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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

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Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

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Situation sur le site de Fukushima-Daiichi (8 avril)


Accident nucléaire niveau 7 (sur 7)


Source diverse : Tempsreel, Greenpeace, IRSN, ASN, Lemonde...



Radiations_Monographie_Effets_sante_valeurs_millisieverts_mSv


Rapport IRSN du 8 avril.



L’état de trois réacteurs (1, 2 et 3) reste très préoccupant. L’eau douce est maintenant utilisée pour refroidir les réacteurs et les piscines. Néanmoins, les moyens utilisés pour l’injection d’eau restent précaires même si de petits progrès sont signalés (par exemple les pompes d’injection d’eau sont maintenant alimentées par le réseau électrique externe à la place de moyens mobiles).

TEPCO injecte depuis le 6 avril à un débit faible de l’azote à l’intérieur de l’enceinte du réacteur n°1 afin de limiter le risque d’explosion de l’hydrogène présent dans ce bâtiment. La même action sera réalisée ultérieurement dans les enceintes des réacteurs 2 et 3. Ces opérations, qui dureront plusieurs jours pour chaque réacteur, pourront générer de nouveaux rejets atmosphériques.


La présence d’eau contaminée dans les bâtiments des turbines des trois unités résulte des déversements d’eau sur les réacteurs pour assurer leur refroidissement ainsi que de probables fuites d’eau en provenance des cuves ou des enceintes des réacteurs 2 et 3. Des opérations de pompage de cette eau sont en cours, notamment pour le réacteur 1. Celles-ci sont délicates compte tenu de la quantité d’eau à traiter et de leur forte contamination.


Une fissure du puits adjacent au bâtiment turbine du réacteur 2 a entraîné un rejet direct d’eau fortement contaminée dans la mer. TEPCO a stoppé ce rejet le 6 avril vers 6h00 heure locale en colmatant la fuite par une injection de silicate de sodium.


Depuis le 4 avril, TEPCO effectue des rejets volontaires en mer d’eau qu’il qualifie de « faiblement  contaminée ». Il s’agit principalement de 10 000 tonnes d’effluents liquides stockés dans des réservoirs, qui étaient en attente de traitement et de rejet avant l’accident. TEPCO justifie cette opération par le besoin de libérer des capacités de stockage sur site pour accueillir les eaux fortement contaminées présentes dans les bâtiments des trois unités accidentées. Ce rejet liquide devrait être terminé ce week-end. Il est par ailleurs prévu de rejeter en mer environ 1 500 tonnes d’eau présentes dans les bâtiments des unités 5 et 6 ; il s’agit probablement des conséquences de l’inondation de ces bâtiments lors du tsunami.

Les mesures effectuées depuis plusieurs jours dans l’eau de mer à proximité de la centrale montrent une forte contamination du milieu marin, conséquence de l’écoulement vers la mer d’une partie des eaux très contaminées présentes dans les unités accidentées.

Des rejets atmosphériques (panaches de vapeur) se poursuivent vraisemblablement mais ils sont de moindre ampleur que ceux résultant des opérations de dépressurisation des enceintes de confinement qui ont eu lieu au cours de la première semaine suivant le début de l’accident. Ces rejets ne devraient pas modifier de manière notable, dans les prochains jours, la contamination de l’environnement déjà présente.




Séisme du 7 avril 2011


Un séisme (7,4) a eu lieu le 7 avril à 23h23 heure locale à une profondeur de 50 km. L’épicentre se situe à quelques kilomètres de la côte Est de l’île d’Honshu, à environ 20 km de la centrale nucléaire d’Onagawa. Une alerte au tsunami a été lancée mais le risque a été écarté.


La centrale de Fukushima Daiichi n’aurait pas été affectée.

Trois autres installations nucléaires ont été touchées par ce séisme, les réacteurs 1 à 3 de la centrale d’Onagawa, le réacteur 1 de la centrale d’Higashidoori et une piscine de stockage de combustible à Rokkasho. Des pertes temporaires d’alimentations électriques externes ont été relatées, les diesels de secours ayant assuré l’alimentation des installations. Ces défaillances électriques ont conduit à une montée temporaire en température des piscines de stockage du combustible par perte de leur refroidissement.

Par ailleurs, des débordements faibles d’eau contaminée provenant des piscines de stockage de combustible dans les bâtiments des réacteurs 1 à 3 d’Onagawa ont eu lieu. Enfin, l’exploitant (Tohoku) des réacteurs d’Onagawa a mentionné que d’autres fuites étaient survenues dans les bâtiments et que des matériels étaient endommagés.

Aucun rejet lié à ce séisme n’a été enregistré à ce jour.




Note personnelle : vous remarquerez qu'il n'y a aucunes valeurs exacte dans ce rapport... Ce qui nous maintient toujours dans l'inconnu, le flou total. La situation n'a pas trop évolué mais reste toujours très préoccupante, Greenpeace à d'ailleurs classé l'accident niveau 7 d'après leur rapport publié le 28 mars mais l'ASN n'estime pas à l'heure d'aujourd'hui primordial de reclasser l'accident. La situation pouvant encore évoluer. 
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  1. Anonyme

    7 septembre 2014 à 19:22

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Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...