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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

L'or bat des records historiques (fin septembre 2010)


Article tiré de Realinfo


Le prix de l’or a fortement grimpé mardi, franchissant pour la toute première fois la barre des 1310 dollars et enregistrant un nouveau niveau historique, à la faveur d’un net accès de faiblesse de la monnaie américaine.
Le métal jaune est monté vers 19h00 à 1310,20 dollars l’once, dépassant ainsi les 1300,15 dollars atteints la veille. Comme vendredi, le prix de l’or a bénéficié d’un accès de faiblesse du dollar, qui s’est nettement replié mardi après des indicateurs américains médiocres.

Or, une dépréciation de la monnaie américaine rend bien plus attractifs les achats de métaux précieux, libellés en dollars, pour les investisseurs munis d’autres devises. Dans le sillage de l’or, l’argent a lui aussi connu une soudaine envolée, qui l’a fait monter jusqu’à 21,74 dollars l’once vers 19h00, un niveau sans précédent depuis septembre 1980.

« Vu les gains récents de l’or et de l’argent (…), il faut s’attendre à une période de consolidation durant laquelle une partie de la fièvre d’achats s’atténuera », tempérait James Moore, analyste de The Bullion Desk.
Face aux incertitudes quant à la solidité de la reprise économique, notamment aux Etats-Unis, et à la volatilité des marchés d’actions et d’obligations, l’or joue plus que jamais son rôle de valeur refuge pour les investisseurs désireux de diversifier leurs actifs.
 
Le métal jaune bénéficie par ailleurs d’une recrudescence des achats d’or de certaines banques centrales, notamment dans les pays émergents, tandis que les banques centrales des pays développés limitent sérieusement leur cessions de métal jaune.


(ats / 28 septembre 2010 19:29)



Autres articles tirés de Lesaffaires, Métauxprécieux.

1 once = 28,3499 grammes.
1 once troy = 31.1034768 grammes.

L'once troy (Troy Ounce) est l'unité de mesure du poids en usage dans les pays anglo-saxons en matières de métaux précieux, pierres précieuses et médicaments. Il ne faut pas la confondre avec l'once "ordinaire"( appellée "avoir du pois") de 28,3499 grammes.



L'or a terminé la séance de mardi au-dessus des 1 300 $ US pour la première fois de son histoire, après avoir momentanément dépassé ce montant en cours de séance la semaine dernière.
 
Cette nouvelle marque, jumelée avec une bonne performance des ressources naturelles, a permis aux bourses de renverser la tendance après un départ en baisse.

C'est la baisse du dollar américain qui a alimenté le mouvement à la hausse des ressources, puis des indices, explique Stephen Gauthier, de FIN-XO. Ce matin, le billet vert a mal réagi à l'annonce d'une baisse subite de la confiance des consommateurs aux États-Unis.

« Tous les mouvements des commodités sont liés avec le dollar américain présentement », a-t-il insisté peu avant la fermeture de la séance.

L'or a atteint un sommet de 1 311,80 $ US l'once à la division Comex de la Bourse de New York au courant de l'après-midi, pour finalement terminer la journée en hausse de 9,70 $ US, à 1 308,30 $ US.

C'est la huitième fois en deux semaines que l'or établit une nouvelle marque historique.

À la Bourse de Toronto, où le secteur des ressources naturelles occupe une place importante, le S&P/TSX a grimpé de 88,28 points, ou 0,72 %, à 12 278,88 points.

Le S&P 500 à New York a monté de 0,49 %, ou 5,54 points, à 1 147,70 points. Le Dow Jones a progressé de 46,10 points, ou 0,43 %, à 10 858,14 points. Le Nasdaq a avancé de 9,82 points, ou 0,41 %, à 2 379,59 points.

Le baril de pétrole s'est déprécié de 0,34 $ US, à 76,18 $ US.

Le dollar canadien a encaissé un mince recul de 0,07 cent US, à 97,10 cents US.

Les bourses nord-américaines avaient trébuché sur la confiance des consommateurs aux États-Unis mardi matin, amorçant une deuxième séance de suite dans le rouge.

L'indice de confiance des consommateurs du Conference Board a chuté à 48,5 points en septembre, soit son plus bas niveau depuis le mois de février.

Le mois dernier, l'indice se retrouvait à 53,5 points, mais a été révisé à la baisse, à 53.2 points. Pour septembre, les économistes attendaient un indice à 51,5 points.

Les marchés boursiers ont mal pris la nouvelle, et ce, même si le prix des maisons, qui a connu un ralentissement de sa progression au mois de juillet, continue de monter selon l'indice S&P/Case Schiller.

Mais comme cela a causé un recul du dollar américain, les ressources naturelles sont devenues plus attrayantes pour les spéculateurs, qui en ont profité.

« Avant, les mauvaises nouvelles comme aujourd'hui faisaient baisser le prix des commodités. Maintenant, cela les fait augmenter », laisse tomber M. Gauthier.

Selon lui, la crise du crédit n'est toujours pas réglée, puisque la consommation tarde à reprendre de la vigueur. Et normalement, c'est cette consommation qui devrait entraîner une demande pour les ressources qui ferait grimper leur prix.

« Présentement, c'est de la pure spéculation, il n'y a pas de véritable demande pour les ressources », a-t-il tranché.



Petit flashback pour rendre compte de l'actualité : 


"Les dernières statistiques américaines devraient établir un prix plancher à 380$ US l'once."

- François Pouliot, le 16 juillet 1996.


"À 313$ US l'once, le métal jaune nous apparaît difficilement pouvoir aller plus bas."

- François Pouliot, le 4 novembre 1997.


"À 300$ US, il ne nous étonnerait pas de voir le prix de l'or remonter à 335-340$ US d'ici quelques mois."

-François Pouliot, le 4 octobre 1999.

"Le prix de l'or, ben, euh, aussi bien se taire et aller se cacher avant d'y aller d'un autre pronostic qui ne le fasse descendre encore plus"
-François Pouliot à lui-même, alors qu'en mars 2001, le prix de l'or touche les 255$ US l'once…



D'abord un peu d'histoire

Au début des années 90, ce sont les banques centrales qui sonnèrent la débâche du marché de l'or en y allant de ventes massives. Chaque fois qu'une résurgence se pointait, ou presque, il s'en trouvait une pour faire un peu de place dans ses voûtes. Et la dégringolade reprenait.

Le courant de pensée était le suivant: l'or n'est plus qu'une simple commodité. Il n'est d'aucun intérêt financier puisque, contrairement aux devises, il ne génère pas d'intérêts. Son prix devrait être sous forte pression pour plusieurs années puisqu'en dégarnissant leurs coffres les banques centrales feront tout simplement déborder l'offre et déséquilibreront le marché.

Notre dissidence se résumait à ceci: c'est oublier que l'or est l'ultime valeur, le seul intermédiaire de marché universellement reconnu par l'histoire qui ne soit pas lié à la force d'une économie. Prenons trois bombes atomiques qui tomberaient, l'une sur New York, l'une sur Washington et l'une sur San Francisco. Au lendemain de l'événement, que préféreriez-vous avoir dans vos poches? Des dollars US (dont la valeur serait plus qu'incertaine) ou des pépites d'or?

Ainsi était née la prophétie annonçant le retour en faveur de l'or. Les bombes atomiques prirent plutôt les noms de "bulles" (financières et immobilières), le dollar US fondit et les investisseurs recherchèrent l'or.


Alors maintenant?

Bonne question. Le premier pari était facile. L'or s'était enfoncé sur un mauvais courant de pensée, un mauvais paradigme. Il était assez facile de prédire à tout le moins un retour non loin du point d'origine, vers les 400-500$ US.

À 1300$, et bien que certains avancent qu'il défoncera les 1500$ et touchera les 2000$, on serait beaucoup plus prudent.

Les dernières statistiques sont éloquentes. La maison BOC International rapporte qu'au premier trimestre 2010, 40% de la demande en or est provenue d'investisseurs. C'était 30% en 2008, 20% en 2006 et 14% en 2004.

Il y a dans le dernier élan aurifère une très nette perte de confiance dans le système monétaire. Mais il s'y trouve aussi malheureusement un très net élan spéculatif. Or, on a bien vu au milieu des années 1990 ce qui pouvait arriver lors de mouvements spéculatifs.

Trop d'argent apparaît aujourd'hui traverser du côté aurifère (def. aurifère : qui contient de l'or). On pouvait comprendre en 2008, en pleine crise financière. Mais qu'autant de demande provienne du côté des investisseurs alors que le système s'est somme toute stabilisé, apparaît indicateur d'enflure.

Il se pourrait bien que la chose se poursuive encore un temps, il y a des bulles qui gonflent plus fortement que d'autres. Elles ne font que plus mal quand elles éclatent.

Plusieurs estiment qu'une poussée inflationniste pourrait venir soutenir le prix de l'or. Rien n'est si peu sûr. Contrairement à l'adage populaire, la corrélation du prix de l'or avec l'inflation n'est pas si forte.

Prudence donc.

À 1 300$, le prix de l'or apparaît être entré dans une préoccupante zone spéculative. À moins que ne se trouve devant nous un terrible choc économique. Un choc que, à voir la progression des indices ces derniers jours, Wall Street est loin d'anticiper.

Pas vu, pas pris...














Documentaire qui s'appelait à l'origine "Pas vu à la télé" qui n'a jamais été vu à la télé française. Censuré par Canal +...


Pas vu pas pris a été diffusé sur la chaîne belge francophone RTBF les 14 et 17 décembre 2000. Il relate l'histoire d'un premier documentaire intitulé Pas vu à la télé, lui-même commandé puis censuré par Canal+. En mars 1998, Charlie Hebdo et Gébé fondent l'association « Pour Voir Pas Vu » pour lever les fonds nécessaires à la projection du film Pas vu pas pris au cinéma. Ils réussissent à récolter 600 000 Francs. La première projection a lieu le 18 novembre 1998.





Partie 1 :











Partie 2 :











Article pouvant vous intéresser : Les dissimulateurs

Crise Financière mondiale : tout va très bien !


Article d'agoravox

La crise est finie (ironie bien sûr)
Il n’y aura pas de double dip récession (nouveau plongeon de crise).

2007-2008 est loin.
Ce sont les informations que véhiculaient les marchés financiers internationaux tout au long du mois de septembre.
Finalement, tout allait bien.
En 48 heures, quelques informations troublantes viennent de changer le ton de cette musique euphorique.
En premier lieu, le gouvernement américain vient d’annoncer qu’il rachetait les déficits des Crédit Unions menacés par la faillite. Les Crédit Unions aux Etats-Unis ne sont pas aussi puissants relativement à l’économie que ne le sont les Caisses d’Epargne en France, en Allemagne et en Italie.
Cependant les Crédit Unions américains sont un secteur de banque quasi-mutualiste très puissant.
La raison de leur quasi-faillite ?
Les subprimes !
Ah bon ? Pourtant on croyait que la crise financière était finie...

Eh bien, non !
Pourtant on croyait que même si la finance se portait moyennement bien les subprimes ne jouaient plus aucun rôle dans cette débâcle.

Eh bien si !

Les fantômes ressurgissent et l’administration Obama et le Secretary Geitner sont obligés de donner 30 milliards de dollars à ces banques pour éviter un deuxième, ou troisième ou quatrième [on ne sait plus très bien] krach bancaire.
Le montage est classique, le Trésor américain ne va pas donner d’argent, il va le perdre. Il va garantir des obligations de ces Crédit Unions avec la quasi-certitude que ces obligations ne seront jamais honorées et donc que le gouvernement sera appelé en garantie et devra couvrir.
 D’autres opérations de prise de contrôle des Crédit Unions par le gouvernement US aboutissent à ce qu’aujourd’hui le gouvernement possède 70% des avoirs de ces banques. Un chiffre inédit même sous l’administration Roosevelt dans les années 30-40 lors de la grande dépression.
Le même jour le gouvernement américain a annoncé qu’il dépenserait immédiatement 50 milliards de dollars supplémentaires (en plus de 30 milliards de dollars précités) pour couvrir les pertes dues aux subprimes et qui ont été subies par des banques aujourd’hui en faillite
La deuxième nouvelle, annoncée par le Wall Street Journal est digne d’un roman policier. On a appris que les 16 pays de l’Eurogroupe avaient créé un comité ultra secret (sic). Tellement secret que son nom est Le groupe qui n’existe pas !

Le problème avec les groupes qui n’existent pas et que justement ils n’existent pas.
Tout le monde se souvient de la Zone 51 (Area 51) censée abriter des extra-terrestres aux États-Unis. La base était tellement secrète que même le Président et le Congrès avaient oublie qu’elle existait. Seuls quelques obscurs fonctionnaires s’en souvenaient.
Dans le cas du groupe sans existence de l’Eurogroupe… (Ouf !) Il s’agit d’un comité créé deux mois après l’effondrement de Lehman Brothers en 2008.
Le but de ce comité était de secrètement (on l’avait compris) mettre en œuvre toutes les précautions possibles pour éviter qu’un des 16 pays soit ruiné si une spéculation le menaçait. La stratégie était celle de l’union qui est censée faire la force.
Cependant des documents internes montrent que les divisions au sien de ce comité n’ont rien empêché mais au contraire ont précipité la quasi-disparition de l’Euro au premier semestre 2010.
La raison ? Des divisions irréconciliables entre les pays membres du comité secret aboutissant aux coups violents portés par les Hedge Funds et marchés financiers contre la Grèce, le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, l’Italie et même la France et l’Allemagne
Cela montre au moins deux choses.
La crise de l’Euro fut gravissime malgré les déclarations apaisantes et édulcorées dispensées alors. Puisqu’on prétend que la crise est finie, pourquoi de tels comités secrets prolifèrent-ils pour lutter contre un danger supposé disparu ?
La troisième nouvelle est la dénégation par la Securities and Exchange Commission, de l’existence d’une demande faite par une société chinoise de créer sur le sol américain une agence de notation d’obligations et de bons du Trésor.
Une telle dénégation signifie tout simplement en langage diplomatique et financier que le processus de création d’une agence de notation d’obligations et de bons du Trésor est en train d’aboutir.
Tout cela est bien normal car les agences américaines (Standards and Poors, PIMCO, Moody) ou française (Fitch) sont partout et notent financièrement les sociétés du monde entier et les gouvernements du monde entier (notation des Bons du Trésor et autres véhicules financiers). On ne voit pas pourquoi les Chinois n’auraient pas le droit de le faire
Ou cela se corse, cela veut dire que les Chinois vont pouvoir entre autres noter (ou diffuser leurs commentaires) sur le sol US (avec l’écho et l’ampleur médiatique de Wall Street et des médias américains) les Bons du Trésor US dont ils sont les plus grands détenteurs à l’étranger. Cela veut dire qu’ils pourront indirectement affecter les prix des valeurs qu’ils possèdent en les notant.
D’aucuns trouvent cela inquiétant.
D’autres leur répondent que cela n’est jamais que ce qui est pratiqué par les pays occidentaux dont les États-Unis depuis 50 ans.
En tout cas, la volatilité qui risque de s’ensuivre ne manquera pas d’agiter les marchés.
Oui, finalement, la crise est terminée !
C’est certifié par le Comité Secret qui n’existe pas.

On peut donc le croire.

OGM : Les pires craintes se confirment


 Article tiré d'Agoravox




La culture de plantes transgéniques fait peur à beaucoup de monde depuis ses débuts. Pour les partisans des OGM, ces craintes ne seraient que des fantasmes de science-fiction. Pourtant, ces soi-disant fantasmes semblent concorder de plus en plus avec la réalité. Lorsque des chercheurs enquêtent sur le colza génétiquement modifié cultivé aux Etats-Unis, les conclusions ont de quoi inquiéter.
La menace, rappelant étrangement l’histoire du monstre créé par Frankenstein, s’avère bien réelle. Les OGM ne sont pas des monstres fantasmés attendant le lecteur entre deux pages d’un livre, ils sont cultivés dans les champs sur les 5 continents et se retrouvent de plus en plus fréquemment dans nos assiettes.






Au beau milieu de l’été, l’annonce édifiante n’a pas eu l’écho qu’elle méritait. Pourtant, la découverte effectuée par une équipe de scientifiques de l’Université de l’Arkansas, vient confirmer les pires craintes au sujet des OGM (Organisme génétiquement modifié) cultivés en plein champ. La menace mise en évidence concerne plus précisément le colza (Brassica napus L. (Brassicaceae)) manipulé génétiquement pour résister à un herbicide total. Il apparaît que ces colzas prolifèrent en pleine nature (en-dehors des zones cultivées) et, par croisement, se transmettent et cumulent leurs modifications génétiques, en créant dans la nature de nouveaux OGM. Ainsi, à la stupéfaction des scientifiques, des protéines de résistance à deux herbicides différents (glyphosate de Monsanto et glufosinate de Bayer, pour ne pas les citer), ont été retrouvées dans un seul et même plant de colza, en dehors d’une zone cultivée...

Il est donc indispensable de se pencher sur cette découverte, pour comprendre ce qu’elle implique, à l’heure où des firmes multinationales répandent, sans aucun scrupule, leurs organismes transgéniques, sur toute la planète.

L’étude menée par Meredith G. Schafer (Biologiste) et Cynthia L. Sagers (Professeur en Sciences Biologiques à l’Université de l’Arkansas) a eu lieu aux Etats-Unis, dans l’Etat du Dakota du Nord (North Dakota), entre le 4 juin et le 23 juillet 2010. Elle consistait à parcourir des milliers de kilomètres (environ 5400 km) le long des routes de l’Etat (Interstate, State et County roads), pour y prélever des plants de colza « sauvage », et y chercher la présence de protéines à l’origine de la résistance à un herbicide ( protéine CP4 EPSPS pour la résistance à l’herbicide glyphosate, et la protéine PAT pour la résistance au glufosinate). Le protocole est le suivant : tous les 8 km (5 miles), une zone de 50 m de longueur sur 1 mètre de largeur est délimitée (des photos sont prises et les coordonnées GPS sont enregistrées). Si des plants de colza poussant à l’état sauvage sont présents, ils sont dénombrés et un de ces plants est collecté et analysé (TriatChek lateral flow test strips (SDIX, Newark, DE)).

L’équipe de scientifiques a tout d’abord constaté que les plans de colza « sauvage » étaient très souvent présents en grand nombre (de 0 à 175 plants au m²), ne semblant pas souffrir de l’épandage d’herbicide le long des routes. L’étude des plants collectés (406 spécimens) va en donner tout de suite la raison : environ 86% des plants de colza contenaient la protéine CP4 EPSPS ou la protéine PAT (les protéines « signatures » des OGM commercialisés par Monsanto et Bayer).









A ce stade l’étude ne fait que confirmer ce que l’on savait déjà : Les OGM cultivés en plein champ ne se cantonnent pas, comme par magie, dans la parcelle où ils sont semés, et sont allègrement disséminés aux alentours. Le colza (environ 2 millions d’hectares cultivés aux USA) donne une graine petite et légère, facilement emportée par le vent et susceptible d’être dispersée au cours de son transport.

Mais, c’est là qu’intervient cette surprenante et inquiétante découverte : deux plants de colza « sauvage » collectés, contenaient à la fois des protéines de résistance à un herbicide présent dans le Roundup de Monsanto (le glyphosate) et à un herbicide concocté par Bayer (le glufosinate, commercialisé sous le nom de Liberty ou Basta). Bien évidemment, aucun OGM n’a été commercialisé avec ces caractéristiques de résistance à deux herbicides « concurrents » (mais comparable dans l’action destructrice attendue) en même temps. Et donc, l’existence de cette « double résistance » dans un plant de colza n’a pu survenir qu’en raison d’un croisement naturel, entre deux colza GM (Génétiquement modifiés) bien distincts, issus de cultures en plein champ.

« Ce constat nous porte à croire que ces populations sauvages sont devenues des populations bien établies. Techniquement parlant, ces plantes ne sont pas censées être en mesure de se développer dans la nature. », explique Meredith Schafer. Les colzas « sauvages » possèdent donc les traits caractéristiques des colzas GM et ils semblent pouvoir prospérer sans problème dans la nature. Plutôt inquiétant comme constat...

 Pour couronner le tout, la faculté qu’a le colza de s’hybrider avec les « mauvaises herbes » (on connaît 40 espèces de plantes pouvant s’hybrider avec le colza, et plus de 10 sont présentes aux USA) qui l’entourent, va être à l’origine d’un problème majeur pour l’agriculture productiviste. Car ces herbes, dont les agriculteurs veulent se débarrasser dans leurs champs, vont acquérir les caractéristiques du colza transgénique : c’est-à-dire qu’elles deviendront elles-aussi insensibles aux épandages d’herbicide total. Donc, pour un gain temporaire et illusoire, ces agriculteurs foncent droit dans le mur, et peut-être plus rapidement qu’ils ne pourraient l’imaginer...

En étant optimiste, on pourrait envisager une interdiction de la culture des OGM en plein champ et un retour vers une agriculture conventionnelles raisonnées, voire une agriculture biologique, pour ne pas en arriver au désastre qui s’annonce.


Mais ces pratiques respectueuses sont directement menacées, en ce moment même, par l’extension des OGM et la contamination génétique qu’ils induisent.
 
Et ainsi, en étant pessimiste, on pourrait en conclure que le mal est déjà fait, les OGM sont cultivés par millions d’hectares sur tous les continents, les firmes produisant les OGM sont toutes-puissantes et leur emprise néfaste est inéluctable.

Vous préférez la première approche, n’est-ce pas ?

C’est une évidence, il n’y a pas de fatalité, et il y a forcément de nombreuses opportunités pour s’organiser et lutter contre cette menace qui est désormais identifiée...

Pour résumer à ce stade  :

Les colzas GM cultivés en plein champ sont allègrement disséminés dans la nature environnante ;

On retrouve des colzas GM qui se développent assez facilement en-dehors des zones de culture (malgré la faible compétitivité du colza, constatée en temps normal) ;

Ces colzas peuvent se croiser et cumuler les traits caractéristiques de différents OGM. C’est-à-dire qu’un seul plant issu d’un croisement, produit 2 protéines différentes, résistant à 2 herbicides distincts, en créant ainsi une sorte de « monstre génétique » ayant échappé au contrôle de son créateur ;

Le colza ayant une capacité élevée à s’hybrider avec diverses « mauvaises herbes », il risque de transmettre ses modifications génétiques acquises (en laboratoire ou par croisement dans la nature) à des plantes sauvages, en créant d’autres « monstres », hors de tout contrôle ;

Ceci étant, un herbicide total perdra de son efficacité à « protéger » les cultures et n’aura plus vocation à être massivement répandu par les agriculteurs (ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle compte tenu de la toxicité des produits...). Mais dans ce cas, au lieu d’un seul herbicide total, plusieurs herbicides seront employés et en plus grande quantité (ce qui n’est pas vraiment une bonne nouvelle non plus...).

 Néanmoins, comme on vient de le constater, le cas du colza GM confirme tout ce que l’on pouvait craindre sur les OGM cultivés en plein champ : dispersion dans la nature des OGM, prolifération quand ils rencontrent un terrain favorable, transmission du matériel génétiquement modifiés (à l’intérieur d’une même espèce et très probablement entre espèces différentes), et présence dans une même plante de caractéristiques génétiques d’OGM issus de firmes semencières distinctes, en créant ainsi une nouvelle combinaison (association) qui n’existe pas dans les OGM commercialisés...

Sources :


Informations complémentaires sur les OGM : 
 
- L’inquiétude face aux OGM est d’autant plus justifiée qu’ils se retrouvent de plus en plus dans nos assiettes, provenant de sources végétales (soja, maïs, riz, pomme de terre,...) et bientôt animales (saumon) :


 Avis favorable pour un saumon transgénique [Sciences et Avenir 06/09/2010]

 - Reste à trouver des chercheurs compétents et indépendants qui étudieraient les conséquences des organismes génétiquement modifiés, déjà commercialisés ou en voie de l’être. Enorme tâche, qui pourrait s’avérer salutaire, mais qui n’attire pas grand monde... Christian Vélot nous en donne ici une explication (en prenant pour exemple le maïs MON810 de Monsanto) :






- « La France autorise discrètement la vente de semences d’un maïs OGM »
En dépit de la suspension des cultures génétiquement modifiées en France depuis 2008, le ministère de l’agriculture a inscrit courant juillet un maïs OGM au catalogue officiel des semences, ont révélé lundi 2 août Greenpeace et la Confédération paysanne. Ce décret, daté du 20 juillet, est paru dans l’édition du Journal officiel datée du 25 juillet...Le Monde 04/08/2010 ]

- « Le Gers va saisir la Cour de justice de l’UE sur les maïs OGM  »
Le président PS du Conseil général du Gers Philippe Martin va saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) pour faire annuler la décision de la Commission européenne d’autoriser la commercialisation dans l’UE de six variété de maïs OGM... [ Le Parisien 25/08/2010 ]

- « Riz OGM : Bayer recule au Brésil ! »
Il aura fallu beaucoup de temps pour que le géant de l’agrochimie et de la pharmaceutique, comprenne enfin le message. 8 années se sont en effet écoulées depuis la première demande d’autorisation de Bayer pour la culture commerciale de son riz transgénique au Brésil et, hier, la firme a annoncé, via un communiqué de presse publié sur son site brésilien, avoir décidé de retirer sa demande... [Greenpeace 24/06/2010]

- «  Les OGM en France : vingt ans de controverse »
Depuis que l’Union européenne s’est saisie du dossier des OGM en 1990, partisans et opposants de cette technique, qu’ils soient scientifiques, semenciers, agriculteurs ou citoyens s’affrontent sans répit. Rappel des principales dates... [ L’Express 02/08/2010 ]

- Le livre et le documentaire de Marie-Monique Robin : Le monde selon Monsanto


- Conférence sur les OGM, donnée par Christian Vélot en 2009 : [1ère partie] [2nde partie]


- CRIIGEN : Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique


Les principales firmes productrices d’OGM : 

Monsanto [ Site de résistance à Monsanto : Combat Monsanto ]

Bayer

Syngenta

BASF




Comprendre, s’organiser et agir !


Photos : Meredith G. Schafer dans un champ de colza - Colza poussant le long d’une route dans le Dakota du Nord [Newswire - University of Arkansas]






Quelques articles pouvant vous intéresser : 



Uranium, l'héritage empoisonné


Un documentaire de 52' de Dominique HENNEQUIN.
Une production Nomades TV et Public Sénat avec le soutien du CNC et de la Région Lorraine.

A Mounana au Gabon, AREVA a cessé les activités de sa filiale, la COMUF, en 1999. Sur place, une pollution radioactive des sols et des maisons construites avec des stériles miniers provoque de nombreuses maladies.
A Arlit, au nord du Niger, AREVA exploite deux mines depuis quarante ans. On relève aux alentours les mêmes effets : des mineurs locaux et des expatriés souffrent principalement de cancers des poumons.
Pendant 18 mois, Dominique HENNEQUIN et Pascal LORENT ont enquêté sur les conséquences de
l'exploitation de l'uranium au Gabon et au Niger et rapporté des images exclusives. A Mounana, Dominique HENNEQUIN et Pascal LORENT ont filmé un vaste site contaminé à la radioactivité et rencontré des victimes. Dans les mines d'Arlit, au Niger, l'équipe entre dans le futur site minier d'Imouraren et donne la parole à la rébellion Touareg.

Une enquête étayée par de nombreux témoignages et les analyses d'échantillons réalisées par la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité).




Partie 1 :










Partie 2 :










Partie 3 :






Quelques articles pouvant vous intéresser :







Tchernobyl

Carte de la radioactivité en France

Carte de la radioactivité en France




Les objectifs et les enjeux du réseau national



Restituer une information crédible et accessible, tels est l’objectif clé du réseau national de mesures de la radioactivité de l’environnement auquel s’associe un critère incontournable de qualité et d’harmonisation des données produites par l’ensemble des acteurs concernés.


Le réseau national s’inscrit dans une démarche de progrès visant d’une part à s’assurer de la qualité des mesures de radioactivité fournies par des laboratoires agréés, et d’autre part à mieux informer les citoyens sur l’état radiologique de l’environnement par une pluralité des sources d’information.


Le réseau national de mesures de la radioactivité de l’environnement a pour mission de contribuer à l’estimation des doses dues aux rayonnements ionisants auxquels la population est exposée et à l’information du public. Pour atteindre cet objectif, le réseau national rassemble et met à la disposition du public :
  • des résultats de mesures de la radioactivité de l’environnement ;
  • des documents de synthèse sur la situation radiologique du territoire et sur l’évaluation des doses dues aux rayonnements ionisants auxquels la population est exposée.

Les données sur la radioactivité de l’environnement comprennent notamment les résultats des mesures réalisées :
  • dans le cadre de dispositions législatives ou réglementaires visant à évaluer les doses auxquelles la population est soumise, notamment celles résultant des activités nucléaires ;
  • à la demande des collectivités territoriales, des services de l’Etat et de ses établissements publics ;
  • par tout organisme public, privé ou associatif, et dont l’organisme détenteur des résultats demande leur diffusion sur le réseau national.

Ces mesures doivent obligatoirement être effectuées par des laboratoires agréés ou par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
En savoir plus :
> Télécharger la plaquette
> Télécharger le dossier de presse

 

Le contexte



Les acteurs de la mesure de la radioactivité de l’environnement sont nombreux dans le paysage nucléaire français. Les plans de mesures mis en œuvre par ces acteurs ont pour objectifs principaux d’établir l’état radiologique de l’environnement, à proximité ou non des installations nucléaires, de détecter des élévations anormales de radioactivité, d’évaluer l’exposition des populations à la radioactivité ambiante, ou encore de contrôler la conformité des pratiques (activités nucléaires) et des produits (biens de consommation et denrées alimentaires).


En fonction de ses missions ou de ses obligations réglementaires, chaque acteur se positionne dans un contexte particulier et y répond par une stratégie de mesure propre. Cette configuration conditionne également la communication des résultats qui est réalisée par les différents acteurs. Certaines mesures alimentent des rapports qui ont pour objectif premier de répondre à des dispositions législatives ou réglementaires comme par exemple les rapports annuels environnementaux. Par ailleurs, de nombreuses installations publient des bulletins mensuels qui sont diffusés localement. Enfin, certaines informations sont diffusées au travers de rapports de synthèse ou sont accessibles sur les sites internet des différents producteurs de données.


Des milliers de résultats sont ainsi disponibles, provenant des services de l’Etat et de ses établissements publics, des exploitants d’installations nucléaires ou d’autres acteurs publics, privés ou associatifs. Cependant, malgré les efforts entrepris en matière d’information et de transparence dans ce domaine, la multiplicité des acteurs et des sources d’information rend difficile l’appropriation des résultats et la compréhension du rôle de chacun par le public.


La question de la qualité des informations est également essentielle, notamment dans un contexte aussi sensible que celui de la radioactivité dans l’environnement, mais également dans un domaine aussi complexe que celui de la métrologie nucléaire. Cette question prend tout son sens quand il s’agit de comparer des résultats obtenus par différents acteurs. Il est donc primordial de s’assurer au préalable des compétences techniques et organisationnelles des laboratoires.


C’est dans ce contexte et dans le cadre de la transposition des directives Euratom 96/29 (normes de base relatives à la protection sanitaire de la population et des travailleurs contre les rayonnements ionisants) et 2003/4/CE (accès du public à l’information en matière d’environnement), que la décision de constituer ce réseau national a été prise en 2003.


Centraliser les informations sur la radioactivité de l’environnement en France et faciliter l’accès de tous les publics, professionnels ou non, aux résultats des mesures tout en renforçant l’harmonisation et la qualité des mesures effectuées par les laboratoires, tels sont les enjeux du réseau national de mesures de la radioactivité de l’environnement, instauré par le code de la santé publique.










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Tchernobyl


Uranium, le scandale de la France contaminée


En toute discrétion, dans nos campagnes, à proximité immédiate des villages ou des villes, des déchets radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés, ou ensevelis méthodiquement, depuis des dizaines années.

Pire encore, ils ont parfois servi à construire des routes, des parkings, et même des logements, des écoles ou des aires de jeu pour les enfants... Sans aucune mise en garde sur les risques encourus !

Car entre 1945 et 2001, la France a exploité 210 mines d’uranium sur son territoire. Elles ont produit 300 millions de tonnes de déchets radioactifs qui ont été abandonnés sans mesure de protection ou de surveillance particulière.

Qui sont les responsables ? Pourquoi ceux qui ont tenté de donner l’alerte n’ont-ils jamais été écoutés ? Pourquoi l’Etat n’a-t-il pas alerté les riverains ? Les populations sont-elles en danger ?

Sachez que l'uranium ne cesse d'être radioactif qu'au bout de 4,5 milliard d'années...











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Petit rappel


Sur cette vidéo on peut voir et entendre clairement une explosion secouer le WTC 1 un peu avant l'impact du 2e avion sur le WTC 2. A vous d'en juger, sinon il y a quelques article en bas du post au cas où.












Nouvelle vidéo que le NIST (l’agence gouvernementale qui fut chargée de l’enquête officielle sur l’effondrement du WTC) fut contraint de publier suite à un procès lancé par le "Centre International pour les Études sur le 11 Septembre" (http://www.ic911studies.org/). Trois pompiers apportent leur témoignage à chaud sur les violentes explosions secondaires qui se sont produites immédiatement avant l'effondrement des tours jumelles.

Ces témoignages pris sur le vif de la tragédie corroborent de nombreux autres témoignages de journalistes, policiers, pompiers et survivants, tous ignorés par les enquêtes officielles. Voir la vidéo "Témoignages d'Explosions dans les Tours Jumelles" : www.dailymotion.com/video/xeoqxh

PLUS D'INFO sur www.REOPEN911.info
Le site français sur les attentats du 11 Septembre



Explosions au WTC: des pompiers témoignent (11 Septembre)
envoyé par ReOpen911. - L'actualité du moment en vidéo.








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11 septembre 2001 : Lettre d'un instituteur à Bush et Jacques Lang

Crash pétrolier : Cruel sera le réveil

Obama attaque le programme "usé jusqu'à la corde" des Républicains


Article tiré de : Le Monde


Barack Obama s'implique dans les élections de mi-mandat. Le président américain a profité de son allocation radio hebdomadaire pour affirmer, samedi 25 septembre, que le programme électoral des républicains était "usé jusqu'à la corde" et mènerait les États-Unis à une nouvelle "décennie désastreuse".


A cinq semaines des élections législatives, qui se présentent mal pour les démocrates, le président américain a fustigé la "Promesse pour l'Amérique" présentée jeudi par ses adversaires politiques. Il estime que nombre des idées de ce programme sont semblables"aux mesures qui nous ont plongés dans la crise économique". Dans ce document, les républicains ont promis de mettre fin aux "impôts qui tuent l'emploi", de réduire les dépenses publiques, de mettre fin aux plans de sauvetage de l'économie et d'abroger la réforme de l'assurance-maladie adoptée il y a six mois.


Selon M. Obama, ces mesures "prennent leur source dans la même philosophie usée jusqu'à la corde: réduire les impôts pour les millionnaires et les milliardaires, supprimer l'encadrement des règles pour Wall Street et les groupes d'intérêts, et laisser la classe moyenne se débrouiller toute seule".


"L'ÉCHO D'UNE DÉCENNIE DÉSASTREUSE"


"Ce n'est pas une ordonnance pour un avenir meilleur. C'est un écho d'une décennie désastreuse que nous ne pouvons pas nous permettre de revivre", s'est exclamé M. Obama, qui en a profité, comme à quasiment chacun de ses discours de politique intérieure depuis des semaines, pour dénoncer une obstruction des républicains au Congrès.


Ces derniers sont minoritaires tant à la Chambre des représentants qu'au Sénat, mais ils sont suffisamment nombreux dans cette dernière assemblée pour bloquer l'adoption des réformes voulues par M. Obama. Ils ne s'en sont pas privés à l'approche des législatives du 2 novembre dont ils escomptent des gains substantiels, alors que les démocrates et M. Obama souffrent dans les sondages, victimes d'un bilan économique peu flatteur avec en particulier un taux de chômage de 9,6% proche des plus hauts niveaux historiques.


Face à des Républicains conquérants, les Démocrates américains tentent d'assimiler leur programme à celui des deux administrations Bush. Mais l'opposition se défend en affirmant au contraire que M. Obama a accentué la crise en creusant le déficit public sans empêcher le chômage de croître.
Kevin McCarthy, élu républicain à la Chambre des représentants, a souligné samedi que le mécontentement de l'électorat à l'égard de la politique actuelle était criant.
"Résultat des politiques économiquement désastreuses de l'actuelle administration, des millions d'Américains sont aujourd'hui sans emploi, et nos enfants se retrouveront avec un déficit et une dette qui, par définition, échappent à tout contrôle".

Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...