lisent pas l’anglais, je me suis essayé à une traduction que je vous propose de consulter sur notre site internet. Elle ne vaut que ce qu’elle vaut et je ne prétends pas être un interprète hors pair.

J’espère néanmoins que cette lecture vous fortifiera dans la conviction que l’UPR est le seul mouvement politique qui ait une claire conscience des très graves enjeux du moment et qui propose aux Français la voie de sortie la plus sereine et raisonnable qui soit.

Quant à ceux qui nous critiquent, ils feraient bien de faire leur examen de conscience et d’y réfléchir à deux fois. Car le temps risque de venir vite où une sortie, en bon ordre et sans drame, de l’euro et de la funeste utopie européiste leur apparaîtra comme un moindre mal. Espérons qu’il ne sera pas alors trop tard.
L’UPR est le seul mouvement à proposer cette sortie politique et en bon ordre. À défaut d’UPR, il se pourrait bien que tout se termine en cauchemar et dans la rue, comme semble le craindre lui-même le journaliste du Daily Telegraph.



François ASSELINEAU







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Corée du nord - Le chantage nucléaire


Lancement d’un missile balistique longue portée début avril (sensée mettre en orbite un satellite "diffusant des chants patriotiques »), essai nucléaire le 25 mai, lancement de 7 missiles le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. L’agenda 2009 de la Corée du Nord est plutôt chargé. A première vue, le dernier État stalinien du monde mène un combat d’arrière-garde teinté de paranoïa. Les médias occidentaux avancent la folie du régime, les sud-coréens oscillent entre l’exaspération, la crainte et l’indifférence, les Japonais sont inquiets et les Chinois embarrassés. L’ONU avait préalablement adopté les résolutions 1695 et 1718 prévoyant l'embargo de tout matériel permettant la mise au point de fusée et d'armes nucléaires. Ces différentes réactions ne sont pas seulement conséquences des agissements du régime de PyongYang. Elles sont au cœur de sa stratégie. Et pour comprendre cette stratégie, il faut connaître le contexte interne, la position des pays voisins et l'engrenage qui en découle.






Partie 1 :



Corée du Nord - Le Chantage Nucléaire - 1ère Partie
envoyé par alexmcfc49. - L'actualité du moment en vidéo.









Partie 2 :



Corée Du Nord - Le Chantage Nucléaire - Partie 2
envoyé par alexmcfc49. - L'info video en direct.









Partie 3 :



Corée du Nord - Le Chantage Nucleaire - Partie 3
envoyé par alexmcfc49. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Gmail : quand Google vous lit...


Article source de Centpapiers






Une entrée fracassante :


Alors que Microsoft et Yahoo ! se partageaient respectivement 33% et 30% de parts de marchés, Google est arrivé en trombe en mars 2004 avec son service Gmail.
Alors que ses concurrents ne proposaient que quelques Mo de stockage, Gmail offrait un espace de stockage d’1 Go dès son lancement (il est aujourd’hui d’environ 2,5Go). Le slogan était alors : “pour que vous n’ayez plus besoin de supprimer vos mails…”.



Un marketing basé sur l’élitisme


Pour son lancement, Google a d’ailleurs adopté une démarche marketing qui a fait ses preuves : l’élitisme. Pour avoir un compte Gmail, il fallait au préalable avoir été invité. Cette technique a eu pour effet de renforcer la valeur perçue, à tel point que certaines invitations se sont vendues jusqu’à 150 dollars sur eBay.
Les utilisateurs étaient alors ravi de figurer parmi les privilégiés et de disposer d’1 Go de stockage, se disant alors que Google ne pensait qu’au bien être de l’internaute.
Oui mais voilà, cette capacité de stockage, bien supérieure à celle offerte par ses concurrents, couvrait en réalité des objectifs stratégiques et commerciaux bien moins humanistes…



Quand Google lit nos conversations…


Le but caché de Google au travers de Gmail est de collecter un maximum d’informations sur les membres pour (dans un premier temps ?) leur proposer des publicités ciblées. Tout est fait pour que les membres puissent conserver un maximum d’informations et s’échanger nombre de fichiers.
Tous les messages sont scannés par les robots de Google pour en détecter le sens, y associer des mots-clés et donc de la publicité ciblée via le système AdSense.
Or, la loi du 10 juillet 1991 prévoit la confidentialité des mails et le secret des correspondances privées. Google ne respecte pas non plus la loi du 6 janvier 1978 sur la protection de la vie privée.
Défense de Google ? Les dirigeants se contentent de dire que les mails sont lus par des robots et non des humains. Rassurez-vous, ce ne sont que des machines qui tentent de décrypter notre tempérament et d’anticiper nos comportements…



Privacy international saisi la commission européenne :


Plus grave encore : le non respect de la protection privée ne concerne pas uniquement les utilisateurs de Gmail mais également l’ensemble des personnes envoyant des mails à une adresse Gmail.
C’est pourquoi, l’organisation Privacy International, a dans un document de 13 pages (voir pdf) porté plainte auprès de la commission européenne et des membres du groupe Article 29 (représentants européens de la protection des données personnelles).
L’organisation a ainsi saisi les autorités de 15 pays européens (parmi lesquels la France). Elle a également porté plainte au nom du Canada et de l’Australie.
De même, 31 organisations de différentes nationalités ont rédigé un courrier adressé aux dirigeants de Google pour leur demander de revoir leur position quand au non respect de la vie privée des internautes.
Liz Figueroa, sénatrice de l’Etat de Californie avait fait en 2004 une proposition de loi visant à empêcher une société de prendre connaissance du contenu des messages.
Phénomène étrange, depuis ces nombreuses plaintes et contestations, plus aucune nouvelle… Nous écrivons actuellement à Privacy International et la CNIL afin d’avoir plus d’informations sur les suites de cette affaire. Si vous avez une quelconque information, merci de nous la communiquer.
En tout cas, Gmail n’a pas été interdit et ne se prive pas de stocker une foule d’informations à partir des mails reçus et envoyés. Pour le moment, ces informations sont utilisées pour proposer aux membres de la publicité ciblée. Mais difficile de garantir l’utilisation de ces données sur le long terme…



Gmail : un service peu sûr


Hormis ces craintes relatives à nos données personnelles, le service Gmail a connu quelques déboires…
En décembre dernier, certains utilisateurs ont perdu l’ensemble des messages stockés dans leurs boîtes de réceptions. Google avoue ne pas avoir de réponses et s’est contenté de présenter ses excuses.
De même, Google a récemment corrigé une faille dans son service. Un simple code Javascript suffisait jusqu’alors pour récupérer les contacts et messages d’un membre. Rassurant…

Alors chers lecteurs, toujours confiant dans la protection de vos données personnelles ?



Youri Regnier








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Le FBI veut un accès aux données privées de Facebook

L'Argent Dette (de Paul Grignon)

Le FBI veut un accès aux données privées sur Facebook


Article source de Centpapiers

Mardi, le directeur du FBI s’est rendu dans la Silicon Valley pour rencontrer plusieurs responsables de services en ligne. Parmi ces derniers, le patron de la police fédérale américaine a rencontré des représentants de Google et de Facebook. Il a défendu devant eux le principe d’une extension de la surveillance en ligne.






Le FBI aura-t-il bientôt un accès privilégié aux informations personnelles hébergées par certains services en ligne ? C’est en tout cas ce que souhaite son directeur, Robert Mueller. En poste depuis 2001, celui-ci s’est rendu mardi dans la Silicon Valley, en Californie, pour rencontrer plusieurs hauts responsables de ces services Internet, a révélé hier le New York Times.

Le chef de la police fédérale américaine a notamment rencontré des représentants de Google et de Facebook, dont les services en ligne sont particulièrement populaires auprès de nombreux internautes. Accompagné de l’avocate générale du FBI, Valerie Caproni, Robert Mueller a défendu le principe d’une surveillance accrue des activités en ligne, à travers l’extension de la loi américaine Communications Assistance for Law Enforcement.

Ce texte, passé en 1994 sous la présidence de Bill Clinton, est le cadre légal des écoutes aux États-Unis. Elle permet au FBI de procéder à des interceptions sur des lignes téléphoniques et au niveau des routeurs des fournisseurs d’accès à Internet. Or, celle-ci souffre d’une certaine obsolescence face à certains nouveaux moyens de communication.

Le déplacement de Robert Mueller dans la Silicon Valley montre que le FBI veut obtenir la coopération des services en ligne, dans la mesure où Internet devient le principal moyen de communication des individus. Pour faciliter le travail d’investigation et de surveillance de l’agence, Robert Mueller est partisan d’une révision de la loi de 1994, afin d’imposer une nouvelle réglementation aux services Internet.

Ni Google ni Facebook n’ont commenté la visite du directeur du FBI. Tout juste le porte-parole du réseau social a confirmé qu’il s’était bien rendu au siège de l’entreprise, a indiqué le New York Times. Signe que le FBI prend ce dossier très à cœur, la presse américaine avait estimé que l’agence avait déboursé 9,75 millions de dollars pour inciter les éditeurs de services en ligne à développer des solutions d’écoute des communications.

En septembre, les autorités américaines ont demandé au Congrès de soutenir un projet de loi qui obligerait tout les éditeurs à l’origine d’un service de communication de garantir la possibilité d’une interception électronique. Dans le cas d’une solution chiffrée, comme avec les appareils BlackBerry, les sociétés auraient l’obligation de concevoir une méthode de déchiffrement destinée aux autorités, dans le cadre d’une instruction judiciaire.







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Pir@tage

Le monde selon google

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Le monde selon Monsanto

Le prix des aliments pourrait augmenter de 20% selon l'ONU

Tabac, alcool : poison en vente libre


En étudiant l’action des drogues sur le cerveau, les scientifiques pénètrent le fonctionnement de la conscience humaine.

Le tabac et l’alcool sont les drogues les plus consommées dans le monde. On sait aujourd’hui que la nicotine n’est pas la seule responsable de la dépendance au tabac. Ses complices se trouvent parmi les quelque quatre mille composés chimiques dégagés par la fumée de cigarette. Quant à l’alcool, les scientifiques le surnomment la “drogue sale”. Il s’insinue dans des dizaines de circuits du cerveau et y fait des dégâts considérables. Plusieurs gènes impliqués dans la vulnérabilité à l’alcoolisme ont pu être identifiés.





Partie 1 :











Partie 2 :









Partie 3 :







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Partie 1 :











Partie 2 :









 Partie 3 :






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La  vision des couleurs

La balistique


La balistique est la science du mouvement, de la trajectoire et de l'impact d'un projectile ou d'une balle.


Il existe des balles de toutes formes et de toutes tailles pour blesser ou tuer.
"Grâce" aux progrès de la balistique nous sommes passés de la simple boule de plomb utilisé au 17e siècle à des projectiles sophistiqué pouvant infliger de sévère dégâts. Les armes elle aussi on évolué en parallèle augmentant ainsi l'efficacité, la précision et par la même occasion transformer la chair humaine en bouillie.  




Partie 1 :


 







Partie 2 :









 
Partie 3 :











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Le prix des aliments pourraient augmenter de 20% prévient l’ONU!


 Article provenant de Realinfo


Traduction google:


"Aujourd’hui, l’ONU a averti que les prix alimentaires pourraient augmenter de 10% -20% l’an prochain après les mauvaises récoltes et une diminution des effectifs attendue des réserves mondiales. Plus de 70 pays africains et asiatiques seront les plus durement touchés, a déclaré l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture dans son rapport mensuel.
 
Dans ses sombres prévisions depuis la crise alimentaire 2007/08, qui a vu des émeutes dans plus de 25 pays et 100 millions de personnes supplémentaires souffrant de la faim, les auteurs du rapport a exhorté les États à se préparer à des difficultés.

«Les pays doivent rester vigilants face à des chocs d’offre», avertit le rapport. «Les consommateurs peuvent avoir d’autre choix que de payer des prix plus élevés pour leur nourriture. La taille de la récolte de l’an prochain devient de plus en plus critique. Pour les stocks de se reconstituer et retour des prix à des niveaux plus normaux, les expansions de production importants sont nécessaires en 2011. »

Les prix du blé, de maïs et de nombreux autres aliments commercialisés au niveau international ont augmenté de près de 40% en quelques mois. Sucre, beurre et les prix du manioc ont atteint des sommets de 30 ans, et de la viande et le poisson sont à la fois beaucoup plus cher que l’an dernier.

L’inflation des prix des aliments – alimentée par la spéculation des prix, la vague de chaleur torride en Russie à l’été et lourds négociation sur les marchés à terme – est maintenant en cours d’exécution jusqu’à 15% par an dans certains pays. Selon l’ONU, international factures d’importations alimentaires pourrait franchir le seuil 1TN $, dont les prix sont dans la plupart des produits en forte hausse à partir de 2009.

L’extrême volatilité sur les marchés mondiaux a pris la décision de l’ONU par surprise et l’a forcée à revoir ses prévisions pour l’année prochaine. «Rarement avons exposé les marchés ce niveau d’incertitude et de virages brusques dans un si court laps de temps. La production céréalière mondiale de cette année, qui est actuellement mis à 2.216 millions de tonnes, est inférieur de 2% les niveaux de 2009, 63m de tonnes de moins que les prévisions signalées dans juin », ont souligné les auteurs.

« Contrairement aux prévisions antérieures, la production céréalière mondiale est maintenant estimée à contracter de 2% plutôt que de développer de 1,2%, comme prévu en Juin, disaient-ils.

réserves alimentaires mondiales, qui s’élèvent actuellement à environ 74 jours, on s’attend maintenant à diminuer sensiblement au cours des prochains mois. «Réserves de céréales peut baisser d’environ 7%, l’orge près de 35%, le maïs et le blé de 12% à 10%. Seuls les réserves de riz devraient augmenter de 6% l’an prochain», a déclaré le rapport.

Une grande partie se trouve maintenant sur les récoltes de l’année prochaine, il a dit. « Les prix internationaux pourrait augmenter encore plus si l’année prochaine production n’augmente pas de manière significative -. Notamment dans le maïs, le soja et le blé Même le prix du riz, dont la fourniture est plus adéquate que d’autres céréales, peuvent être affectés si les prix des denrées alimentaires d’autres grands cultures continuer à monter.  »

Mais les analystes des aliments a déclaré les perspectives d’une récolte mondiale record de l’an prochain sont minces. «2011 ne sera pas une bonne récolte. L’état des cultures de blé d’hiver n’est pas bon. Ni les États-Unis ni la Russie sont bonnes récoltes», a déclaré Lester Brown, fondateur de l’Institute de Washington Worldwatch.

«Les plus pauvres souffriront le plus car ils se sentent l’effet des hausses de prix directement. Aux États-Unis et en Europe, le blé ne peut prendre jusqu’à 10% du prix d’une miche de pain. » "

http://www.sott.net/articles/show/218012-Food-prices-may-rise-by-up-to-20-warns-UN







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Article tiré d'Agoravox, écrit par Reopen911





Tout récemment, l’ingénieur chimiste Mark Basile a confirmé, après analyses, la présence de matériaux hautement inflammables de type nano-thermite (une substance exothermique Hi-Tech à usage exclusivement militaire capable de fondre l’acier instantanément) dans les décombres du World Trade Center [voir son interview filmée], corroborant les résultats d’analyses du physicien Steven Jones, du chimiste Niels Harrit de l’Université de Copenhague, et plus récemment du géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau dont nous avions publié l’étude en exclusivité sur notre site en mai 2010.

Ces analyses doivent-elles êtres considérées a priori comme farfelues ? L’avis de ReOpen911 est clair : cela n’est tout simplement pas possible. En effet, outre le fait que leurs auteurs sont des experts au CV bien rempli et parfaitement crédibles, la théorie de la démolition contrôlée par ajout d’énergie extérieure (que ce soit par des explosifs ou des substances exothermiques) est, en toute objectivité, la seule qui à ce jour parvient à expliquer l’ensemble des phénomènes observés :

  •  La quasi parfaite symétrie des trois effondrements.
  • L’observation de projections horizontales et « explosives » de matériaux lors de l’effondrement des Tours Jumelles, dont des poutrelles pesant jusqu’à 20 tonnes [voir l’analyse en images de ces éjections par le professeur de physique David Chandler].

  

Effondrement du WTC2 : sa masse est projetée dans toutes les directions 

  

Ejections "explosives" de matériaux sous le rideau de débris en chute libre 

  

Poutre encastrée dans une tour située à plus de 100 m du WTC

  • La présence d’acier en fusion dans les ruines du WTC.

  

Acier en fusion dans les ruines du WTC

  

Image satellite du 16 sep.01 montrant des sources de chaleur thermique "anormales"

    

Eléments d’acier et de béton compactés et fusionnés

Les études et analyses susmentionnées sont-elles pour autant dans le vrai ? Il n’appartient pas à l’association ReOpen911 de s’autoproclamer arbitre et de porter un jugement définitif sur cette question. Toutefois, la situation est à présent la suivante : nous observons une vive et incessante accéleration du rythme de publication d’études et d’analyses scientifiques qui réfutent la version officielle de l’effondrement des trois tours du World Trade Center. L’opinion scientifique serait-elle en train de basculer du côté de la remise en cause de la version officielle ? Notons que les tenants de la version officielle ne sont bien souvent pas indépendants, à commencer par les experts du NIST, l’agence gouvernementale américaine qui fut chargée de l’enquête officielle sur l’effondrement des tours du WTC, et qui dépend du Département du Commerce (le président de cette agence qui rendit les rapports si controversés fut nommé par George W. Bush).
Les experts scientifiques qui contestent la version officielle, toujours plus nombreux, se sont regroupés en associations ou collectifs professionnels dédiés à la recherche de la Vérité et appelant à une nouvelle enquête :





Architects & Engineers for 9/11 Truth, une association américaine regroupant plus de 1300 architectes et ingénieurs [voir l’interview filmée du fondateur de l’association].




Scientists for 9/11 Truth, une association regroupant plus de 60 scientifiques américains de premier plan (chimistes, physiciens, geophysiciens...) [voir l’analyse du rapport du NIST sur l’effondrement des Tours Jumelles par le physicien Steven Jones et l’ingénieur chimiste Kevin Ryan].



Le Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11 Septembre, un tout jeune collectif créé en septembre 2010 qui regroupe des scientifiques francophones dont le géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau. 


Pour toutes ces raisons, l’association ReOpen911 appelle au débat public sur l’effondrement des trois tours du WTC. Les médias grand-public ont bien évidemment un rôle déterminant à jouer dans l’établissement de la vérité, fonction qu’ils assument désormais parfois (trop peu souvent encore) dans un certain nombre de pays étrangers, notamment aux Etats-Unis où même Fox News a opéré un revirement radical sur le traitement médiatique du 11-Septembre.
Le 13 novembre dernier, à peine plus d’un mois après une première émission de Fox News qui donna l’occasion au lieutenant-colonel Anthony Shaffer et à l’ancien membre de la CIA Michael Scheuer de dénoncer le fait qu’il y avait eu des dissimulations sur le 11 Septembre « aux plus hauts niveaux du gouvernement », la chaîne ultraconservatrice a invité sur la plateau de l’émission d’information « Geraldo at Large » deux personnalités du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre. L’objet de l’émission : discuter de la campagne télévisée « Building What ? » dont l’objectif est d’obtenir une nouvelle enquête sur l’extraordinaire effondrement du WTC 7, la TROISIEME tour à s’être effondrée le 11 septembre 2001.

Devant une audience de plus d’un million de téléspectateurs, le très populaire animateur Geraldo Rivera, qui jusqu’à peu était un critique virulent du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9, reconnaît à présent avoir évolué dans ses positions. Il conclut l’émission en affirmant : « C’est un sujet intriguant. Je suis bien plus ouvert à ce sujet que je ne l’étais, et c’est à cause de l’engagement des familles du 11/9, et de tous ces ingénieurs et architectes ». Son aveu résonne comme un mea culpa. Regardez cette émission de Fox News sous-titrée en français :


 


Il s’agit là d’un franc succès pour la campagne « Building What ? » dont ReOpen911 est partenaire officiel aux côtés des familles de victimes, survivants et secouristes du 11 Septembre représentés par l’association NYCCAN.
L’association ReOpen911, à l’instar du Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11-Septembre, invite les experts scientifiques francophones - physiciens, chimistes et ingénieurs du génie civil - à se pencher sur les questions que pose l’effondrement des trois tours du WTC et à réaliser leurs propres études et analyses. A leur attention, nous avons annexé à cet article une liste bibliographique regroupant les rapports officiels du NIST et une sélection d’études et d’analyses scientifiques de référence ; certaines soutiennent la version officielle, les autres la contestent. 
—La rédaction de ReOpen911—
Bibliographie


Quelques études et analyses de référence soutenant la version officielle (par ordre chronologique) :
 
Quelques études et analyses de référence réfutant la version officielle (par ordre chronologique) :

Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...