Infrarouge : Au nom de la science
Malgré sa violence, cette enquête est bien plus qu'un inventaire cauchemardesque, une variation de plus sur le grand complot mondial contre notre santé. Cette synthèse passionnante est surtout un outil formidable de compréhension des mécanismes de recherche, de production et de contrôle des industries militaires et de la santé. Pour la première fois, industriels et organismes d'état sont mis face à leurs responsabilités. A l'heure où notre regard sur la médecine évolue de jour en jour, où un changement profond de nos modes de consommation des produits de santé s'impose, Au nom de la Science est un appel à la vigilance, une clé essentielle pour ne plus subir, mais combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements... au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d'un siècle d'expérimentation secrète sur l'être humain.
En 2002, la ville de Vienne a fait enterrer avec les honneurs 750 cerveaux et têtes de petites victimes découverts dans les sous-sols du Spiegelgrund. Au total, ce sont 5000 enfants qui sont morts des suites de privations, sur-doses médicamenteuses et/ou opérations chirurgicales barbares dans cette clinique où sévissait, à l'époque du nazisme, le docteur Heinrich Gross.
Jugé en 1950, le psychiatre sera relaxé et autorisé à travailler à nouveau au Spiegelgrund, où il poursuivra ses expériences sur les dépouilles des enfants assassinés, jusqu'en 1981. Pire encore, Gross, qui a eu la bonne idée de s'inscrire au Parti social-démocrate après la guerre, dirigera un prestigieux institut scientifique, sera un expert judiciaire réputé et se verra remettre la Croix d'honneur pour les sciences et l'art. Un deuxième procès a bien débuté en 2000 mais pour être aussitôt ajourné (suspendu son procès pour le reconduire) mais cela sans fixer de dates précises.
Motif : le bon docteur Gross, 84 ans à l'époque, a été jugé dans l'incapacité à comparaître à cause de sa «santé fragile».
Le film de Joe Berlinger mérite pourtant la plus large audience, pour son enquête sur l'un des (nombreux) épisodes tabous du passé nazi en Autriche : un programme de recherches prétendument médicales sur des enfants considérés comme handicapés physiques et mentaux.
En 2002, la ville de Vienne a fait enterrer avec les honneurs 750 cerveaux et têtes de petites victimes découverts dans les sous-sols du Spiegelgrund. Au total, ce sont 5000 enfants qui sont morts des suites de privations, sur-doses médicamenteuses et/ou opérations chirurgicales barbares dans cette clinique où sévissait, à l'époque du nazisme, le docteur Heinrich Gross.
Jugé en 1950, le psychiatre sera relaxé et autorisé à travailler à nouveau au Spiegelgrund, où il poursuivra ses expériences sur les dépouilles des enfants assassinés, jusqu'en 1981. Pire encore, Gross, qui a eu la bonne idée de s'inscrire au Parti social-démocrate après la guerre, dirigera un prestigieux institut scientifique, sera un expert judiciaire réputé et se verra remettre la Croix d'honneur pour les sciences et l'art. Un deuxième procès a bien débuté en 2000 mais pour être aussitôt ajourné (suspendu son procès pour le reconduire) mais cela sans fixer de dates précises.
Motif : le bon docteur Gross, 84 ans à l'époque, a été jugé dans l'incapacité à comparaître à cause de sa «santé fragile».
Le film de Joe Berlinger mérite pourtant la plus large audience, pour son enquête sur l'un des (nombreux) épisodes tabous du passé nazi en Autriche : un programme de recherches prétendument médicales sur des enfants considérés comme handicapés physiques et mentaux.
Documentaire interdit au moins de (-12)
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