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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

La fabuleuse machine d' Anticythère


 Deux tempêtes au même endroit, à deux mille ans d’écart, ont forcé les chercheurs à changer leur regard sur le développement technologique de la Grèce antique. En 1901, des plongeurs surpris par une tempête se réfugient sur l’île d’Anticythère, entre le Péloponnèse et la Crète. L’alerte passée, ils explorent les eaux autour de l’île et découvrent, dans l’épave d’un navire naufragé un siècle avant notre ère, un formidable trésor archéologique. Parmi les statues et les pièces, un mystérieux objet de bronze de la taille d’un ordinateur portable, présentant sur ses deux faces des cadrans gradués et mobiles. Très vite on comprend que ce mécanisme permettait de présenter divers phénomènes astronomiques et de calculer les dates d’éclipses de Soleil et de Lune, ainsi que celles des Jeux olympiques.



De crise en crise, la Réserve fédérale fête ses 100 ans


Source : TribunedeGenève




Il y a presque 100 ans jour pour jour, le 23 décembre 1913, le président américain Woodrow Wilson signait la loi créant la Réserve fédérale, la banque qui allait devenir la plus puissante institution financière de la planète.


La Réserve fédérale américaine.
Image: DR


La Fed, Réserve fédérale américaine, fête ses 100 ans le 23 décembre.
Plusieurs conférences, une exposition au Musée Américain de la Finance à New York, un site internet conçu pour l'occasion commémorent ce centenaire de la Fed.
Au 19e siècle aux Etats-Unis, jusqu'à 700 banques émettaient leur propre monnaie et il n'était pas rare que les clients d'une banque se ruent au guichet pour retirer leurs avoirs tous ensemble à la moindre inquiétude, provoquant des faillites en cascades.
Deux tentatives de création de banque centrale avaient fait long feu. L'une, initiée dès 1791 du temps de George Washington et dont Thomas Jefferson ne voulait pas. L'autre, enterrée en 1836 par le président Andrew Jackson qui se méfiait d'une puissance financière centralisée.
Panique bancaire de 1907
Après une sévère panique bancaire en 1907, par ailleurs année de création de la Banque nationale suisse (BNS), «un effort national concerté pour résoudre des problèmes d'élasticité de la monnaie» est lancé, expliquait récemment un responsable de la Fed, Jeffrey Lacker.
L'idée d'une banque des banques voit le jour en novembre 1910 sur une île privée du nom de Jekyll Island, au cours d'une réunion secrète entre une poignée de banquiers influents et de dirigeants en Géorgie.
Il faudra encore plusieurs ébauches de loi, la persévérance d'un élu influent, Carter Glass, et l'élection du président Wilson pour que le pays s'accorde en 1913 sur cette réforme fondamentale alors que les Etats-Unis sont en passe de devenir la première économie mondiale.
Ben Bernanke, l'actuel président de la Fed, aime à dresser un parallèle entre la crise financière de 1907 et celle de 2008.
Points analogues
«La crise que nous avons affrontée il y a cinq ans était par bien des points analogue aux paniques auxquelles les banques centrales ont fait face pendant des siècles», a-t-il encore rappelé à l'occasion d'une cérémonie commémorant le centenaire de l'institution lundi.
Créature du Congrès, la Fed est une institution monétaire indépendante qui fournit des services financiers aux banques, supervise et régule le secteur bancaire et remplit une mission de politique monétaire, s'efforçant de maintenir des taux bas et des prix stables. Elle agit aussi en prêteur de dernier ressort. En 1978, un amendement lui a ajouté l'objectif de veiller au plein emploi.
La Grande Dépression des années 30, «la plus grande catastrophe économique de l'histoire américaine», selon les mots de Ben Bernanke, a été une des heures noires de la Fed.
Préservation de l'étalon or
Parce que la banque centrale voulait préserver l'étalon or, sa «politique monétaire restrictive a provoqué une chute des prix, de la production et de l'emploi», rappelait récemment Ben Bernanke, qui fut professeur d'économie.
«Il faut garder cela à l'esprit lorsqu'on considère les réponses de la Fed à la crise de 2008-2009», ajoutait-il, justifiant les largesses de sa politique monétaire expansionniste pour pallier l'éclatement de la bulle immobilière, la contraction du crédit et éviter les faillites retentissantes d'institutions financières.
Dans les années 80, la Grande Inflation a été une autre période de test pour la Fed. Pour juguler une hausse des prix de 14%, Paul Volcker poussa les taux jusqu'à 20%, une politique efficace mais douloureuse et impopulaire. Il en reste un souvenir à l'exposition «La Fed a 100 ans», où l'on peut voir une des nombreuses poutres en bois envoyées au patron de la Fed par des ouvriers du bâtiment désoeuvrés à cause des prêts immobiliers prohibitifs.
Les années Greenspan
Les années 90, avec Alan Greenspan aux rênes de l'institution, sont une période de Grande Expansion. Mais une baisse continue des taux après le 11 septembre 2001 a fait le lit de la bulle immobilière, selon les critiques.
Depuis cinq ans, la crise financière et la récession ont poussé la Fed en territoire inconnu avec des injections massives de liquidités. A l'heure de la transition, Ben Bernanke va passer le témoin à une femme pour la première fois. Janet Yellen doit devenir le 15e président de l'institution centenaire le 1er février 2014.(ats/Newsnet)
Créé: 17.12.2013, 10h30

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Alors que l'ancien Président de l'Afrique du Sud Nelson Mandela vient de mourir FRONTLINE retrace en un documentaire intimiste la biographie d'une des grandes figures politiques du XXe siècle.



















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En 1990, Nelson Mandela, activiste de l'ANC, le Congrès national africain, un parti politique membre de l'Internationale socialiste opposé à l'apartheid en vigueur en Afrique du Sud, est libéré après 27 ans de prison. Quatre ans plus tard, il est élu président de la République à l'issue des premières élections multiraciales organisées dans le pays. Ce documentaire revient sur cet événement historique et retrace le parcours de cet homme disparu le disparu le 5 décembre 2013, artisan de la liberté et de la justice, sans lequel personne n'aurait sans doute pu imaginer qu'un Noir, à l'instar de Barack Obama, puisse un jour entrer à la Maison Blanche.





Martin Luther King, la voie de la liberté


Retour sur le combat mené par Martin Luther King à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'un des discours les plus marquants du XXe siècle, «I have a dream». Ce dernier l'a dévoilé le 28 août 1963 sur les marches du Lincoln Memorial. Ce pasteur peu connu, à ses débuts, devient en treize ans le symbole de la lutte pour les droits civiques des Afro-Américains et, au-delà, celui du combat pour la justice et la liberté. Avant son assassinat le 4 avril 1968, l'homme a réussi à transformer la société américaine en une nation égalitaire avec son talent d'orateur. Il a fait ses débuts après le refus de Rosa Parks de laisser son siège à un homme blanc dans le bus.




Le dernier secret de Yalta


A la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés livrèrent aux Soviétiques deux millions de Russes, d'Ukrainiens, de Baltes, tous prisonniers de guerre ou engagés dans la Wehrmacht. Un accord longtemps resté secret, révélé par Alexandre Soljenitsyne dans «L'Archipel du Goulag», fut signé à Yalta entre Churchill, Roosevelt et Staline. La plupart des «rapatriés» furent exécutés, les autres ont été déportés au Goulag. Seul le Liechtenstein, une principauté coincée entre la Suisse et l'Autriche, refusa d'envoyer à une mort certaine le demi-millier de Russes qui s'étaient réfugiés sur son territoire en mai 1945.



Jackie sans Kennedy


Il y a cinquante ans, le 22 novembre 1963, le président John F. Kennedy était assassiné. Quelques mois après le drame de Dallas, Jackie Kennedy se confiait à l’historien Arthur M. Schlesinger. Rendues publiques en 2011, ces conversations dévoilent des traits méconnus, et inattendus, de la personnalité de la jeune femme.




Les poissons n’ont plus la pêche


Source (écrit par Olivier Cabanel)



Les Océans, on le sait, représentent les 71% de la surface de la terre, et si l’on considère la masse d’eau en question, le pourcentage grimpe à 98%.
Ce qu’on sait moins, c’est qu’en profondeur, de graves exactions sont perpétrées par de puissants lobbys, par l’intermédiaire de pécheurs peu scrupuleux.

Le drame se passe à l’abri des regards, par plusieurs centaines, voire milliers, de mètres de profondeur, et lorsque nous nous rendons dans notre grande surface locale, nous ignorons souvent que coquillages, poissons et crustacés qui s’offrent à nos regards ont été parfois récoltés de manière peu respectueuse sous le regard bienveillant de la direction de la grande surface, qui est en fait le principal responsable de ce scandale.
3 entreprises françaises pratiquent cette pêche, et la flotte la plus importante est celle des magasins « Intermarché » avec 6 navires de grands fondslien
Ces navires-usines mesurent en moyenne 50 mètres de long, et les plus gros, les chalutiers-congélateurs, peuvent atteindre 150 mètres de long, transportant des milliers de tonnes de poissons dans leurs cales. lien
Pour de nombreux observateurs, dont Greenpeace, d’ici 2048, il n’y aura plus aucun poisson dans nos océans. lien
L’amateur de poisson rétorquera que la plupart des poissons proposés proviennent aujourd’hui d’élevages, sauf que, connaissant les méthodes discutables pratiquées, le consommateur finalement préfère acheter du poisson sauvage, lequel n’est pas, comme ses cousins d’élevage, nourris aux farines animales.
Des zones d’élevages concentrationnaires, provocant diverses maladies, apparition de parasites, de malformations, nécessitant l’utilisation massive d’antibiotiques, la dispersion de pesticides sur les poissons, mettant en doute aujourd’hui la qualité sanitaire des poissons proposés à la vente ont largement déçu les consommateurs avisés. lien
Bien sur la règlementation est stricte et permet au consommateur de savoir si le poisson est pêché en eau douce, en mer, élevé, sa zone d’origine, mais est-ce suffisant ? lien
Du coup, la seule solution acceptable est de créer un peu partout, dans les mers, les océans, des réserves qui couvriraient 40% de la surface de ceux-ci, alors qu’aujourd’hui, un seul tout petit pourcent fait l’objet d’une protection.
Alors bien sur, certaines grandes surfaces, dont Casino, par exemple, ont pris les devant, décidant de bannir en 2014 tous les poissons issus de la pêche profonde. lien
Le responsable majeur de tous ces dégâts est bien sur le chalutage de grande profondeur qui par les méthodes utilisées racle, à l’aveuglette, à l’aide de ses filets géants lestés de plaques métalliques, les fonds marins provocant des dommages irréversibles sur la faune et la flore sous marine jusqu’à 4000 mètres de profondeur.
98,5% des captures d’espèces de poisson de grande profondeur péchées en France le sont par seulement9 navires, soit le 1% de la flotte française, et selon une étude réalisée par la commission européenne, si771 navires pêchent plus de 10% des espèces profondes une fois par an, seulement 11 navires capturent plus de 10% des espèces profondes plus de 3 jours par an. lien
Mais les chaluts ne sont pas sélectifs, et pour 3 espèces de poissons recherchées par les pêcheurs, plus d’une centaine d’autres sont rejetées à la mer, morts bien évidemment, représentant entre le 1/3 de la pêche et les 9/10ème suivant les lieux de pêche. lien
Les fonds marins sont habités par des espèces surprenantes comme le Siphonophore géant, qui avec ses 100 mètres de long rendrait jaloux n’importe quelle baleine. lien
Mais une chose est certaine, on ne sait pas grand-chose sur ce qui vit au fond des mers, d’autant qu’on découvre un nouvel animal toutes les 2 semaines, et qu’on estime que seul 1% de ce qui vit dans nos océans a été échantillonné.
De plus ces chaluts détruisent les coraux, ceux là même pour qui peuvent atteindre 4200 ans.
Toutes les espèces sont menacées, comme par exemple la Lingue bleue, appelée communément laJulienne, un poisson carnivore qui peut atteindre 1,60 mètrelien
Ce chalutage de grande profondeur est responsable, d’après le CIEM (conseil international pour l’exploration de la mer), d’une chute des stocks de Julienne de l’ordre de 75%, et si des quota de pêche sont passé de 20 000 en 1988, à 6000 en 2004, faisant estimer par l’Ifremer en 2006 qu’il fallait arrêter de pécher ce poisson, et provoquant en 2008 la décision de fixer un quota à 2102 tonnes pour l’union européenne, légèrement augmenté en 2011 à 2598 tonneslien
Mais la Julienne n’est pas le seul poisson menacé, il faut évoquer aussi le Sabre noir, le Grenadier, l’Empereur, poissons dont on connait mal le taux de reproduction.
Ce Sabre noirun carnivore qui vit une trentaine d’années, jusqu’à 1600 mètres de profondeur, à proximité des volcans sous marins, peut atteindre 1,5 mètre et si on n’a peu d’éléments sur sa croissance, on sait en tout cas qu’elle est très lente. lien
Comme sa peau est très fragile, il est généralement abimé par les chaluts, et on le retrouve sur les étals sous forme de filets. lien
On sait aujourd’hui que 80% d’entre eux ont été détruits en 30 anslien
Quand aux Grenadiers, qui peuvent vivre jusqu’à 60 ans, qu’ils soient « de roche », ou « berglax  », leur déclin est de 93,3% pour le premier, et de 99,6 pour le second sur une période de 26 ans. lien
L’Empereur est un poisson préhistorique qui pourrait vivre centenaire, mais les méthodes de pêche actuelle vont limiter cruellement sa durée de vie, et les études les plus récentes ont démontré que leur population s’est réduite au-delà de 90%. lien
La population des requins qui vivent en eau profonde à baissé de 90% en 15 ans.
A ce jour, 21 espèces de poissons sont considérées comme disparues.
 Au-delà de ces prédations, tout le fond marin est détruit, l’habitat de la faune marine détériorée, et tous les organismes posés sur le fond passent de vie à trépas.
Il y a plus grave, la destruction du fond marin va ralentir la production de plancton, donc aussi celle de l’oxygène, car contrairement à une idée reçue, le « poumon de la Terre » c’est avant tout l’Océan, supplantant largement nos forêts, lequel océan est aussi le premier « recycleur » de CO². lien
Tous les océans comportent, entre 100 et 1500 mètres de profondeur, une « zone d’oxygène minimum », et la décimation des espèces planctoniques accroit ce déficit en oxygène. lien
Ces chaluts, dont le maillage suit tout de même une réglementation précise, peut faire jusqu’à 150 mètres de large, et capturer 60 tonnes de poissons en 20 minutes, et comme ils peuvent racler les fonds pendant des périodes allant jusqu’à 3 heures, ce sont potentiellement 540 tonnes de poissons qui peuvent être récoltés rapidement. lien
La difficulté majeure, c’est qu’une partie importante des mers et des océans échappe à toute juridiction, les états ne contrôlant en principe les mers qu’à une certaine distance de leur côte, et si la FAO (Food andAgriculture Organisation) à déterminé avec précision des zones, en appréciant les ressources de chacune de ces zones, les organisations internationales qui les gèrent ont des moyens de contrôle limités. lien
S’il faut en croire le Docteur Elliot Norse, de l’ICM (institut de la conservation marine) cette industrie nocive qu’est le chalutage reçoit des subventions des Etats, et elle ne serait pas rentable sans celles-ci.
Il ajoute que le taux de gaspillage sur des chalutiers pêchant dans l’océan Pacifique peut atteindre 95%,affirmant avec d’autres que le chalutage détruit la structure même du fond marin, ajoutant que tous les scientifiques qui se sont intéressés au sujet sont arrivés aux mêmes conclusions. lien
En 2009, Greenpeace avait mené une opération destinée à empêcher la pêche au chalut dans la mer entre Suède et Danemark, en immergeant des blocs de pierre, ce qui n’a manifestement pas découragés les chalutiers. lien
Une dessinatrice de BDPénélope Joli-coeur a lancée une pétition, sous forme dessinée, très originale et de grande qualité, et elle appelle François Hollande à soutenir « la proposition d’interdiction du chalutage en eaux profondes ». lien
La pétition, déjà signée par plus de 700 000 citoyens, est sur ce lien
L’association qui se bat contre ce massacre en profondeur s’appelle Bloom et son site est sur ce lien
C’est peut-être aussi l’occasion de défendre l’initiative européenne qui permettrait de punir le crime d’Ecocidelien
Il faudrait atteindre 1 million de votants, et à 49 jours de l’échéance, moins de 80 000 européens l’ont signé.
Le 10 décembre prochain, le parlement européen décidera s’il faut ou non continuer ce chalutage néfaste, et on ne peut qu’espérer qu’il prenne la bonne décision.
Comme dit mon vieil ami africain : « quand les éléphants se battent, c’est toujours l’herbe qui est écrasée  ».
L’image illustrant l’article provient de « sosgrandbleu.asso.fr »
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
Article ancien

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Chicago, vivre avec les gangs


Alors que la troisième mégalopole des Etats-Unis condense tous les défis que le pays devra relever, la ville où tout a commencé pour Barack Obama est en proie à une violence quotidienne et aveugle, ignorée des débats de l’élection présidentielle.





Detroit, la faillite d'un symbole


Dans les années 50, Detroit était la quatrième ville des Etats-Unis avec près de deux millions d'habitants. Le dernier recensement en comptabilise un peu plus de 700 000. Les faillites successives des trois grands constructeurs - G.M, Ford et Chrysler - ont détruit des dizaines de milliers d'emplois, directs et indirects. Aujourd'hui, Detroit est la ville la plus pauvre des Etats-Unis, avec un taux de criminalité record. Ses quartiers improbables aux décors irréels semblent rescapés d'un séisme ou d'une guerre. L'image d'une cité engloutie, entre usines désaffectées et friches envahissantes, qui occupent désormais un tiers de sa superficie. Paradoxalement, Detroit suscite l'intérêt croissant des médias et le sort de la ville fait couler beaucoup d'encre.





Détresse psychologique au travail, le tabou


En Allemagne, le nombre d’arrêts de travail liés à un problème psychologique a augmenté de 75 % en dix ans. Les salariés concernés tentent généralement de cacher le motif de leur absence. Et quand ils sont au travail, ils consacrent la plus grande partie de leur énergie à garder le masque. C’est ce qu’ont fait, aussi longtemps que cela a été possible Jutta Seiler, puéricultrice depuis vingt-cinq ans dans un hôpital de Berlin, Birte Kreitlow, fonctionnaire du Land de Berlin qui a dirigé pendant cinq ans une équipe de dix personnes, Günter Ebner, ancien militaire devenu vendeur automobile et René Bidmon, tuyauteur soudeur dans une entreprise de BTP. Sur les cinquante personnes contactées par la réalisatrice, eux seuls ont accepté de raconter comment ils ont vécu leur maladie en situation professionnelle, qu’elle ait été diagnostiquée comme dépression, burn-out, trouble bipolaire ou alcoolisme.





Mon boulot, quelle galère !


Des entreprises commencent à s'inquiéter des répercussions économiques d’une organisation des tâches de plus en plus épuisante et génératrice de stress. Certaines tentent des aménagements, comme cette multinationale installée à Hambourg qui a mis en place un programme d’aide aux employés confié à un cabinet extérieur. Ou ces deux mutuelles de santé qui se font accompagner dans leur fusion par une "ethnologue des entreprises" chargée de détecter les points de friction. Mais est-ce suffisant pour traiter en profondeur ce que Johannes Siegrist, sociologue du travail qui commente et replace dans un cadre sociétal plus large ces exemples concrets, appelle une "crise de la gratification professionnelle" ? Plusieurs intervenants soulignent que mieux vaudrait œuvrer pour un monde du travail stable que de privilégier les actions de psychothérapie. Siegrist conclut : "Il n’y a pas qu’au niveau de l’environnement que la durabilité s’impose : en matière d’économie aussi !"





Résonance


Un documentaire édifiant qui nous parle des ondes qui frappent nos cellules au quotidien. Ondes en tout genre qui créent un effet méconnu que l'on nomme l'électro-smog.

À diffuser largement!





La ceinture de feu du Pacifique (4-4)


EN ÉQUATEUR ET AU CHILI

Avec ses 5 897 mètres d'altitude, le Cotopaxi, en Équateur, est le plus haut volcan en activité du monde, surveillé en permanence par les scientifiques. Au Chili, pays qui après l'Indonésie compte le plus de volcans, le Villarica est une montagne sacrée pour les Mapuche.





La ceinture de feu du Pacifique (3-4)


AU MEXIQUE ET AU GUATEMALA

Situé à proximité de Mexico, le Popocatepetl est le deuxième volcan d'Amérique du Nord par sa hauteur, mais surtout celui qui menace le plus grand nombre de personnes, car la région compte environ 25 millions d'habitants. Au Guatemala plus encore qu'au Mexique, les volcans sont considérés comme des divinités.





La ceinture de feu du Pacifique (2-4)


AU KAMTCHATKA, À HAWAII ET EN ALASKA

Des volcans qui crachent du feu, des geysers bouillonnants et des tremblements de terre : depuis la nuit des temps, la Vallée des geysers (au Kamtchatka, à l'extrémité est de la Russie), inspire mythes et légendes.





La ceinture de feu du Pacifique (1-4)


Episode 1 : EN NOUVELLE-ZÉLANDE, AU VANUATU ET EN INDONÉSIE

Le tremblement de terre de février 2011 à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a rappelé que la région est le siège d'une activité volcanique et sismique très importante.



Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...