Greenpeace actionnaire de British Petroleum
La société BP, anciennement nommée British Petroleum puis BPAmoco, est une compagnie britannique de recherche, d’extraction, de raffinage et de vente de pétrole fondée en 1909.
Après sa fusion avec Amoco, Atlantic Richfield (Arco) et Burmah Castrol, elle est devenue la plus grande société du Royaume-Uni et la troisième compagnie pétrolière mondiale. La division BP de Londres est évaluée à environ 50 milliards USD (environ 39 milliards d’euros). Internationalement, BP est présente dans plus de 100 pays et emploie environ 115 000 personnes (2006). À la fois par responsabilité sociale et pour garantir sa pérennité, la société investit depuis quelques années dans l’énergie solaire.
Le choix du slogan de la société BP, « Beyond Petroleum » (Au-delà du pétrole), serait dû à l’imminence du pic pétrolier. Il peut également être dû à l’action du groupe d’actionnaires militants Sane BP (dont Greenpeace fait partie), qui propose des résolutions environnementales depuis 1999 à chaque assemblée générale.
BPAmoco fut formée en 2001 par ce qui a été officiellement décrit comme la fusion de British Petroleum et d’Amoco pour éviter toute concurrence. Cependant, après un an d’opérations communes, les deux géants ont regroupé la plupart des opérations et se sont renommés BP.
realinfo.wordpress.com
C'est une manoeuvre de plus en plus courante. Une centaine de militants de Greenpeace ont acheté des actions BP Amoco. Objectif: s'inviter à l'assemblée générale du groupe et, ainsi, tenter de bloquer les projets du géant pétrolier britannique en Alaska. Regroupés sous le nom de Sane BP (Shareholders Against New Oil Exploration, les actionnaires contre une nouvelle exploitation pétrolière), les militants écologistes veulent expliquer, lors de l'assemblée générale des actionnaires de BP Amoco le 15 avril, les menaces du projet pour l'environnement. Selon Greenpeace, celui-ci serait «le premier champ pétrolifère exploité dans l'Océan arctique» et risque d'ouvrir la voie à l'exploitation de nouvelles réserves dans d'autres mers arctiques comme Beaufort, Chukchi, Barents ou Kara.
BP Amoco a rejeté la résolution déposée par Greenpeace visant à obtenir un vote des actionnaires sur la poursuite du projet. Mais l'organisation écologiste a écrit à 20 gestionnaires de fonds britanniques affichant des préoccupations «éthiques» pour leur demander de faire connaître leur position au groupe pétrolier avant la réunion. Selon une étude citée par Greenpeace, il y a une chance sur quatre d'importante marée noire durant les quinze années d'exploitation prévues sur le site arctique.
liberation.fr
Greenpeace veut dire la vérité:
Juste avant la prise de parole de Steve Westwell, Emma Gibson, militante de Greenpeace, est montée sur scène et a pris la parole pour interpeller les invités réunis : «dans la mesure où BP est incapable de vous dire la vérité, je vous dirai ce que vous devez savoir» .
Lors de cette intervention Emma et les militants de Greenpeace ont dénoncé l’immense danger que représentent les forages off shore qui mènent à des catastrophes de grande ampleur comme on le constate aujourd’hui dans le Golfe du Mexique. Ils ont également mis sous les projecteurs les risques que représentent l’extraction des sables bitumineux, synonyme de déforestation.
Les militants ont déployé, sur scène, une banderole sur laquelle on pouvait lire : ‘GO BEYOND PETROLEUM’ (« aller au delà du pétrole »)
Révéler et dénoncer la catastrophe des sables bitumineux
En plus de ses projets de forages off shore, BP, comme d’autres compagnie du secteur (et notamment Total) souhaite investir des millions pour extraire le bitume issu des sables bitumineux de la forêt boréale canadienne.
Sans avoir l’impact visuel et médiatique d’une marée noire, cette exploitation a également des conséquences dramatiques pour l’environnement, le climat et les populations autochtones : exploiter les sables bitumineux est la façon la plus sale, la plus chère et la plus énergivore de produire du pétrole. La production d’un baril issu de ces sables nécessite 5 barils d’eau, un demi baril de gaz et émet jusqu’à cinq fois plus d’émissions de gaz à effet de serre que le pétrole conventionnel.
Pour Greenpeace, l’impact environnemental de l’extraction des sables bitumineux est tout aussi dangereux que la marée noire actuelle.
Les entreprises doivent investir dans les énergies alternatives, pour sortir de l’âge du pétrole !
Les pays industrialisés dépensent aujourd’hui environ 100 milliards de dollars chaque année en investissant dans des entreprises des secteurs du pétrole, du gaz et du charbon …
Greenpeace.fr
Personnellement j'ai jamais aimé Greenpeace, parce que malgré le fait qu'ils fassent passer des messages emplis de vérités, ils m'ont toujours parut faux et dans le cas présent il ne font que confirmer mon point de vue.
Ils auront beaux trouver toutes les excuses du monde, ils restent malgré tout actionnaires d'une très grande compagnie pétrolière... L'ami de mon ennemis est mon ennemis, enfin vous voyez ce que je veux dire.
C'est ça l'écologie... Se faire de l'argent sur le dos du peuple.
Quelques articles qui pourraient vous intéresser :
GasLand
H2Oil (sable bitumineux)
Crash pétrolier : Cruel sera le réveil
11 septembre : Mythe ou réalité?
La face cachée du pétrole 1/2
La face cachée du pétrole 2/2
Irak, de la dictature au chaos
L'histoire secrète du pétrole :
>Le temps des grands rapaces
>Le temps des complots
>Le temps des batailles
>Le temps des premiers craquements
>Le règne despotique des 7 soeurs
>Le temps des magouilles
>Le temps des règlements de compte
>Le temps des scandales et du repli
Après sa fusion avec Amoco, Atlantic Richfield (Arco) et Burmah Castrol, elle est devenue la plus grande société du Royaume-Uni et la troisième compagnie pétrolière mondiale. La division BP de Londres est évaluée à environ 50 milliards USD (environ 39 milliards d’euros). Internationalement, BP est présente dans plus de 100 pays et emploie environ 115 000 personnes (2006). À la fois par responsabilité sociale et pour garantir sa pérennité, la société investit depuis quelques années dans l’énergie solaire.
Le choix du slogan de la société BP, « Beyond Petroleum » (Au-delà du pétrole), serait dû à l’imminence du pic pétrolier. Il peut également être dû à l’action du groupe d’actionnaires militants Sane BP (dont Greenpeace fait partie), qui propose des résolutions environnementales depuis 1999 à chaque assemblée générale.
BPAmoco fut formée en 2001 par ce qui a été officiellement décrit comme la fusion de British Petroleum et d’Amoco pour éviter toute concurrence. Cependant, après un an d’opérations communes, les deux géants ont regroupé la plupart des opérations et se sont renommés BP.
realinfo.wordpress.com
C'est une manoeuvre de plus en plus courante. Une centaine de militants de Greenpeace ont acheté des actions BP Amoco. Objectif: s'inviter à l'assemblée générale du groupe et, ainsi, tenter de bloquer les projets du géant pétrolier britannique en Alaska. Regroupés sous le nom de Sane BP (Shareholders Against New Oil Exploration, les actionnaires contre une nouvelle exploitation pétrolière), les militants écologistes veulent expliquer, lors de l'assemblée générale des actionnaires de BP Amoco le 15 avril, les menaces du projet pour l'environnement. Selon Greenpeace, celui-ci serait «le premier champ pétrolifère exploité dans l'Océan arctique» et risque d'ouvrir la voie à l'exploitation de nouvelles réserves dans d'autres mers arctiques comme Beaufort, Chukchi, Barents ou Kara.
BP Amoco a rejeté la résolution déposée par Greenpeace visant à obtenir un vote des actionnaires sur la poursuite du projet. Mais l'organisation écologiste a écrit à 20 gestionnaires de fonds britanniques affichant des préoccupations «éthiques» pour leur demander de faire connaître leur position au groupe pétrolier avant la réunion. Selon une étude citée par Greenpeace, il y a une chance sur quatre d'importante marée noire durant les quinze années d'exploitation prévues sur le site arctique.
liberation.fr
Greenpeace veut dire la vérité:
Juste avant la prise de parole de Steve Westwell, Emma Gibson, militante de Greenpeace, est montée sur scène et a pris la parole pour interpeller les invités réunis : «dans la mesure où BP est incapable de vous dire la vérité, je vous dirai ce que vous devez savoir» .
Lors de cette intervention Emma et les militants de Greenpeace ont dénoncé l’immense danger que représentent les forages off shore qui mènent à des catastrophes de grande ampleur comme on le constate aujourd’hui dans le Golfe du Mexique. Ils ont également mis sous les projecteurs les risques que représentent l’extraction des sables bitumineux, synonyme de déforestation.
Les militants ont déployé, sur scène, une banderole sur laquelle on pouvait lire : ‘GO BEYOND PETROLEUM’ (« aller au delà du pétrole »)
Révéler et dénoncer la catastrophe des sables bitumineux
En plus de ses projets de forages off shore, BP, comme d’autres compagnie du secteur (et notamment Total) souhaite investir des millions pour extraire le bitume issu des sables bitumineux de la forêt boréale canadienne.
Sans avoir l’impact visuel et médiatique d’une marée noire, cette exploitation a également des conséquences dramatiques pour l’environnement, le climat et les populations autochtones : exploiter les sables bitumineux est la façon la plus sale, la plus chère et la plus énergivore de produire du pétrole. La production d’un baril issu de ces sables nécessite 5 barils d’eau, un demi baril de gaz et émet jusqu’à cinq fois plus d’émissions de gaz à effet de serre que le pétrole conventionnel.
Pour Greenpeace, l’impact environnemental de l’extraction des sables bitumineux est tout aussi dangereux que la marée noire actuelle.
Les entreprises doivent investir dans les énergies alternatives, pour sortir de l’âge du pétrole !
Les pays industrialisés dépensent aujourd’hui environ 100 milliards de dollars chaque année en investissant dans des entreprises des secteurs du pétrole, du gaz et du charbon …
Greenpeace.fr
Personnellement j'ai jamais aimé Greenpeace, parce que malgré le fait qu'ils fassent passer des messages emplis de vérités, ils m'ont toujours parut faux et dans le cas présent il ne font que confirmer mon point de vue.
Ils auront beaux trouver toutes les excuses du monde, ils restent malgré tout actionnaires d'une très grande compagnie pétrolière... L'ami de mon ennemis est mon ennemis, enfin vous voyez ce que je veux dire.
C'est ça l'écologie... Se faire de l'argent sur le dos du peuple.
Quelques articles qui pourraient vous intéresser :
GasLand
H2Oil (sable bitumineux)
Crash pétrolier : Cruel sera le réveil
11 septembre : Mythe ou réalité?
La face cachée du pétrole 1/2
La face cachée du pétrole 2/2
Irak, de la dictature au chaos
L'histoire secrète du pétrole :
>Le temps des grands rapaces
>Le temps des complots
>Le temps des batailles
>Le temps des premiers craquements
>Le règne despotique des 7 soeurs
>Le temps des magouilles
>Le temps des règlements de compte
>Le temps des scandales et du repli
Oleg
9 mai 2020 à 06:30
Je veux partager un témoignage sur la façon dont le service de financement Le_Meridian m'a aidé avec un prêt de 2 000 000,00 USD pour financer mon projet de ferme de marijuana, je suis très reconnaissant et j'ai promis de partager cette société de financement légitime à quiconque cherche un moyen d'étendre son entreprise projet.l'entreprise est une société de financement. Toute personne cherchant un soutien financier doit les contacter sur lfdsloans@outlook.com Ou lfdsloans@lemeridianfds.com M. Benjamin est également sur Whatsapp 1-989-394-3740 pour faciliter les choses pour tout demandeur.