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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

Honte aux affameurs !


Article source provenant d'Agoravox



Les entreprises de recouvrement pullulent...Elles sont là pour faire de l'argent sur le dos des plus pauvres....
La loi Lagarde qui devait protéger les consommateurs s'attaque très peu aux crédits révolving et pas du tout aux affameurs que sont ces entreprises du contentieux....
Quand le client d'un grand magasin ayant souscrit un crédit à la consommation ne règle pas sa dette, le vendeur n'y va par quatre chemins, il confie le dossier à une entreprise de contentieux.
Pourquoi une entreprise séparée ?
Le crédit, comme la livraison, le service après-vente des réparations et pièces détachées, c'est le côté moins qualifié et moins plaisant de la vente, toujours signe que quelque chose ne va pas, il est donc externalisé, confié à des entreprises extérieures.
Non seulement pour cette raison « psychologique », mais surtout économique : pour diminuer le nombre de travailleurs titulaires du magasin lui-même, diluer les responsabilités en cas de dysfonctionnement, de plaintes des clients pour qu'ils se perdent dans les différents interlocuteurs, et y renoncent.
Les employés des entreprises externes de contentieux, souvent peu qualifiés, écrivant quelquefois mal le français, assez faibles en droit, peu informés des dossiers qu'ils ont à traiter, sont invités à faire vite et à ne pas faire de sentiments.
C'est ainsi que de nombreuses entreprises font leur beurre : elles prennent une large commission et mettent tous les moyens en œuvre pour que la dette soit recouvrée..
Si je ne porte pas dans mon cœur ces maisons de recouvrement qui vivent sur la misère des gens, je reconnais qu'il est parfois possible d'obtenir un échelonnement de dettes et de sauver la mise de certaines familles angoissées face au « commandement » de payer.
On arrive quelquefois à régler à l'amiable des cas difficiles. Quelquefois seulement ...
Exemple récent : un allocataire du RSA, dans un état de santé précaire, venu nous demander de l'aide, doit 2000 € à un de ces magasins, qui a confié l'affaire à une boîte de contentieux. Celle-ci l'a insulté au téléphone. J'ai décroché l'appareil pour en avoir le cœur net : mon interlocuteur « m'a jeté » sans même daigner écouter mes propositions....
L'huissier est diligenté et aucune négociation n'est possible. Comment le mandataire d'un créancier peut-il pousser la stupidité à ce point : refuser un paiement (échelonné) dans l'espoir de saisir … quoi ? Il n'y a aucun bien saisissable !
Nous n'en resterons pas là, bien évidemment et cette personne peut compter sur notre soutien, notre vigilance et notre action.
La réforme du crédit à la consommation, dite loi Lagarde, présentée à la presse agrémentée de petits dessins plaisants va apparemment dans le bon sens mais fort timidement.
Les banques et tous les prêteurs ont maintenant un certain nombre d'obligations légales et les consommateurs sont mieux protégés mais le fichier positif n'est pas créé et les crédits revolving ne sont pas interdits, mais comme ils finissent par avoir mauvaise presse grâce à l'action des associations de consommateurs, ils s'appellent maintenant crédits renouvelables.
Il est aussi bien dommage et le mot est faible qu'aucune protection des familles ne soit prévue face aux margoulins qui menacent et affament les « mauvais » payeurs.
Sans doute au nom de la « concurrence libre et non faussée » ?
Jean-François Chalot
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Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...