Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.
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Bételgeuse est une étoile, une supergéante rouge, l'une des plus grandes étoiles connues, vieille de 8,5 millions d'années seulement, mais qui est en fin de vie. C'est la neuvième étoile la plus brillante du ciel, et l'une des seules que les astronomes ont clairement vu dans leurs téléscopes sous la forme d'un disque et non pas d'un simple point. C'est la seule étoile dont les taches solaires sont visibles au téléscope (Hubble) ! Elle se trouve entre 430 et 640 années-lumière environ.
Un petit comparatif
Soleil comparé à Betelgeuse
Bételgeuse est sortie de ce qu'on appelle sa séquence principale. Qu'est-ce que ça veut dire ? Eh bien, pendant la majorité de sa vie, une étoile normale comme notre soleil fait de la fusion nucléaire d'atomes d'hydrogène. Une fois qu'elle commence à manquer d'hydrogène à fusionner, elle sort de la séquence principale, elle va se mettre à fusionner des atomes d'hélium, puis des éléments de plus en plus lourds produits par les fusions précédentes, jusqu'à des éléments aussi lourds que le fer. Et quand les étoiles en arrivent au fer, c'est qu'elle n'en ont plus pour longtemps à vivre : la fusion des éléments plus légers que le fer dégage de la chaleur, ce qui fait que l'étoile grandit (quand on chauffe un gaz, il prend plus de place). La fusion du fer est "endotherme" comme on dit, et donc cela ne permet plus l'expansion de l'étoile, et cela ne permet plus de lutter contre la force de gravité (c'est très lourd, une étoile). L'étoile se contracte donc de plus en plus vite, et quand cela se produit, on assiste à ce qu'on appelle une supernova de type II. Cela fait un moment que l'on sait que Bételgeuse est en fin de vie, et on se dit qu'elle va entrer en supernova à un moment dans les prochains millénaires. Les supergéantes sont très lourdes, donc elles durent très peu longtemps parce que les réactions de fusion vont plus vite, et les plus grosses peuvent consommer tout leur hydrogène en moins d'un million d'années (pour info le soleil est là depuis au moins 4000 fois plus longtemps et durera encore aussi longtemps). Et on sait que Bételgeuse est en train de rétrécir. Elle ne mesure plus aujourd'hui que 85% de son diamètre d'il y a une quinzaine d'années (elle rétrécit à raison de plus de 700 kilomètres à l'heure et accélère).
Une nouvelle rumeur, de l'observatoire de Mauna Kea, dit que le rétrécissement de Bételgeuse est si rapide aujourd'hui qu'elle n'est plus ronde. Qu'est-ce que ça veut dire ? Eh bien, comme une étoile tourne sur elle-même, une loi physique veut que quand elle subit un effondrement gravitationnel, cet effondrement est plus rapide au niveau de son axe polaire, mais il faudrait que ça aille très très vite pour que la différence soit ainsi visible et rende l'étoile ovale.
En gros, si cette rumeur est vraie, alors Bételgeuse n'entrera pas en supernova "à un moment dans les prochains millénaires", mais plutôt "dans les prochains mois, ou prochaines années... (en tout cas prochainement)"
Et quand elle sautera, ce sera spectaculaire. La dernière supernova qui a été observée avec une clarté comparable, c'est SN 1054 qui a été observée en l'an 1054 par le monde entier, et dont des traces ont été relevées dans des écrits japonais, chinois, perses, amérindiens. Elle était suffisamment brillante pour être visible dans le ciel à l'oeil nu pendant la journée pendant 23 jours, et près de deux ans pendant la nuit. Et elle était située environ dix fois plus loin. Quand Bételgeuse sautera, alors pendant six semaines, le ciel sera illuminé par un corps plus lumineux que la pleine lune, bien qu'incomparable avec le soleil. Mais dans certaines zones, il fera jour 24h/24, et dans certaines zones, il y aura deux soleils dont un moins lumineux.
A quoi correspond l'explosion d'une Supernova :
L'explosion cataclysmique d'une étoile peut pendant un temps briller plus vivement qu'une galaxie entière de milliards d'étoiles. Ceci arrive quand une étoile supergéante épuise tout son combustible nucléaire, provoquant ainsi l'effondrement du coeur et le relachement d'une grande quantité d'énergie qui éjecte les couches externes de l'étoile, pour ne laisser qu'une étoile à neutrons ou dans les cas extrèmes un trou noir.
Photo prise dans les années 1960 près de Reggane, dans le Sud algérien, d'un essai nucléaire français. C'est là que fut expérimentée la première bombe atomique française.
Les premières victimes des essais nucléaires français obtiendront réparation "avant la fin de l'année". C'est du moins ce qu'a promis Hervé Morin, le ministre de la défense, lundi 28 juin, à Arcueil (Val-de Marne), où il inaugurait le secrétariat du nouveau comité d'indemnisation créé par la loi du 5 janvier 2010. Installée dans les locaux de la Direction générale de l'armement, cette structure sera en service au 1er juillet, présidée par un conseiller d'Etat, Marie-Eve Aubin.
Cinquante ans après les premières explosions, une loi, adoptée le 5 janvier 2010, a reconnu que les tests nucléaires menés par la France pour construire sa force de dissuasion avaient causé des contaminations : 210 essais ont été menés entre 1960 et 1996, dans le Sahara algérien et en Polynésie. Civils ou militaires, près de 150 000 personnes ont travaillé sur ces sites. Des dizaines de milliers d'habitants de ces régions sont, en outre, potentiellement concernés. A ce jour, l'Association des vétérans des essais nucléaires (Aven) et Mururoa e Tatou ont établi 837 dossiers.
"PRÉSOMPTION DE CAUSALITÉ"
Après d'interminables navettes interministérielles, et un blocage d'un mois à Bercy, un décret d'application a fixé, le 11 juin, les conditions d'indemnisation des victimes. Le texte détermine la carte des régions et la liste des maladies dites "radio-induites" – 18 cancers – ouvrant droit à réparation. Il précise la méthode d'instruction des dossiers. Après de dures batailles, le gouvernement a accepté d'appliquer le principe de "la présomption de causalité" : toute personne atteinte d'une des 18 maladies citées, si elle était présente aux dates et aux lieux fixés par la loi, pourra demander réparation. Les Algériens pourront déposer un dossier au service des anciens combattants de l'ambassade de France, à Alger. D'autres pays, comme les Etats-Unis, ont mis en place de telles procédures. En moyenne, les malades américains ont touché des indemnités de 50 000 à 75 000 dollars. Le ministère de la défense français a prévu un budget de 12,5 millions d'euros pour 2011.
M. Morin a annoncé que plusieurs études allaient être publiées : l'une sera mise en ligne "dans quelques jours" sur le site du ministère. Menée par un organisme civil, SEPIA-Santé, auprès de 32 000 personnes exposées aux essais, elle montre que les militaires, mieux suivis, auraient développé moins de risques morbides ou mortels que les populations (exploitants agricoles, etc.). D'autres études, menées par les académies des sciences et de médecine, permettront selon le ministre de "disposer d'ici à la fin de l'année de données précises sur chacun des essais".
CANCERS DU SYSTÈME SANGUIN
Les associations jugent la liste des 18 maladies retenues trop restrictive : "Le cancer de la thyroïde est limité aux personnes qui étaient enfants au moment de leur exposition", ont-elles rappelé dans un communiqué le 28 juin, et les cancers du système sanguin – myélome et lymphomes – n'y figurent pas. Les zones géographiques retenues sont aussi très limitées : par exemple, elles ne retiennent, pour l'atoll de Hao en Polynésie, "que trois installations où se manipulaient des matières nucléaires, simplement délimitées par des grillages ou des barbelés".
Plusieurs autres questions sans réponse les inquiètent encore : les membres du comité d'indemnisation seront-ils diligents ? Les conditions de réalisation des expertises, demandées par le ministère de la défense, seront-elles équitables ? L'exigence – parfois impossible à satisfaire – de présenter les résultats d'époque d'un dosimètre va-t-elle exclure des malades ? "Il faut que ça démarre. En marchant, on verra s’il faut des ajustements", défend le député UMP Patrice Calméjane, rapporteur de la loi.
ATTAQUER LE DÉCRET EN JUSTICE
L’Association des vétérans des essais nucléaires indique que 200 premiers dossiers, les plus urgents au regard de l’état de santé des personnes, seront déposés dans les jours qui viennent, "suivis de 500 autres". "Nous nous accrochons à l’espoir que les choses progressent en marchant, car si une application stricto sensu est faite du décret, une majorité des dossiers seront exclus", explique le vice-président de l’Aven, Jean-Pierre Masson. Au vu du traitement des premières demandes, les associations disent se réserver la possibilité d’attaquer le décret en justice.
"Les listes, des maladies et des zones géographiques, pourraient être réexaminées", est convenu le ministre de la défense. La France a arrêté de conduire des essais, et elle ratifié le traité d’interdiction, elle peut "désormais être en paix avec elle-même", assure M.Morin. Qui ajoute : "Je trouve qu’on me fait un mauvais procès. Pendant 30 ans, aucune majorité, de droite ou de gauche, n’a bougé le petit doigt. Or, nous disposons maintenant d’un régime comparable à celui des autres grandes démocraties".
High Tone est un groupe de dub français (en provenance direct de Lyon), oui oui! Ils ont commencé a produire depuis 1997 et en sont à leur... euh... eh bien 7e albums! Perso je n'ai entendu parlé d'eux que depuis cette année et je vous assurer qu'ils sont vraiment bon! Donc dans ce nouvel album (ou plutôt double album) un bon mélange de gros dubstep, electro, hip hop, reggae et experimental, je l'ai découvert ce week end, ça m'a bien fait plaisir! Le premier disque est plutôt typé dubstep, influencé de la scène anglaise et le second plutôt freestyle, dans le style du groupe je dirais c'est à dire dub, electro, expérimental (folk, acoustic, sonorité orientale, noise, etc...). J'adhère!
Malcolm Little n'a que 6 ans lorsque son père est assassiné par des Blancs du sud. Il est ensuite arraché à sa famille par les services sociaux et placé dans une famille d'accueil. A 15 ans, il se rend aux ghettos noirs de Boston puis de Harlem où il vit de petits boulots et de trafics divers. En 1946, il est condamné à dix ans de prison pour cambriolage. Il y rejoint la Nation of Islam, partisane de la création d'un Etat noir indépendant sur le sol américain, et se convertit à l'islam. Libéré en 1952, il abandonne son nom d'esclave et devient Malcolm X. Devenu pasteur, il se fait le porte-parole de l'idée de fierté et d'autodéfense des Noirs et contribue au formidable essor de la NOI (Nation Of Islam). Mais peu à peu, il rompt avec la conception sectaire de la lutte de la NOI - il en est d'ailleurs exclu - en comprenant la nécessité d'un combat unitaire transcendant les barrières raciales et les frontières étatiques. Aussi accepte-t-il l'aide extérieure des Blancs, de s'associer à d'autres leaders et commence à jouer le rôle de pivot entre les luttes anti-impérialistes d'autres pays tels Cuba et le Congo. En 1964, il effectue son pèlerinage à la Mecque et à son retour, est tenu par les médias responsable de l'embrasement des ghettos. Se sachant menacé, il meurt assassiné dans le temple de Harlem.
Malcolm X était assez radical dans ses idées mais pour l'époque il était nécéssaire de se faire violence pour faire bouger les choses, changer les mentalité. C'est un personnage incontournable du 20e siècle que j'admire par sa détermination et son courage.
Partout, la raréfaction de l'"or bleu" aiguise les appétits des multinationales (dont les sociétés Vivendi et Suez) pour s'emparer de l'eau au mépris de l'intérêt collectif. Un constat implacable, fruit d'une enquête planétaire de trois ans.
Qu'en est-il de la préservation, des réserves naturelles et de la distribution de l'eau dans les années à venir ? Durant trois ans, des États-Unis à l'Afrique du Sud en passant par le Rajasthan et la Bolivie, Irena Salina a interrogé scientifiques, militants écologistes, porte-parole d'entreprises ou simples citoyens pour dresser un constat alarmant. L'eau représente désormais la troisième industrie mondiale après le pétrole et l'électricité, mais son caractère vital et sa raréfaction accélérée vont en faire, à court terme, la première ressource potentielle de profits à la surface du globe. Partout, y compris aux États-Unis, l'accès à l'eau potable est devenu problématique, et trente mille personnes meurent par jour dans le monde faute d'en bénéficier. Dans les bidonvilles des pays pauvres, la privatisation des réseaux, encouragée par la Banque mondiale - au profit notamment de deux multinationales françaises, Vivendi et Suez, et d'une britannique, Thames Water, les trois plus offensives en la matière - exclut un nombre croissant d'habitants, incapables de payer des factures qui ont augmenté brutalement. Et alors que l'"or bleu" excite de plus en plus ouvertement les convoitises, on découvre que le Conseil mondial de l'eau, créé officiellement pour arbitrer entre les intérêts contradictoires des États, des entreprises et des citoyens, est dirigé ouvertement par les représentants de Vivendi, Suez ou Veolia. Aux États-Unis, autre exemple, l'administration républicaine a refusé d'interdire le composant chimique nocif désormais proscrit en Europe, l'atrazine, que l'on retrouve, entre autres, dans l'eau du robinet. Quant à Nestlé et autres vendeurs d'eau en bouteille, ils se livrent à une compétition effrénée pour capter ce marché de plus en plus lucratif, quitte à saccager sources et rivières.
Pillage
Irena Salina met en évidence un scandale écologique, scientifique, économique et humain majeur : le pillage d'une ressource naturelle qui condamne à l'avance des millions d'êtres humains. Elle montre aussi comment les gouvernements et les institutions (ici la Banque mondiale) appuient les appétits privés, dans des domaines qui, autrefois, relevaient du service public. Son film constitue aussi un véritable appel à la résistance. Car un peu partout, les populations spoliées cherchent à s'organiser, dans un combat pour l'eau à l'issue plus qu'incertaine.
Comment la musique noire a rythmé le combat pour l'émancipation des Afro-Américains sur près de deux siècles. Un maelström de sons et d'images.
Résumer plus d'un siècle et demi d'histoire des Noirs américains et de leur production musicale en moins de deux heures relève de la gageure. C'est pourtant le pari gagné par les réalisateurs, qui plongent le spectateur dans un ébouriffant maelström de rythmes et d'images. Les racines de toutes les musiques nées aux États-Unis, du blues au hip-hop, se trouvent en Afrique. Tout comme les spirituals et les work songs ont accompagné et soutenu l'espoir des esclaves enchaînés dans le Sud profond, chaque avancée, chaque combat des Noirs américains a été annoncé, célébré ou amplifié par le rythme, le chant, la danse.
La pulsation de l'histoire
Au son de mélodies et de paroles qui ont conquis le monde entier, les grandes étapes de l'histoire défilent. L'abolition de l'esclavage, le maintien de la ségrégation dans le Sud, la lutte pour les droits civiques, les grandes émeutes urbaines, mais aussi les Années folles, les Trente Glorieuses, le capitalisme triomphant de la période Reagan ou le matérialisme arrogant de l'ère Bush Junior : à chaque événement, chaque époque, correspond un style musical. On se noie dans le swing et la trompette de Louis Armstrong pour oublier la Grande Dépression, on s'étourdit au son du disco pendant la crise économique des seventies. Les chansons les plus célèbres prennent valeur de manifestes politiques : le terrible "Strange fruit" de Billie Holiday ou l'acerbe "Mississippi Goddam" de Nina Simone et plus tard les explosifs "I'm black and I'm proud" de James Brown ou "Fight the power" de Public Enemy... jusqu'à nos jours.
Documentaire de qualité qui mêle images d'archives, musiques et émotions. J'ai rarement vu un aussi bon résumé. Comme tout résumé, le réalisateur a été obligé de faire des petits raccourcis mais au vu du résultat, rien à redire!
Conjuguées au dérèglement climatique, les logiques économiques actuelles conduisent à brève échéance à une catastrophe alimentaire planétaire. Est-il trop tard pour inverser la tendance ?
La récente flambée des prix agricoles a été un coup de semonce : jamais le monde n'avait affronté une crise alimentaire d'une telle ampleur. Mais comme le montre l'enquête d'Yves Billy et Richard Prost, les difficultés ne font que commencer. Les stocks mondiaux de céréales baissent depuis huit années consécutives et n'assurent plus à la population mondiale qu'une avance de vingt jours d'alimentation, bien en deçà du niveau officiel de sécurité fixé à soixante-dix jours. Aujourd'hui, rappellent-ils, 925 millions de personnes souffrent de la faim sur la planète et leur nombre croît de plus en plus vite. À la hausse du prix des matières premières, à la raréfaction de l'eau et des surfaces arables et aux ravages causés par les dérèglements climatiques se sont ajoutés deux phénomènes ré-cents : au moment même où la demande chinoise en céréales s'accélérait brutalement, les biocarburants ont commencé à redessiner la carte de l'agriculture mondiale. Par exemple, la production américaine d'éthanol à base de maïs, qui engloutit le tiers des récoltes du pays, devrait passer de 80 millions de tonnes en 2007 à 120 millions cette année. Quant au productivisme agricole, qui en un demi-siècle a épuisé les sols et pollué l'environnement, il a atteint ses limites. Tout comme le dogme néolibéral, qui a poussé les pays du Sud à tout miser sur des cultures d'exportation, mettant la survie des populations locales à la merci des cours mondiaux.
Nourrir les hommes ou l'économie ?
Les réalisateurs ont enquêté en Europe, interrogé de nombreux spécialistes de l'agriculture et de l'alimentation, parcouru les exploitations céréalières de l'Argentine et des États-Unis, puis traversé une Chine en voie d'urbanisation accélérée. Pour parvenir à nourrir sa population, celle-ci investit désormais à l'extérieur de ses frontières, en Afrique, en Corée du Sud et, justement, en Argentine. Avec l'exemple du maïs et du soja, deux cultures majoritairement livrées aux OGM, que l'industrie, mais aussi l'élevage intensif, disputent à l'alimentation humaine, ils nous permettent de comprendre très concrètement pourquoi la demande agricole grimpe alors que l'offre baisse. Une démonstration accablante, qui nous interroge : sommes-nous capables de modifier le cours de cette catastrophe annoncée ?
Le phénomène est planétaire : la pollution engendre une diminution de l'ensoleillement. Mais ne nous sauve-t-elle pas d'un réchauffement climatique encore plus agressif ?
Dans le documentaire, l'idée d'un réchauffement dû au CO2 comme la cause unique du réchauffement climatique est mise en avant... Je pense que cela va plus loin que le CO2 seul, certaines forces nous dépassent et l'une de celles qui nous surpasse, et de loin, c'est le Soleil.
Comment faire face à la menace écologique que font peser les déchets plastiques ? Un tour du monde à la fois loufoque et très documenté.
Villes et campagnes, montagnes et déserts, rivières et fonds sous-marins : les déchets de plastique ont tout envahi. Alors que ce matériau n'existe que depuis un siècle, il polluera encore notre environnement dans plusieurs milliers d'années. Le constat est alarmant, mais une prise de conscience commence à se faire à l'échelle mondiale. Non seulement il importe de fabriquer moins d'objets, contenants et emballages en plastique, mais leur recyclage pourrait être amélioré. Des entreprises proposent désormais des solutions alternatives. Les stylistes s'y mettent et proposent des éléments de décoration, des robes et des accessoires en plastique recyclé ! Il serait aussi possible de fabriquer des matériaux ayant les mêmes vertus que le plastique mais biodégradables, en utilisant des végétaux. Du bioplastique, en quelque sorte. Un passionnant périple où alternent images choc (le garbage patch dans l'océan Pacifique, les décharges indiennes à ciel ouvert, les plages de Hawaii...) et paroles d'experts.
La solutions des biocarburants est une arnaque à l'échelle mondiale, le mot est peu être fort mais il convient à la situation.
La conception d'un biocarburant demande plus d'energie qu'elle n'en fourni, ce qui rend cette alternative... futile. En plus de ça les surfaces consacrées aux cultures vivrière sont considérablement réduite pour la plantation des champsau profil des biocarburants...
En Indonésie, la forêt pluviale est rasée pour faire place à la production d'huile de palme. Tandis que l'huile exportée vers l'Europe rapporte de substantiels bénéfices aux producteurs, les populations expropriées sans dédommagement sont contraintes de mendier leur nourriture. En Inde, le programme de biocarburants lancé par Mercedes Benz (et subventionné par des fonds européens) repose sur le jatropha, une plante oléagineuse toxique pour l'homme et les animaux qui ("soit disant") pousse sur des terrains semi-arides et donc n'entrerait pas en concurrence avec des cultures vivrières... Mais la réalité est tout autre.
Consernant le fameux 11/9/2001, les théories du complot (trop complexe) comme celle qui sont contre (bisounours), n'ont pas suffisamment ou trop détaillé les évènements ce qui les rends tout deux obsolète à mes yeux.
L'explication est bien plus simple mais je vous laisse la découvrir par vous même...
Donc pour revenir au sujet si on ne s'en arrête qu'aux fait (attention aux yeux la lecture risque d'être longue... ou pas, c'est vous qui décidez...)
Le problème qui se pose là n'est pas nécéssairement de savoir si l'écroulement de ces tours est dû ou non à un crash d'avion, mais c'est que les tours ont au final été TOTALEMENT détruite, j'insiste sur le totalement car il a son importance.
Par exemple : une démolition controlé ratée en Chine.
Et une autre en Turquie :
Et il a beaucoup d'autre exemples...
Si vous voulez voir des bâtiments écroulés, regardez le résultat après un tremblement de terre : un empilement de dalles de béton, des murs écroulés, du mobilier brisé... mais rien ne manque!
Maintenant comparez avec ce qui reste du WTC. Rien ne vous choque ?
Où est la montagne de dalles empilées les unes sur les autres (je rappelle pour les distraits : 110 étages, 90 000 TONNES de béton) ? Où est le monstrueux enchevêtrement des colonnes du noyau central (47 colonnes sur 400 m, donc un bon 18km) ? Où sont le mobilier, les fournitures, le matériel ?
Bref, il manque de la matière, et pas qu'un peu (1,6 Millions de tonnes de débris on été récupéré sur le site sur 4,5 Millions de tonnes au départ (*), soit 2,9 Millions de tonnes évaporées...)
(*) "Les deux tours emblématiques du World Trade Center (WTC1 et WTC2 appelées aussi Twin Towers) étaient les plus hauts gratte-ciel de New York (417 et 415 mètres, 110 étages); leur surface habitable était de 800 000 m², tandis que leur poids respectif atteignait environ 4.5 millions de tonnes"
http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=4329
Un effondrement ne pulvérise pas des dizaines de milliers de tonnes de béton en une fine poussière dont l'atmosphère était saturée. Un effondrement ne produit pas les dizaines de tonnes d'acier liquide qu'on a retrouvé dans les fondations.
Une tour qui s'éffondre ne chute jamais de façon quasi symétrique sauf en cas de démolition controlé.
Documentaire bien cool, faisant le tour du monde dans les principales villes porteuses du virus du graffiti après un cour passage sur l'histoire de ce mouvement. J'ai trouvé le principe vraiment sympa, avec des interview de graffeurs venant de tout horizons. Pas toujours d'accord sur ce qui se dit mais ce qui est montré méritait bien d'être vu.
Entre autre un petit zoom sur la brigade de nettoyage de Los Angeles... haha!
Historique et avenir de l'énergie fossile la plus prisée au monde.
En rassemblant des images d'archives, des documents de la NASA et des extraits de films, le réalisateur Ray McCormack et le journaliste Basil Gelpke prévoyaient déjà, il y a deux ans, la crise du pétrole dans laquelle nous sommes entrés. Dans un tour du monde d'experts, leur documentaire montre comment, en 150 ans, l'homme a presque épuisé des réserves qui ont mis plusieurs millions d'années à se constituer. Ce constat soulève des questions inquiétantes pour l'avenir proche : combien de pétrole reste-t-il ? Se pourrait-il qu'une guerre éclate entre des pays s'arrachant les dernières réserves ? La recherche se tourne vers de nouvelles sources d'énergie, pour que l'on puisse un jour pallier l'épuisement de ces ressources non renouvelables. Ainsi, au-delà de l'avenir du pétrole et de son histoire, le film s'interroge sur la question énergétique dans sa globalité, sans doute la plus importante et la plus complexe de notre époque, dont il expose avec clarté et rigueur les paramètres écologiques, économiques et politiques.
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Un film-documentaire vraiment instructif qui retrace l'histoire du b-boying (danse hip-hop ou breakdance) au États Unis. Dommage qu'il ne soit pas sous titré français. En tout cas de belles images qui montre le hip-hop sans toute les daubes qui s'y sont greffées par la suite. Documentaire resituant le mouvement du b-boying ainsi que l'ambiance de partage et la bonne humeur grâce aux témoignages des anciens b-boys qui ont vécu au travers de cette contre culture.
Ça pourrait faire sourire plus d'une personne mais il y a de ça 4 ans, je m'étais penché sur ce qu'il s'est passé le 11 septembre. Car cette histoire m'avais particulièrement marqué... ça va bientôt faire 10 ans maintenant...
Et comme pas mal de gens (il y a 4 ans) je ne me suis plus seulement contenté de ce que les médias me disaient, j'ai essayé à l'époque de me forger mon opinion sur le sujet et à force de me séparer des médias "officiels", je fini par prôner la théorie du complot... malédiction, haha!
Aujourd'hui je me suis remémoré ces moments (assez drôle limite mélancolique) mais avec du recule et un micro zeste de maturité, en observant médias (télévision, journaux, internet, ...) les officiels, les moins officiels, ceux qui prône la désinformation à tout va et ainsi de suite, je me suis reposé quelques questions qui me laissent sérieusement perplexe : Mais qu'est ce qu'il s'est réellement passé à l'époque? Jusqu'où le gouvernement des Etats Unis est capable d'aller pour rester no.1 ? Pourquoi cet évènement est devenu limite taboo alors qu'il n'a pas été clairement élucidé? Et surtout pourquoi les gens nous prennent pour des débiles quand on parle de ça?
Donc j'ai ressorti des vidéos qui certes ne détiennent pas la vérité absolue mais qui font un peu réfléchir...
J'irais pas (plus) jusqu'à crier au complot mais je pense qu'on nous à pas tout dit... c'est juste mon avis. Les 2 vidéos sont assez intéressante à mon goût et soulèvent quelques questionnements.
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Ayant récemment acquis un vieux tourne disque (Minerva RRP 100), je me suis mis à acheter de nombreux vinyles pas forcément neuf et souvent crade (poussières, moisissures, taches...)
J'ai donc effectué quelques recherche et me suis renseigné sur la méthode pour entretenir ces galettes.
D'après ce que j'ai pu réunir comme informations il y aurait plusieurs méthodes pour nettoyer ses vinyles, j'en ai retenue 3 :
- La première consiste à utiliser de l’eau distillée et très peu de liquide vaisselle en frottant (gestes criculaires) avec une brosse aux poils trèèèès souple. Séchez avec un tissu pour ne pas laisser de résidus. Puis continuez avec un rapide lavage à l’alcool isopropylique pour se débarrasser des traces d’eau résiduelles et séchez à l’air libre.
- La seconde est simple, un nettoyant pour vitre (de préférence sans alcool). Quelques vaporisations sur la galette et plusieurs coup de chiffon après (dans le sens des sillons du vinyle) c'est tout propre!
- et la dernière consite à mélanger de l'eau distillé et de l'alcool à 90° (moitié/moitié). Passer un chiffon doux ou un vieux T-shirt avec ce mélange et ensuite décrasser le vinyle toujours d'un geste circulaire.
Sinon pour les trace de doigt il y a toujours les éternels chiffons antistatiques!
Pour ceux qui ont les moyens il existe aussi des produit pour nettoyer les vinyles, comme par exemple sur ce site : PG Plastique ou sinon les bains pour vinyles...
Plongée en Méditerranée où l'hydrate de méthane, sans doute le combustible de demain, intéresse autant les scientifiques que l'industrie pétrolière.
Avec une équipe de scientifiques internationaux, le géologue marin Gerhard Bohrmann mène des études en Méditerranée sur l'hydrate de méthane, un composé cristallin dans lequel les molécules de gaz naturel sont piégées dans de la glace et que l'on trouve dans les fonds marins. De grandes quantités de méthane sont ainsi stockées, mais elle pourraient être libérées en raison du réchauffement climatique, ce qui aggraverait encore le phénomène...
La responsabilité de l'homme dans le réchauffement de notre planète n'est plus mise en doute aujourd'hui. Cependant, plusieurs études scientifiques démontrent que les raisons de cette évolution climatique sont plus larges.
Si personne, aujourd'hui, ne met en cause le rôle que joue l'effet de serre sur l'évolution climatique, de plus en plus de voix scientifiques proposent de le mettre en relation avec les mécanismes naturels qui se produisent à grande échelle, dans le temps et l'espace. Géologues, astronomes et paléo-climatologues observent l'évolution climatique dans un contexte large de 500 millions d'années : d'après eux, le réchauffement doit être étudié en fonction de rapports complexes entre différents phénomènes. Le documentaire rend compte de ces recherches sur le réchauffement. Il présente les travaux d'un physicien danois, Henrik Svensmark, qui a mis en corrélation l'activité magnétique du soleil, les rayons cosmiques et les formations de la couche nuageuse, régulatrice des températures terrestres.
Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre. Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre. Mais là n'est pas la question...
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