Apocalypse, Première Guerre mondiale - Délivrance 5/5
En octobre 1917, à Caporetto, les Italiens s’engagent dans une bataille sanglante qui les oppose aux Austro-Hongrois et aux Allemands. C’est une défaite cuisante pour les Italiens.
Au même moment, en Russie, Lénine, à la tête des bolcheviks, déclenche la Révolution d’octobre. Les nouveaux maîtres communistes de la Russie signent une paix séparée avec les Forces centrales à Brest-Litovsk en mars 1918.
Les Allemands vont alors pouvoir concentrer leurs troupes sur le front occidental. Ils réunissent leurs hommes et se mettent en marche vers la France. Les Parisiens apeurés fuient la capitale. Mais les renforts américains sont sur le pied de guerre, les « Sammies », en juillet 1918, sont désormais 1.300.000 sur le sol européen.
Les grandes offensives allemandes, qui prévoyaient la victoire finale, essuient alors un échec cuisant. Les forces Alliées, épaulées par l’Oncle Sam, vont de succès en succès : Saint-Mihiel, Bois Belleau, Vittorio Veneto ou la Marne. L’Alsace, la Lorraine, et tous les territoires pris à la France au début de la guerre sont libérés. Cette suite de victoires va précipiter la chute de l’Allemagne.
Pendant ce temps, les armées britanniques enchaînent les victoires en Orient : la Palestine, la Syrie, l’Anatolie, l’Iran, l’Irak sont autant de territoires pris aux Ottomans, qui finissent par capituler. Le 11 novembre 1918, sur les champs de bataille de France, le clairon sonne l’armistice : le combat cesse, les soldats vont enfin rentrer dans leurs foyers…
Mais certaines de ses cicatrices, très vite, vont s’ouvrir à nouveau : le règlement de la paix sera humiliant pour l’Allemagne. La « Conférence de la Paix », qui s’achève le 28 juin 1919, à Versailles, porte en elle les germes de la Seconde Guerre mondiale…
Et l’Europe en deuil, décimée, va devoir panser ses plaies et se reconstruire un avenir.
Au même moment, en Russie, Lénine, à la tête des bolcheviks, déclenche la Révolution d’octobre. Les nouveaux maîtres communistes de la Russie signent une paix séparée avec les Forces centrales à Brest-Litovsk en mars 1918.
Les Allemands vont alors pouvoir concentrer leurs troupes sur le front occidental. Ils réunissent leurs hommes et se mettent en marche vers la France. Les Parisiens apeurés fuient la capitale. Mais les renforts américains sont sur le pied de guerre, les « Sammies », en juillet 1918, sont désormais 1.300.000 sur le sol européen.
Les grandes offensives allemandes, qui prévoyaient la victoire finale, essuient alors un échec cuisant. Les forces Alliées, épaulées par l’Oncle Sam, vont de succès en succès : Saint-Mihiel, Bois Belleau, Vittorio Veneto ou la Marne. L’Alsace, la Lorraine, et tous les territoires pris à la France au début de la guerre sont libérés. Cette suite de victoires va précipiter la chute de l’Allemagne.
Pendant ce temps, les armées britanniques enchaînent les victoires en Orient : la Palestine, la Syrie, l’Anatolie, l’Iran, l’Irak sont autant de territoires pris aux Ottomans, qui finissent par capituler. Le 11 novembre 1918, sur les champs de bataille de France, le clairon sonne l’armistice : le combat cesse, les soldats vont enfin rentrer dans leurs foyers…
Mais certaines de ses cicatrices, très vite, vont s’ouvrir à nouveau : le règlement de la paix sera humiliant pour l’Allemagne. La « Conférence de la Paix », qui s’achève le 28 juin 1919, à Versailles, porte en elle les germes de la Seconde Guerre mondiale…
Et l’Europe en deuil, décimée, va devoir panser ses plaies et se reconstruire un avenir.