11-Septembre : Robert Marr, l’homme qui fit cinq fois obstruction à la Défense aérienne US le matin du 11/9
Article source de ReOpen911.info
Une vidéo allemande montre l’ordre de rester au sol de la défense aérienne du NORAD le 11/9
Source : Vidéo YouTube publiée par Paul Schreyer (www.inside-911.de)
Traduction GV
Cette vidéo présente un résumé des éléments qui, bien qu’à disposition du public, restent toujours méconnus, et qui montrent de possibles tentatives d’obstruction de la Défense aérienne le 11 septembre 2001.
La thèse que nous présentons est la suivante : le commandement du secteur nord-est de la défense aérienne des États-Unis (le NEADS) a réussi par cinq fois à faire obstruction ou à ralentir la riposte militaire aux détournements d’avion le 11/9.
Commençons par les protagonistes. Le 11 septembre 2001, la chaine de commandement était la suivante, de gauche à droite :
Il est intéressant de noter que le sommet de cette chaine de commandement était vide le 11/9.
Le président Bush passait la matinée en Floride, et resta en dehors de toute décision sur le plan militaire.
Le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a abandonné son poste et était injoignable par ses subordonnés durant les attentats.
La véritable direction de la Défense aérienne le matin du 11/9 était entre les mains de deux hommes un peu plus bas dans la chaine de commandement. Le Major Kevin Nasypany, le commandant-major du NEADS en charge des équipes, et son supérieur hiérarchique, le Colonel Marr, commandant du NEADS. Les décisions de ces deux hommes ont eu un énorme impact sur le 11/9. Il était de leur responsabilité de lancer des chasseurs pour intercepter les vols détournés. Malheureusement, l’un des deux – celui de gauche, le plus haut dans la hiérachie – tenta apparemment à cinq reprises de faire obstruction à cette procédure. Voici les faits :
1ère obstruction
Deux pilotes à la base OTIS de l’US AIr Force, à 300 km au nord-est de New York, ont été mis en alerte et ont pris place dans leurs avions de chasse pour allumer les moteurs vers 8 h 42, avant même que l’un des avions ait percuté les Tours du World Trade Center. Mais après ça, ils durent attendre.
Le Colonel Marr (ci-contre), qui aurait pu leur donner l’ordre de décollage immédiat, choisit de ne pas le faire. Au lieu de cela, il passa un appel téléphonique inutile à son chef, le Géral Arnold. Ce qui retarda de 3 à 4 minutes l’ordre de décollage.[1] Sans ce délai, les pilotes auraient pu arriver à temps pour intercepter le 2e avion, qui s’est écrasé à 9:03.
Voici l’étrange trajectoire de ces chasseurs d’OTIS, qui ont finalement décollé à 9 h 52, d’après les données radars officielles :
2e obstruction
A 9 h 09, après que les deux Tours eurent été frappées, le Major Nasypany voulait lancer une 2e paire de chasseurs de la base Langley de l’US Air Force, à 200 km de Washington, pour former une barrière près de la Capitale. Sage décision. Mais le Colonel Marr, son supérieur, refusa. Finalement, l’ordre de faire décoller les jets de Langley fut donné à 9 h 24. Quinze minutes avaient été perdues. Si Marr avait donné l’ordre de décollage à 9 h 09, comme demandé, les chasseurs auraient pu atteindre le Pentagone avant qu’il ne soit attaqué à 9 h 37. [2]
3eme obstruction
Le Capitaine Craig Borgstrom était le "superviseur de vol" à la base Langley de l’US Air Force. Il était en charge de la coordonner les pilotes de Langley pendant les missions, en leur dirigeant depuis le sol et en maintenant la communication.
Peu après 9 h 24, il reçut un appel de la direction du NEADS – autrement dit, du Colonel Marr – lui ordonnant d’abandonner son poste de coordination au sol et de décoller en tant que 3e Pilote. Ceci est tout à fait inhabituel, puisqu’une mission d’interception est toujours constituée de 2 avions de chasse. L’ordre n’apporta d’ailleurs rien en termes de défense aérienne, mais présenta un inconvénient majeur : il ne restait aucun officier au sol pour garder le contact avec les pilotes de Langley.
Et donc, ils furent finalement envoyés involontairement dans la mauvaise direction, non sur Washington, mais droit au-dessus de l’Océan vers l’est (un scandale qui d’ailleurs reste inexpliqué même 10 ans après), et personne ne réussit à les joindre ou à leur demander de revenir pour protéger Washington. Si Borgstrom était resté au sol, cela n’aurait pas posé de problème. Mais Marr en avait décidé autrement.[3]
Et voici l’étrange trajectoire des chasseurs de Langley qui ont décollé à 9 h 30, d’après les données radar officielles.
4e obstruction
Lorsque le vice-président Cheney donna son "ordre d’abattre", ce fut encore une fois le Colonel Marr qui ne communiqua pas l’ordre aux pilotes. En 2002, il mentit également à ce sujet lors d’une émission télé et ne proposa aucune explication. Autrement dit, même si l’un des chasseurs avait réussi à rejoindre un avion détourné après cet ordre, il n’aurait pas su qu’il avait l’autorisation de l’abattre. Le Colonel Marr avait fait ce qu’il fallait pour cela.[4]
5e obstruction
Quand le Commandant de la base de Syracuse appela le Major Nasypany pour proposer les services de ses chasseurs, il affirma que ses pilotes pouvaient être prêts dans les 15 minutes avec des mitrailleuses. Nasypany le remercia pour la proposition : "Des mitrailleuses, ça me va très bien," et il donna au Commandant de Syracuse le numéro de téléphone de son supérieur, le Colonel Marr, "si vous voulez bien l’appeler pour lui en parler".
Le Commandant de Syracuse appela Marr et lui répéta son offre : des chasseurs équipés de mitrailleuses en l’air dans les 15 minutes, ou avec des missiles à détection infrarouges dans les 30 minutes, ou avec des missiles air-air (slammers) dans l’heure. En effet, il fallait un peu de temps pour installer ces missiles sur les avions. Marr fit ce choix superflu : "je veux tout". [5] En faisant ainsi, il retarda encore une fois le décollage des chasseurs.
Tout comme il l’avait déjà fait avec les pilotes d’Otis, puis avec ceux de Langley. Comme il l’avait également fait avec Borgstrom en le faisant quitter son poste de coordinateur, et comme il l’avait fait en empêchant l’"ordre d’abattre" de parvenir jusqu’aux pilotes.
Cinq obstructions. Un seul responsable.
Conclusion
Avec l’ensemble de ces informations désormais disponibles, il n’est toujours pas prouvé que le Colonel Marr a pris toutes ces décisions dans le but d’affaiblir les défenses aériennes. A ce jour, ceci est juste une hypothèse. Elle pourrait s’avérer fausse. Mais une chose est claire : seule une nouvelle enquête indépendante sur le 11-Septembre permettra de savoir ce qu’il en est.
Source : www.youtube.com/watch ?v=QI8e1qRxqKs
Traduction GV
Note de l’auteur : Toutes les informations exposées dans ce texte proviennent du livre "Inside 911 – Neue Fakten une Hintergrunde zehn jahre danach" par Paul Scheyer, publié en 2011 par "Kai Homilius Verlag", Allemagne (ISBN : 978-3-89706-399-0).
Les sources spécifiques à chaque point abordé dans ce texte sont constituées de documents disponibles au public, comme les enregistrements de la défense aérienne, ou les notes internes de la Commission sur le 11/9, mises à disposition en 2009. Toutes les sources sont également documentées en détail dans le livre.
Références de l’auteur :
1. Témoignage du Major Daniel Nash fait le 14/10/2003 devant la Commission sur le 11/9 ; témoignage de Colin Scoggins, Contôleur aérien au Centre de Boston, le 28/10/2007 ; Bandes du NEADS, channel 2.
2. Source : Témoignage de Naspany et Marr devant la Commission sur le 11/9, le 22 et 23 janvier 2004 ; bandes du NEADS, Channel 2
3. Sources : Témoignage du Capitaine Craig Borgstrom par l’auteur Leslie Filson ; Lynn SPencer, "Touching History" (20008), pp. 118 à 148 ; Bandes du NEADS, Channel 2 ; transcriptions pp. 44-45.
4. Sources : Commimssion sur le 11-Septembre, 12e Audiences publiques, le 17.06.2004, transcription pp. 61-62. ABC News, "9/11 : Interviews par Peter Jennings". 11.09.2002 ; John Farmer, "The Ground Truth" (2009), p. 261
5. Source : Bandes du NEADS, Channel 2, 10:12 ; Aviation Week, "Exercise Jump-Starts Response to Attacks", 03.06.2002
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Voici un aspect peu connu du 11-Septembre et qui concerne plus précisément des errements incroyables de la Défense aérienne des Etats-Unis le 11-Septembre. D’après le chercheur allemand Paul Schreyer, auteur du livre "Inside-911", un seul et même homme, Robert Marr, appartenant au NEADS, l’organe militaire en charge de la protection du nord-est des Etats-Unis, aurait tout fait le matin du 11 septembre 2001 pour que la chasse aérienne américaine ne puisse pas intercepter les avions détournés. Voici ses arguments, qui sont tirés de documents publics, dans cette vidéo sous-titrée dont nous proposons également la retranscription.
Une vidéo allemande montre l’ordre de rester au sol de la défense aérienne du NORAD le 11/9
Source : Vidéo YouTube publiée par Paul Schreyer (www.inside-911.de)
Traduction GV
* * * VIDÉO DE Paul SCHREYER * * *
* * * TRANSCRIPTION DE LA VIDÉO * * *
Cette vidéo présente un résumé des éléments qui, bien qu’à disposition du public, restent toujours méconnus, et qui montrent de possibles tentatives d’obstruction de la Défense aérienne le 11 septembre 2001.
La thèse que nous présentons est la suivante : le commandement du secteur nord-est de la défense aérienne des États-Unis (le NEADS) a réussi par cinq fois à faire obstruction ou à ralentir la riposte militaire aux détournements d’avion le 11/9.
Commençons par les protagonistes. Le 11 septembre 2001, la chaine de commandement était la suivante, de gauche à droite :
George Walker Bush : Président des Etats-Unis
Donald Rumsfeld : Secrétaire à la Défense
General Ralph Eberhart : Commandant du NORAD, USA et Canada
Général-Major Larry Arnold : Commandant du NORAD, zone continentale des USA
Colonel Robert Marr : Commandant du NEADS (secteur Nord-Est du NORAD)
Major Kevin Nasypany : Commandant des équipages du NEADS
Il est intéressant de noter que le sommet de cette chaine de commandement était vide le 11/9.
Le président Bush passait la matinée en Floride, et resta en dehors de toute décision sur le plan militaire.
Le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a abandonné son poste et était injoignable par ses subordonnés durant les attentats.
La véritable direction de la Défense aérienne le matin du 11/9 était entre les mains de deux hommes un peu plus bas dans la chaine de commandement. Le Major Kevin Nasypany, le commandant-major du NEADS en charge des équipes, et son supérieur hiérarchique, le Colonel Marr, commandant du NEADS. Les décisions de ces deux hommes ont eu un énorme impact sur le 11/9. Il était de leur responsabilité de lancer des chasseurs pour intercepter les vols détournés. Malheureusement, l’un des deux – celui de gauche, le plus haut dans la hiérachie – tenta apparemment à cinq reprises de faire obstruction à cette procédure. Voici les faits :
1ère obstruction
Deux pilotes à la base OTIS de l’US AIr Force, à 300 km au nord-est de New York, ont été mis en alerte et ont pris place dans leurs avions de chasse pour allumer les moteurs vers 8 h 42, avant même que l’un des avions ait percuté les Tours du World Trade Center. Mais après ça, ils durent attendre.
Le Colonel Marr (ci-contre), qui aurait pu leur donner l’ordre de décollage immédiat, choisit de ne pas le faire. Au lieu de cela, il passa un appel téléphonique inutile à son chef, le Géral Arnold. Ce qui retarda de 3 à 4 minutes l’ordre de décollage.[1] Sans ce délai, les pilotes auraient pu arriver à temps pour intercepter le 2e avion, qui s’est écrasé à 9:03.
Voici l’étrange trajectoire de ces chasseurs d’OTIS, qui ont finalement décollé à 9 h 52, d’après les données radars officielles :
2e obstruction
A 9 h 09, après que les deux Tours eurent été frappées, le Major Nasypany voulait lancer une 2e paire de chasseurs de la base Langley de l’US Air Force, à 200 km de Washington, pour former une barrière près de la Capitale. Sage décision. Mais le Colonel Marr, son supérieur, refusa. Finalement, l’ordre de faire décoller les jets de Langley fut donné à 9 h 24. Quinze minutes avaient été perdues. Si Marr avait donné l’ordre de décollage à 9 h 09, comme demandé, les chasseurs auraient pu atteindre le Pentagone avant qu’il ne soit attaqué à 9 h 37. [2]
3eme obstruction
Le Capitaine Craig Borgstrom était le "superviseur de vol" à la base Langley de l’US Air Force. Il était en charge de la coordonner les pilotes de Langley pendant les missions, en leur dirigeant depuis le sol et en maintenant la communication.
Peu après 9 h 24, il reçut un appel de la direction du NEADS – autrement dit, du Colonel Marr – lui ordonnant d’abandonner son poste de coordination au sol et de décoller en tant que 3e Pilote. Ceci est tout à fait inhabituel, puisqu’une mission d’interception est toujours constituée de 2 avions de chasse. L’ordre n’apporta d’ailleurs rien en termes de défense aérienne, mais présenta un inconvénient majeur : il ne restait aucun officier au sol pour garder le contact avec les pilotes de Langley.
Et donc, ils furent finalement envoyés involontairement dans la mauvaise direction, non sur Washington, mais droit au-dessus de l’Océan vers l’est (un scandale qui d’ailleurs reste inexpliqué même 10 ans après), et personne ne réussit à les joindre ou à leur demander de revenir pour protéger Washington. Si Borgstrom était resté au sol, cela n’aurait pas posé de problème. Mais Marr en avait décidé autrement.[3]
Et voici l’étrange trajectoire des chasseurs de Langley qui ont décollé à 9 h 30, d’après les données radar officielles.
4e obstruction
Lorsque le vice-président Cheney donna son "ordre d’abattre", ce fut encore une fois le Colonel Marr qui ne communiqua pas l’ordre aux pilotes. En 2002, il mentit également à ce sujet lors d’une émission télé et ne proposa aucune explication. Autrement dit, même si l’un des chasseurs avait réussi à rejoindre un avion détourné après cet ordre, il n’aurait pas su qu’il avait l’autorisation de l’abattre. Le Colonel Marr avait fait ce qu’il fallait pour cela.[4]
5e obstruction
Quand le Commandant de la base de Syracuse appela le Major Nasypany pour proposer les services de ses chasseurs, il affirma que ses pilotes pouvaient être prêts dans les 15 minutes avec des mitrailleuses. Nasypany le remercia pour la proposition : "Des mitrailleuses, ça me va très bien," et il donna au Commandant de Syracuse le numéro de téléphone de son supérieur, le Colonel Marr, "si vous voulez bien l’appeler pour lui en parler".
Le Commandant de Syracuse appela Marr et lui répéta son offre : des chasseurs équipés de mitrailleuses en l’air dans les 15 minutes, ou avec des missiles à détection infrarouges dans les 30 minutes, ou avec des missiles air-air (slammers) dans l’heure. En effet, il fallait un peu de temps pour installer ces missiles sur les avions. Marr fit ce choix superflu : "je veux tout". [5] En faisant ainsi, il retarda encore une fois le décollage des chasseurs.
Tout comme il l’avait déjà fait avec les pilotes d’Otis, puis avec ceux de Langley. Comme il l’avait également fait avec Borgstrom en le faisant quitter son poste de coordinateur, et comme il l’avait fait en empêchant l’"ordre d’abattre" de parvenir jusqu’aux pilotes.
Cinq obstructions. Un seul responsable.
Conclusion
Avec l’ensemble de ces informations désormais disponibles, il n’est toujours pas prouvé que le Colonel Marr a pris toutes ces décisions dans le but d’affaiblir les défenses aériennes. A ce jour, ceci est juste une hypothèse. Elle pourrait s’avérer fausse. Mais une chose est claire : seule une nouvelle enquête indépendante sur le 11-Septembre permettra de savoir ce qu’il en est.
Source : www.youtube.com/watch ?v=QI8e1qRxqKs
Traduction GV
Note de l’auteur : Toutes les informations exposées dans ce texte proviennent du livre "Inside 911 – Neue Fakten une Hintergrunde zehn jahre danach" par Paul Scheyer, publié en 2011 par "Kai Homilius Verlag", Allemagne (ISBN : 978-3-89706-399-0).
Les sources spécifiques à chaque point abordé dans ce texte sont constituées de documents disponibles au public, comme les enregistrements de la défense aérienne, ou les notes internes de la Commission sur le 11/9, mises à disposition en 2009. Toutes les sources sont également documentées en détail dans le livre.
Références de l’auteur :
1. Témoignage du Major Daniel Nash fait le 14/10/2003 devant la Commission sur le 11/9 ; témoignage de Colin Scoggins, Contôleur aérien au Centre de Boston, le 28/10/2007 ; Bandes du NEADS, channel 2.
2. Source : Témoignage de Naspany et Marr devant la Commission sur le 11/9, le 22 et 23 janvier 2004 ; bandes du NEADS, Channel 2
3. Sources : Témoignage du Capitaine Craig Borgstrom par l’auteur Leslie Filson ; Lynn SPencer, "Touching History" (20008), pp. 118 à 148 ; Bandes du NEADS, Channel 2 ; transcriptions pp. 44-45.
4. Sources : Commimssion sur le 11-Septembre, 12e Audiences publiques, le 17.06.2004, transcription pp. 61-62. ABC News, "9/11 : Interviews par Peter Jennings". 11.09.2002 ; John Farmer, "The Ground Truth" (2009), p. 261
5. Source : Bandes du NEADS, Channel 2, 10:12 ; Aviation Week, "Exercise Jump-Starts Response to Attacks", 03.06.2002
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