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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

Documentaire à visioner absolument!


Depuis mi juillet et ce jusqu'à la fin du mois d'août, je ne posterai que peu voire très peu d'article, vacances oblige! La vérité c'est que je n'ai pas d'accès à internet là où je suis, ou du moins je n'y ai accès qu'à de très rares moments... Donc je me suis dis que ce serai cool de laisser une petite liste de documentaires bien sympa pour ceux qui visite!

Pour ne pas maintenir le suspens trop longtemps je vais vous donner la liste dès à présent :



Dans la catégorie sciences/physique :







Dans la catégorie politique/économie :





Solutions locales pour un désordre global



Dans la catégorie santé :





GasLand



Dans la catégorie DOC RARE :





Pas vu, pas pris...



Dans la catégorie découverte :





Le grand rift africain : Terre en fusion et Terre sainte



Dans la catégorie coup de gueule : 




H2Oil



Dans la catégorie coup de cœur :





Scratch : A turntablism Documentary vostfr



Voilà je pense que c'est déjà pas mal, je vous souhaite à tous de passer d'agréables vacances ou pour ceux qui ne sont pas en vacances de profiter de la vie tout simplement!


A bientôt!

On a retrouvé le corium de Fukushima


Article écrit par Olivier Cabanel





On le sait, depuis le premier jour de la catastrophe de Fukushima, les trois cœurs des réacteurs ont fondu, formant le corium, agglomérat de combustible nucléaire, et d’éléments d’assemblage.


On sait qu’il atteint de très hautes températures ( 3000 °C) et peut faire fondre la plupart des matériaux. lien
On sait aussi que les cuves des réacteurs sont devenues des passoires, et que le corium s’est déjà attaqué à l’épaisse dalle de béton de 8 mètres d’épaisseur.

Logiquement cela ne devrait pas empêcher sa progression en direction du sol, une fois passé l’obstacle du béton, et le faire rencontrer à un moment à un autre, la nappe phréatique.

A ce moment, il y aura une explosion chimique avec un important dégagement de matières radioactives dans l’atmosphère.

Dans cette vidéo, on peut découvrir le processus de la formation du corium.

Selon Hiroaki Koide de l’Université de Kyoto «  la situation de la centrale de Fukushima est désespérée (…) il y a à peu près cent tonnes de corium. Les cuves de pressurisation et les métaux utilisés pour l’enceinte du bâtiment fondent à 1500 °. Il est donc probable que le corium soit tombé au fond des cuves, qu’une partie ait attaqué le sol et qu’une partie se soit mélangée avec l’eau contaminée, entraînant la fonte des murs  ». lien

Il pense qu’il aurait fallu depuis longtemps construire une enceinte souterraine autour de la centrale afin de protéger les nappes phréatiques du corium et des sols contaminés, mais c’est manifestement bien trop tard.
Alors bien sur, le service de communication de Tepco affirme « les plans sont en cours d’élaboration. Tepco prévoit de construire une enceinte afin de protéger les nappes phréatiques des infiltrations contaminées », mais quelle crédibilité peut-on donner encore à Tepco, toujours dans la dissimulation ou la manipulation ?

Si l’on observe cette vidéo, (à partir de 1’ 30 ‘’) prise le 19 juillet dernier, cette soudaine importante fumée qui se dégage de la centrale pourrait indiquer que le corium est bel et bien en contact avec l’eau souterraine.
Un autre problème vient de surgir, celui de « pluies noires ».

C’est l’expert nucléaire Arnie Gundersen, qui nous explique que celle-ci, radioactive et chaude, est responsable de l’importante pollution des sols et des cultures, bien au-delà de la zone d’exclusion, ce qui explique le problème que connaissent maintenant les bœufs japonais.

Il y en a eu pour l’instant 130 de contaminés, et ça ne devrait s’arrêter là, car la paille de riz qui sert à nourrir les bovins est elle-aussi contaminée à 500 000 bq/k de césium radioactif, et qu’elle provient d’une zone se trouvant a 72 km de la centrale. lien

Il y a donc bien contamination de la chaîne alimentaire.

Il évoque le témoignage de quelques uns de ses amis biologistes, qui ayant travaillé sur le dossier Tchernobyl, se sont rendus au Japon pour y analyser la situation. « Ils ont bien vu que les choses allaient mal tourner (…) ils ont dit que la situation était très mauvaise. A vrai dire ce sont des scientifiques endurcis qui sont habitués à traiter avec la radioactivité et ils croient que les conditions sont bien pires que ce qu’ils avaient pensé  ».

Comme le dit Gundersen, au lieu de minimiser le tragique de la situation, le gouvernement japonais serait bien inspiré de minimiser plutôt leur exposition aux radiations.

Comme on s’en doute, jour après jour depuis bientôt 5 mois, la centrale continue à rejeter des quantités considérables de radioactivité ainsi que le prouve ce lien.

On sait maintenant que la pollution radioactive de Fukushima a largement dépassé la zone d’exclusion : à 88 km au sud de la centrale, près d’Hitachi, des retombées en césium ont été mesurées à plus de 50 000 Bq/m2 et à 160 km au sud-sud-ouest de la centrale, à Ishioka, les retombées en césium sont de plus de 48 000 Bq/m2. lien

De nombreux citoyens alarmés par ces informations se sont dotés de compteurs afin de mesurer eux même la radioactivité.

Sur ce lien, on peut suivre la déambulation de l’un d’eux dans une ville située à 220 km de Fukushima, le 7 juin dernier, au moment où il découvre sur le sol 5,58 µSv. lien

A Tokyo, 32 millions de japonais vivent sans se douter pour certains que le taux de radioactivité en progression a été mesuré à 1,36 µSv/h. lien

Au sujet de la « décontamination » de l’eau radioactive, il y a un décalage important avec les promesses et la réalité puisque le procédé « miraculeux » d’Areva semble ne fonctionner que sur la base de 35 h par semaine, et que le 24 juillet la machine a été totalement mise hors service pendant 7 h. lien

Pour toutes ces raisons, le « projet 47 » est en train de se mettre en place : avec l’aide de la CRIIRAD, et de nombreuses associations locales, Wataru Iwata va pouvoir mesurer gratuitement la radioactivité dans les zones polluées. lien

Rama C. Hoetzlein nous propose une animation étonnante montrant ponctuellement tous les points irradiés au Japon au mois mars 2011. lien

Il n’y a plus que 17 réacteurs nucléaires sur 54 qui fonctionnent encore et les japonais, hostiles maintenant à 70% à cette énergie dangereuse réclament une zone d’exclusion élargie, et demandent des comptes. lien
Dans cette vidéo, des citoyens japonais s’adressent à Akira Sato, directeur du département des urgences nucléaires locales, n’obtenant comme seule réaction qu’une magnifique « langue de bois ».

Extraits :
« Ne pensez vous pas que les gens de Fukushima, comme les autres gens, ont le droit de s’échapper pour ne pas être exposées à la radioactivité ? »

Réponse :
« Le gouvernement essaye de réduire le taux d’exposition autant que possible »
-Vous ne répondez pas à la question !
-Comme cela, vous dites qu’ils n’auraient pas ce droit ?
-Ils ont bien ce droit, n’est-ce pas ? »

Réponse :
« Je ne sais pas s’ils ont ce droit » (…)
-Alors vous aussi, vous-même, vous pensez que vous n’avez pas le droit de vivre une vie en bonne santé ?
-Répondez-moi ! (…)
-Vous voulez dire qu’il existe une différence de standard d’exposition à la radioactivité pour la préfecture de Fukushima, et pour les autres préfectures ? »
Réponse

« Ce que je dis c’est que le gouvernement a essayé de réduire autant que possible le taux d’exposition ».
« Vous n’avez pas répondu à la question » Etc.

Devant l’assaut de questions sans réponse, Akira Sato, finira par s’enfuir lâchement poursuivi par un citoyen qui lui demande en vain d’analyser un flacon d’urine.

Alors maintenant le gouvernement Japonais vient de promulguer une loi qui censurera sur Internet les mauvaises nouvelles provenant de Fukushima. lien

Mais supprimer le thermomètre n’empêchera pas la température de monter.

Du côté de l’OMS, (organisation mondiale de la santé) c’est aussi la loi du silence.

Comme l’explique Christophe Elain, membre du collectif « independentwho » sur l’antenne de TV5 monde : « l’OMS ne peut prendre aucune initiative concernant la santé et le nucléaire, et toutes les informations qui pourraient nuire au développement du nucléaire sont passées sous silence (…) toute sorte de décision qui pourraient être prise par l’OMS ou l’AIEA (agence internationale à l’énergie atomique) doivent être prises d’un commun accord (…) et l’AIEA a une possibilité de véto sur d’éventuelles déclarations de l’OMS ». lien

En effet, l’Aiea s’occupe la promotion des activités nucléaires civiles et l’OMS qui est normalement en charge de la santé publique a signé avec l’Aiea, dès 1959 un accord qui dispose que les deux agences « agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement ». lien

Et puis, comme chacun s'en doute, le Japon n’est pas le seul touché par la catastrophe : depuis Tchernobyl on sait qu’une frontière n’arrête pas la pollution.

Dans la région de Princeton, au Canada, des taux importants ont été mesurés comme le prouve cette vidéo où on découvre des niveaux allant jusqu’à 0,79 mcSv/h.

Le Physicien Chris Busby expert en nucléaire, affirme que les conséquences de la catastrophe de Fukushima ont été largement sous-évaluées, en terme de santé : il estime que dans les 50 prochaines années, il y aura 200 000 cas de cancer de plus au Japon, et que les retombées de l’accident dépasseront largement celles de Tchernobyl. lien

Jeremy Rifkin l’a compris : le nucléaire est mort, il est urgent de tourner la page et il est essentiel d’écouter ses arguments imparables, parce qu’il fait vraiment le tour de la question (lien) et pourtant le gouvernement Japonais devrait rester insensible à la jolie chanson anti-nucléaire de ces collégiennes japonaises. lien

Car comme dit souvent mon vieil ami africain : « si tu vis dans la peur, tu ne vis qu’à moitié »

L’image illustrant l’article provient de forum-rpcirkus.com

Libye : les faits


Source Nouvellesociété écrit par Pierre JC Allard



On tue des gens en Libye. Que se passe-t-il ? On parle beaucoup de la Libye, mais en en disant très peu ; on se borne à éructer des slogans pour conforter des préjugés. Comment échapper à l’enfumage constant des médias, ici encore plus grossier qu’a l’ordinaire ? Deux (2) petits trucs….






1. D’abord comprendre que PERSONNE n’a le fin mot de l’affaire. Ni vous ni moi, bien sûr, mais ni Sarkozy ni Obama, ni Kadhafi non plus, car la situation est un enchevêtrement d’interêts nationaux et personnels – ceux-ci d’autant plus signifiants que ceux-la sont mal définis – et qu’il y a donc une infinité de joueurs dont l’importance relative n’est pas uniquement fonction de leur pouvoir, mais aussi de la priorité changeante qu’ils accordent à ce dossier. On ne sait donc vraiment pas ce qui en sortira. Il serait intéressant de faire un parallèle avec le nord de l’Italie, début Renaissance. Intrigues, zizanie, des mercenaires… des alliances au jour le jour, déloyauté et duplicité sans fin…

2. Il n’y a que les FAITS dont on soit sûr, car toutes les interprétations qu’on en fait sont uniquement fonction de l’agenda de celui qui interprète. La vérité n’est pas prise en considération, seulement la vraisemblance… et l’on n’est pas trop exigeant. Donc, s’en tenir aux faits.

Quels sont les faits, concernant la Libye et les événements qui s’y déroulent ? On peut voir le site Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Libye (J’ai complété avec des renseignements dont je n’ai aucune raison de douter de la véracité et que m’a fait parvenir le blogueur Loatse )

D’abord, la Libye est le pays le plus riche de la région : trois (3) fois le niveau de vie de l’Égypte ou de la Tunisie ses voisines. Ca, ce n’est pas du génie : c’est le pétrole. Mais la Libye, selon le Programme des Nations unies pour le développement, a aussi le meilleur IDH (Indice de développement humain) d’Afrique. Pour ça, avoir du pétrole ne suffit pas ; il faut aussi vouloir et pouvoir en utiliserles revenus pour qu’ils profitent a la population. On l’a voulu et on y est parvenu dans la Libye de Kadhafi mieux que nulle part ailleurs.

Les services sociaux à la population ? Les aides à la consommation ? Les meilleurs du monde ! Santé ? Tous les soins médicaux sont gratuits et de haute qualité. Education ? L’éducation secondaire et universitaire sont gratuites. Le taux d’alphabétisation est supérieur à 90%. Chaque étudiant libyen qui veut faire ses études à l’étranger reçoit une bourse de 1 627,11 Euros par mois, et tout étudiant diplômé qui ne trouverait pas d’emploi reçoit le salaire moyen de la profession qu’il a choisie. CE SONT LES FAITS. Indiscutés.
D’autres faits indiscutés : les Libyens n’ont pas d’impôt à payer et la TVA n’existe pas en Libye. La Libye est le pays le moins endetté du monde : la dette publique est à 3,3% du PIB, alors qu’elle est à 84,5% en France et à 88,9% aux USA. Côté gestion, la Libye est exemplaire.

En Libye, le droit au logement est reconnu et un logement doit appartenir à celui qui l’occupe. ? L’Etat paye donc le premier appartement ou maison (150 mètres carrés) d’un nouveau couple qui se marie et s’installe, et tout(e) citoyen(ne) libyen(ne) n’ayant pas de logement peut s’inscrire auprès de l’État pour qu’il lui en soit attribué un. S’il veut faire des travaux dans sa maison, il peut s’inscrire auprès d’un organisme de l’Etat et ces travaux seront effectués gratuitement par des entreprises de travaux publics choisies par l’État.
Chaque citoyen(ne) libyen(ne) peut s’investir activement dans la vie politique et dans la gestion des affaires publiques, aux niveaux local, régional et national, dans le cadre d’un système de démocratie directe ( “JAMAHIRIYA” ) qui tient compte de la representation des spécificités régionales et tribalesCela va des Congrès populaires de base permanents, jusqu’au Congrès général du peuple, le grand congrès national qui se réunit une fois par an. Sur 3,5 millions d’adultes, 600 000 citoyens participent activement à la vie politique.

La Libye est le 7ème fond souverain financier dans le monde ; ses réserves fiduciaires sont supérieures à celle de la Russie qui a 25 fois sa population ! La Libye se sert de sa richesse pour servir ses citoyens, mais aussi pour participer intensément au développement de l’Afrique et à son indépendance vis-à-vis des Occidentaux, en y investissant des milliards.

Qu’est-ce qu’on reproche à la Libye ? A chacun d’interpréter, mais il y a des FAITS… Il faut en tenir compte.

Le fait qu’il y avait des rivalités de longue date entre la Cyrénaïque et la Tripolitaine, par exemple, mais que personne n’a parlé récemment d’une rebellion armée avant que CNN et la BBC en parle, en février 2011.
Le fait que la France, puis les autres pays sous couvert de l’Otan, sont intervenus en Libye sous prétexte de bombardements à Tripoli et de massacres à Benghazi, mais qu’il est maintenant avéré que ces événements n’ont jamais eu lieu.

Le fait que la France, l’Angleterre, les USA – puis plus tard l’Otan – sont intervenus en anticipant la demande d’un groupe de rebelles (CNTI) composé d’anciens ministres et alliés renégats de Kadhafi, de militants islamistes de diverses origines et de gens venus directement des USA, reconnaissant comme le gouvernement légitime de la Libye cet ensemble hétéroclite qui n’a jamais obtenu la moindre reconnaissance de la population.

Le fait que le gouvernement de rebelles ainsi légitimé a prioritairemnet veillé au depart des équipes chinoises qui préparait sur place l’exportation prochaine de pétrole vers la Chine.
Le fait que la coalition de l’OTAN - qui est intervenue sous prétexte de protéger les civils – bombarde maintenant ces civils comme les forces de Kadhafi ne l’ont jamais fait.
Le fait, que des centaines de milliers de Libyens manifestent à Tripoli et ailleurs pour soutenir Kadhafi… alors que les médias occidentaux peinent à mettre à l’écran quelques douzaines de “rebelles” bigarrés, tirant en l’air comme à la Fantasia.

Le fait, surtout , car il n’est pas anodin, que les 30 pays coalisés ont saisi USD $ 33 milliards de fonds libyens deposés de bonne foi par le régime Kadhafi dans leurs institutions financlères… ce qui semble un peu cavalier, sinon indélicat.

Le fait, enfin, qui laisse rêveur, que le 15 fevrier 2011, le Fond monétaire International (FMI), concluant une enquête approfondie d’un an, afélicité le colonel Kadhafi pour sa bonne gestion de la Libye et l’a encouragé à « continuer d’améliorer l’économie », mentionnant son « ambitieux agenda de réformes »

http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.imf.org/external/np/sec/pn/2011/pn1123.htm&title=rapport%20du%20FMI

Un peu surprenant cet aval du FMI, alors même que des émeurtes éclatent à Benghazi. Ensuite, tout va très vite. Le 26 février, Mostafa Mohamad Abdeljalil, ancien ministre libyen de la Justice sous Kadhafi, annonce la formation d’un gouvernement provisoire (CNTI) à Benghazi. Le 19 mars, en accord avec la résolution 1973 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, une intervention militaire aéronavale est déclenchée par la France, suivie par le Royaume-Uni et les États-Unis… Que diable Kadhafi a-t-il bien pu faire dans ces 32 jours qui séparent les félicitations de l’anathème ?

À la luniere de ces faits, il faudrait bien que ceux qui soutiennent l’intervention en Libye nous expliquent en quoi le régime Khadafi est devenu insupportable en quelques jours de février cette année… et comment on peut croire que cette intervention ait eu d’autres buts que : a) d’empêcher la Chine d’avoir accès au pétrole libyen, et b) de faire main basse sur USD $ 33 milliards des fonds d’un pays souverain.

A défaut d’explications, on ne peut voir dans cette intervention qu’un BRIGANDAGE. Comme Occidentaux, reprenant Dumont en 1991 sur la première guerre, contre l'Irak, ce brigandage nous déshonore.


Pierre JC Allard





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Les mâles en péril


Documentaire et texte d'Arte.

Féminisation de la nature d’un côté, diminution du nombre de spermatozoïdes chez l’homme de l’autre. Dans « Mâles en péril », le documentaire qu'ils ont réalisé, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade livrent une enquête édifiante sur ces phénomènes inquiétants. Une véritable investigation scientifique qui met au jour de bien troublantes questions…







Depuis 50 ans, la production de spermatozoïdes dans l’espèce humaine a diminué en moyenne de 50 %.
Pourquoi ?
Dans les pays occidentaux, le nombre de cancers du testicule ne cesse de croître. Au Danemark, on constate une hausse vertigineuse de 400 % en soixante ans.
Pourquoi ?
Le nombre de malformations congénitales de l’appareil reproducteur masculin augmente également.
Pourquoi ?
Des populations de poissons de certaines rivières se féminisent. De plus en plus de malformations sexuelles et de cas de stérilité sont observés chez les phoques, les oiseaux, les alligators, les grenouilles…Des études sur la faune montrent une dévirilisation croissante.
Pourquoi ?

Et si toutes ces observations avaient une origine commune ?

C’est l’hypothèse audacieuse de nombreux scientifiques tant aux États-Unis qu’en Europe. Ils sont persuadés que certains facteurs environnementaux sont responsables de ces pathologies et de ces malformations. Au banc des accusés, de nombreuses molécules mises sur le marché par l’industrie chimique : PCB, DDT, retardateurs de flamme, phtalates, pesticides… Liste non exhaustive de composés chimiques qui agissent sur le système hormonal (on les désigne sous le terme un peu barbare de « perturbateurs endocriniens ») et qui provoqueraient ainsi une féminisation du monde… La gravité des faits rapportés impose que l’on s’y intéresse de très près car la fertilité, et donc l’avenir de l’humanité est en jeu… Si ces scientifiques ont raison, ce sont des pans entiers de notre mode de consommation qu’il faudra repenser. Un véritable défi face au puissant lobbying industriel, un débat qui se déplace sur le terrain politique.
















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Article source de Provola


On nous avait promis la lune, une énergie propre et bon marché, on nous avait vendu du vent .
De l'électricité quasi donnée, de l'or en barres, enfin, à un prix imbattable, la moitié parait-il de ce que doivent payer les autres pays avancés, une énergie propre qui fait de la France un paradis vert, une sécurité à toutes épreuves, la meilleure, une indépendance énergétique, une sécurité d'approvisionnement, des réserves assurées pour des décennies, une absolue sécurité de fonctionnement, de transport, de stockage, une technologie à la pointe que tout le monde nous envie, le top des tops de la technologie du futur.
Le paradis sur Terre, et encore le paradis on ne sait pas avec quoi il est chauffé, alors que nous on a la chaleur de Dieu, une tiédeur de particules, qu'on tient d'une décision de notre Dieu à nous, de De Gaulle. Notre héros de la République, l'inspirateur du tout nucléaire, ce slogan devenu prison cinquante ans plus tard, cette mimique insensée lancée en son temps par Pierre Messmer, le caporal aux ordres.
Alors vous pensez, une décision de De Gaulle, du genre du Concorde, de la bombe nucléaire, des essais de Mururoa, du genre du France, des porte-avions, des sous-marins nucléaires, des Mirage 3, 4, 2000, F1, des Rafale, de l'ami Dassault, enfin quoi des joujous qui n'ont jamais servi à rien d'autre qu'à animer la fête du Bourget un dimanche de juin. Ou juste bons à se cracher du coté de la base de St Dizier.
Alors voilà, comme disait Coluche à propos du centre Beaubourg, on nous a laissé un tas de tuyaux, on ne sait pas quoi en faire.
Alors voilà, on nous a laissé un tas de centrales, avec des tuyaux, des tubes, des blocs de béton, des fers à béton, des cuves, des machins de trucs. Sauf que tout ce fatras est bourré de dynamite, contaminé, plein de mort, pas pour des années, pas pour des siècles, pas pour des millénaires, pour des dizaines de millénaires. 
Il en est au moins une qui a pris pitié de nous, pauvres citoyens, la coureuse de couloir qui pour n'avoir eu que des accessits s'en revient le couteau entre les dents, je veux parler de Corinne Lepage qui dans son dernier brûlot anti-nucléaire “LA VERITE SUR LE NUCLEAIRE” nous donne la clé pour comprendre dans quelle espèce de voie sans issue notre pays est dorénavant engagé.
Lepage joue aujourd'hui les effarouchées, pourtant on ne l'avait pas entendu aboyer lors de son passage au ministère de l'environnement en 1995 aux ordres d'Alain Juppé , un grand écolo, celui-là. Mais enfin, on peut accepter la repentance d'où qu'elle vienne…si elle vient. 
Maintenant Fukushima est une excellente tribune pour son bouquin et le timing de sa partition semble calqué sur le pic de l'émoi suscité par la catastrophe ; mais peu importe, l' Auteur nous en apprend un maximum sur le désastre économique promis par notre engagement au tout nucléaire et c'est bien cela l'essentiel. Cet aspect des choses est à tout le moins incroyable et bien pire que tout ce que l'on pouvait imaginer.
Un demi-siècle d'omerta ont donc permis que l'opinion fut persuadée d'abriter le meilleur cocktail énergétique. L'implacable réquisitoire de Corinne Lepage démontre combien le prix affiché du kilowat-heure par l'opérateur EDF est éloigné des réalités. La fourchette de 35 à 42 € n'est qu'un slogan lancé à tous vents comme ces miettes de pain lancées à la girafe au zoo de Vincennes, des chiffres criés à la sauvette, à un auditoire distrait, trompé, abusé. Comme pour dire, vivez votre vie, éclatez-vous, éclairez-vous, votre électricité n'est pas chère, c'est même la moins chère. 
Seulement tout cela est faux, ce prix n'inclut pas le prix du démantèlement des centrales qui arrivent au bout de leur cycle de vie prévu de 40 ans, le prix n'inclut pas non plus celui du stockage des déchets. Et si ce prix n'est pas inclus, ce n'est pas tant que l'on ne veuille pas pas l'inclure mais plutôt qu'on ne sait même pas combien cela risque de nous coûter finalement. On ne sait pas combien vont coûter les études , les infrastructures, les recherches, en sécurité héritée des récentes catastrophes. Alors toutes ces dépenses sont prisent en charge par le budget de l'État, sous forme de subventions occultes, d'allocations diverses, on noie le poisson, on éteint la lumière sur le pire scandale financier, comme toute la panoplie des lubies gaulliennes. On pioche même dans le budget des énergies renouvelables qui sont de fait reléguées aux calandes grecques. Alors que d'autres pays sont lancés à fond de train vers de plus propres objectifs.
Ainsi donc l'exception française, l'excellence se résume à un immense sabotage du bien public, à un mensonge d'état au seul profit d'industriels calamiteux, infoutus de vendre quoi que ce soit à l'étranger car habitués à un monopole, un protectionnisme nationaliste et lobbyiste. Alors on nous vend du réacteur qui produit plus propre comme la fameuse lessive lavait plus blanc en son temps, on nous vend de l'EPR, pour Europeen Pressurised Reactor, enfin on l'a d'abord vendu aux Finlandais qui n'ont pas eu envie de se faire croquer comme nous l'avons été par De Gaulle lui-même. Vendu 3 milliards d'Euros, l'EPR a vu sa facture grimper jusqu'à 6 milliards et Areva est obligé de bouffer son chapeau à chaque pelletée supplémentaire sans possibilité de facturer les travaux supplémentaires de mise en conformité. Areva va payer, ne vous en faites pas, Areva, c'est nous, c'est moi. Non contents de de se ridiculiser en Finlande, nos experts nous ont vendu un Epr, pour que nous ayons une part du gâteau pourri, et nous avons dit oui, évidemment. On l'a installé à Flamanville , il fallait que la France ait son étendard, son échantillon, à 6milliards, avant Fukushima.
Le chantier est arrêté, les tests de sécurité imposés par Bruxelles ont apporté de nouvelles contraintes qui pourraient faire gonfler la facture.
Tout cela n'est pas inclu dans notre facture EDF, mais bien sûr ponctionné outrageusement sur nos impôts, et l'on nous dit que l'État n'a plus le sou pour financer la recherche sur les maladies génétiques, que c'est de la faute des RMistes.
L'horreur ne s'arrête pas là car les déchets sont l'autre aspect de ce terrorisme politique au delà d'être un non-sens technologique. Areva qui retraitait jusqu'à présent les déchets des pays ayant une énergienucléaire en plus de ceux d'EDF, ne le fait plus, parceque ces pays ont compris que ça ne servait à rien, oui, à rien, car ces scories conservent malgré tout une grande dangerosité et doivent être tout autant que ceux ayant été traités enfouis pour des millénaires dans des labyrinthes sous-terrains hors de prix. Areva continue donc de traiter les déchets d'EDF uniquement et simplement pour avoir à facturer quelque chose, pour faire tourner des installations obsolètes, pour exister. Cette activité factice est même la seule qui soit réellement rentable pour Areva qui devrait être bientôt absorbée par EDF pour permettre de camoufler des pertes futures qui s'annoncent abyssales.
On le voit , depuis la soi-disant autonomie énergétique qui nous met à la merci de dictatures comme celle du Niger, depuis ce désert d'Arlit irrémédiablement souillé par une poussière radioactive, depuis nos centrales en fin de vie, et qu'on ne sait pas faire disparaître, en passant par nos déchets dont on ne sera jamais débarrassés, jusqu'à cette facture des nouvelles folies comme l'EPR, l'équation à plusieurs inconnues est devenue difficilement solutionnable.
On aurait pu se venger sur Berlusconnerie qui avait promis d'acheter 4 EPR, notre nouveau bastringue, avant que les Italiens ne découvrent le poteau rose, on aurait pu au moins sauver 30 milliards d'euros avant qu'Anne Lauvergeon ne s'en aille réclamer des indemnités de départ pour avoir assuré la présidence d'AREVA d'une manière tchernobylesque. Gageons qu'Anne obtiendra plus que les 3 années de salaires proposées en échange du silence qu'elle saura s'imposer sur les agissements inavouables du lobbynucléaire.




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Article de L'expansion.com




Quatre mois jour pour jour après l'accident de la centrale nucléaire, le quotidien des Japonais est bouleversé. Et pas seulement à Fukushima. L'Expansion.com fait le point.


Séisme Japon, Natori City. Maisons emportées par le tsunami. le 11 mars 2011.
REUTERS/KYODO
23.000 morts et disparus à cause du séisme

C'est le douloureux bilan du tsunami qui a frappé le Japon le 11 mars dernier. Au total 23.000 personnes sont mortes ou portées disparues après le séisme de magnitude 9 et le tsunami géant.
Au moins 150 milliards d'euros de dégâts

Fin juin, le gouvernement nippon chiffrait à près de 150 milliards d'euros les dégâts provoqués par le cataclysme, soit l'équivalent de 3,5% du PIB japonais, ce qui en ferait la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'histoire. Un total qui ne comprend pas les conséquences économiques indirectes de ce tsunami, comme les pénuries d'électricité et les perturbations pour l'activité des entreprises notamment automobiles, ni les retombées de l'accident nucléaire. Mi-mars, la Banque du Japon a injecté 309 milliards d'euros dans les circuits économique. Pour financer la reconstruction, le gouvernement a déjà voté une rallonge budgétaire de 51 milliards d'euros auxquels pourraient bientôt s'ajouter 34 milliards supplémentaires.
20 microsievert/ heure, la nouvelle norme autorisée

Difficile de se faire une idée sur le niveau de radioactivité au Japon. Certaines grandes villes comme Tokyo semblent présenter des niveaux tout à fait conformes à la norme internationale (0,1 microsieverts par heure). Mais récemment, les autorités japonaises ont décidé de relever ce seuil de 1 mSv/an à 20 mSv/an (norme habituellement autorisée pour les travailleurs du nucléaire). Une décision jugée incompréhensible par l'opinion, et notamment à Fukushima où les enfants risquent plus encore la contamination. Récemment une des quatre mesures effectuée dans cette cité de près de 300.000 habitants a fait état d'un taux de césium radioactif de 46.540 becquerels par kilogramme, alors que le taux maximum légal est de 10.000 becquerels au Japon. Résultat, les habitants de la ville, aidés par de multiples collectifs associatifs, sont de plus en plus nombreux à demander leur évacuation, mais les autorités s'y refusent obstinément. Samedi, de forts taux de césium - plus de six fois les niveaux de radioactivité autorisés - ont été découverts dans du boeuf de la préfecture de Fukushima.
100.000 tonnes d'eau contaminée à la centrale de Fukushima

Les ingénieurs de Tepco, l'opérateur de la centrale, sont toujours à pied d'oeuvre pour reprendre le contrôle des six réacteurs du site. Près de 100 000 tonnes d'eau contaminée sont en effet toujours bloquées dans les bâtiments. Pour refroidir les réacteurs - en attendant le système de refroidissement annoncé pour janvier 2012 - les Japonais sont obligés de verser 500 tonnes d'eau chaque jour afin d'empêcher le combustible nucléaire de chauffer. Malheureusement, une partie de cette eau s'accumule dans les installations, ce qui pourrait provoquer un débordement si le système de pompage ne se remet pas en route très rapidement. A en croire les autorités, le nettoyage et le déclassement de la centrale " prendra trois, cinq, dix ans voire plusieurs décennies pour gérer l'accident", déclarait ce week-end le premier ministre japonais, Naoto Kan. Pas très rassurant... Malgré cela le gouvernement japonais a réaffirmé ce lundi qu'il était hors de question de remettre en cause le nucléaire.
- 15% de consommation électrique pour Tokyo

Depuis l'accident, 35 réacteurs sur les 54 installés au Japon n'ont pas été relancés. 19 sont donc actuellement en activité, les autres étant stoppés soit directement à cause d'un séisme, soit pour des opérations de maintenance. Le manque d'électricité commence à se ressentir par les habitants inquiets de ne pas pouvoir faire face aux grosses chaleurs humides de l'été qui arrivent. Sur injonction gouvernementale, les entreprises et administrations de la région de la capitale doivent réduire de 15% leur consommation d'électricité depuis le 1er juillet, afin d'éviter des coupures de courant.
11 milliards de pertes pour Tepco

L'exploitant de la centrale a publié fin mars une perte de près de 11 milliards d'euros lors de l'année budgétaire 2010-2011, la plus lourde jamais connue par une entreprise japonaise, hors secteur financier. En cause, la dépréciation massive d'actifs et le coût des opérations d'urgence consécutifs à la catastrophe. Le groupe devra également dédommager 160.000 victimes pour un montant total d'environ 8,5 milliards d'euros. Pour éviter la faillite de l'électricien japonais, le gouvernement a prévu un mécanisme de financement public des dédommagements au cas où Tepco ne pourrait faire face, mais son projet de loi est englué au Parlement.

Découverte d’un traitement anticancer simple, mais qui n’intéresse pas les lobbies pharmaceutiques


Article provenant du site french-revolution-2



Ce post est la traduction par votre serviteur d'un article en Anglais qui évoque la découverte d'un traitement anticancer par des chercheurs canadiens de l'université d'Alberta.
Ce traitement est basé sur une molécule bon marché : le dichloroacetate (DCA), il n'intéresserait pas l'industrie d'après l'article car il n'est pas brevetable.
Des chercheurs Canadiens découvrent un traitement anticancer simple, mais les lobbies pharmaceutiques ne sont pas intéressés
EDMONTON, CANADA, 14 mai 2011/Informations/ - Des scientifiques Canadiens ont testé le dicholoroacétate (DCA) sur des cellules humaines ; ce dernier a tué des cellules cancéreuses du poumon, du sein et du cerveau sans endommager les cellules saines.
Il fut testé sur des rats affectés de tumeurs sévères, ces dernières se résorbèrent dès qu'elles furent alimentées avec de l'eau additionnée de DCA.
Ce médicament est largement disponible et facile à utiliser, alors pourquoi les grandes entreprises pharmaceutiques ne sont-elles pas impliquées ?
Et pourquoi les médias ne s'intéressent-ils pas à cette découverte ?
Les entreprises pharmaceutiques ne sont pas intéressées par cette recherche contre le cancer car la méthode DCA ne peut pas être brevetée.
Les chercheurs de l'université d'Alberta à Edmonton au Canada ont soigné des cancers, cependant il n'y eut qu'un faible écho médiatique.
C'est une technique simple qui utilise un médicament très basique.
La méthode utilise du dichloroacétate, qui est utilisé jusqu'à présent pour traiter des désordres métaboliques. Il n'y a donc aucun risque d'effets secondaires sur le long terme.
Ce médicament n'a pas besoin d'être breveté, il peut donc être employé à grande échelle et à bas cout comparés aux médicaments très onéreux développés par les grandes compagnies pharmaceutiques.
Dans le corps humain, il y a une arme anticancer naturelle, la mitochondrie, la centrale énergétique naturelle des cellules, elle doit cependant être stimulée pour fonctionner.
Les scientifiques pensaient que lorsque les mitochondries des cellules étaient endommagées elles ne pouvaient plus avoir d'effet contre le cancer.
Ils se sont donc focalisés sur la glycolyse qui est une approche moins efficace pour traiter le cancer et plus onéreuse.
Les fabricants de médicaments ont focalisé sur cette méthode de glycolyse pour combattre le cancer.
Le DCA ne remplace cependant pas la glycolyse par la mitochondrie, elle stimule la mitochondrie qui a son tour combat les cellules cancéreuses.
Un effet de bord induit par cette technique pourrait également réactiver un processus appelé apoptose.
La mitochondrie possède en effet un important système d'autodestruction qui ne peut plus être activé par les cellules cancéreuses.
Sans ce dernier, les tumeurs grossissent puisque les cellules refusent de mourir. La mitochondrie est complètement réactivée grâce au DCA, la cellule peut à nouveau mourir.
La glycolyse étant stoppée, le corps produit moins d'acide lactique, en conséquence le tissu endommagé autour des cellules cancéreuses ne se décompose pas et ne propage pas de nouvelles tumeurs.
Les sociétés pharmaceutiques n'investissent pas dans cette recherche car la méthode DCA ne peut être brevetée, sans brevets elles ne peuvent pas gagner d'argent comme elles peuvent le faire avec ceux qui ont été déposés autour du SIDA.
Puisque les sociétés pharmaceutiques ne développent pas cette méthode, l'article dit que des laboratoires indépendants devraient commencer à produire ces médicaments et continuer les recherche pour confirmer les résultats ci-dessus.
Tout le travail de base peut être réalisé en collaboration avec les universités, qui seront heureuses d'aider à une telle recherche pour développer un traitement efficace contre le cancer.
Vous pouvez accéder à la source de cette recherche ici :
http://www.dca.med.ualberta.ca/Home/index.cfm
Les dernières mises à jour des tests cliniques peuvent être consultées ici -http://www.medicorcancer.com/dca-data.html
Les dernières informations sur les recherches DCA -http://www.dca.med.ualberta.ca/Home/Updates/2010-05-12_Update.cfm
Les résultats de l'université d'Alberta sont encourageants et justifient des tests cliniques avec le DCA plus larges. L'équipe de recherche espère obtenir de nouveaux financements pour continuer les test en cours avec le DCA à l'université d'Alberta.




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11 députés pour voter un fichage généralisé. Démocratie représentative ?


Ecrit par Jérémy Jeey sur Agoravox




Le 7 juillet 2011, 11 députés sur les 577 que comptent l'Assemblée Nationale ont discuté et voté une loi concernant la protection de l'identité et ont ainsi rendu possible le fichage généralisé sous des prétextes fallacieux.
Cette loi vise à mettre en œuvre une nouvelle Carte Nationale d'Identité (CNI) électronique. Cette carte sera équipée de deux puces. L’une rassemblera les informations régaliennes, à savoir le nom de famille, le ou les prénoms, le sexe, la date et le lieu de naissance du demandeur, le nom dont l’usage est autorisé par la loi, si l’intéressé en a fait la demande, son domicile, sa taille et la couleur de ses yeux, ses empreintes digitales (celles de 8 doigts), sa photographie. L’autre, optionnelle, lui permettra de s’identifier sur les réseaux de communications électroniques et de mettre en œuvre sa signature électronique.
La puce dite régalienne sera une puce sans-fil RFID, permettant une lecture des informations de manière électronique et à distance.
Toutes ces données seront conservées dans un fichier unique, le TES.
Etudions tout cela point par point :
  1. De l’usage d’une carte électroniqueLa CNI électronique doit permettre une meilleure protection face à la fraude. Aujourd’hui, est avancé le nombre de 200 000 cas d’usurpation d’identité. De combien de cas pourraient être réduit ce chiffre grâce à l’arrivée de la CNI électronique ? Un millier peut-être ? En effet, les vérifications électroniques des données contenues dans une CNI seront extrêmement rares : hormis en douane et aux postes de police, nulle ne sera à même de vérifier la validité des informations inscrites sur la CNI !
    Ainsi, il est peu vraisemblable que l’utilisation d’une CNI électronique ait le moindre impact sur les chiffres des cas d’usurpation d’identité.
  2. L’enregistrement des empreintes digitales

    A la création de cette nouvelle CNI, les empreintes digitales de 8 de vos doigts seront relevées et alimenteront la puce régalienne et le fichier central. A l’instar des criminels, suspects, prévenus et gardés à vues (liste non exhaustive).
  3. La puce optionnelle

    Une puce, purement optionnelle et suivant le bon désir du porteur, pourra être configurée afin de fournir une méthode fiable et sécurisée de justifier de son identité sur les réseaux de communications électroniques (à savoir principalement internet). Certainement pour le plus grand bonheur de Jean-Louis Masson, qui avait proposé de mettre un terme à l’anonymat sur internet (cf. http://www.senat.fr/leg/ppl09-423.html). Ainsi, pourrait par exemple apparaître l’obligation de s’identifier sur son poste avant une séance de surf afin de justifier de son âge et d’autoriser ou pas l’accès à des sites web pornos (comme le propose Christian Vanneste http://www.christianvanneste.fr/2011/07/06/acces-des-mineurs-aux-sites-pornographiques-d%E2%80%99internet/)

  4. Le RFIDLa technologie RFID permet de transmettre des informations sans aucun contact. La lecture ne peut se faire qu’à faible distance, mais certaines technologies permettent une lecture à plusieurs dizaines de mètres. Par ailleurs, le porteur d’une puce RFID n’est nullement informé de la lecture des données de la puce.
    Par ailleurs, les puces RFID actuellement mise en œuvre au sein des passeports biométriques ou des cartes d’identités britanniques présentent des failles permettant la récupération des informations et donc la copie vers une autre puce, ouvrant la voie à des possibilités d’usurpation. Ainsi, la CNI britannique avait été hackée et clonée en 12 minutes le jour de sa sortie malgré les sécurités mises en place (cf.http://www.01net.com/editorial/504855/la-future-carte-didentite-britannique-nest-pas-tres-secure/)

  5. La base TES

    La base TES « Titres Electroniques sécurisés » rassemblera toutes les informations recueillies dans les deux puces de la CNI ainsi que les données actuelles des passeports biométriques pour une durée de 15 ans. Bien entendue, cette durée sera prorogée à chaque renouvellement du document, soit tous les 5 ans.
    Ce fichier contiendra donc toutes les informations d’identification de 45 à 50 millions de porteurs de de ces documents administratifs.Cette base sera bien entendue protégée, uniquement accessible aux personnes dûment habilitées et fera l’objet d’un traçage des connexions. Ceci-dit, l’explosion, ces derniers temps, des actes de piratage fait craindre la possibilité que le contenu de cette base puisse être volé.

  6. Le vote

    La proposition de loi a été débattue lors d’une session de la séance du jeudi 7 juillet 2011 à 15h. 11 voies ont été enregistrées pour le vote. 11 députés sur les 577 nous représentant.

    MPEG4 - 1.5 Mo
    Le vote à l’Assemblée Nationale



Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...