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Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

Gorillaz - Fire coming out of a Monkey's head


Gorillaz - Fire coming out of a Monkey's head (Demon day's album)




Traduction :


L'histoire est narrée par Dennis Hopper.
 


Il était une fois au pied d'une gigantesque montagne
Une ville où des gens connus sous le nom de Happyfolk (1) vivaient.
Leur existence entière était un mystère pour le reste du monde,
Obscurcie comme par des nuages gris.
Ici se déroulaient leurs vies paisibles,
En dehors de la litanie de l'excès et de la violence
Qui grandissaient dans le monde en dessous.
Vivre en harmonie avec l'esprit de la montagne appelé Singe était suffisant.
Mais un jour des Strangefolk (2) arrivèrent dans la ville.
Ils vinrent camouflés, cachés derrière des lunettes sombres,
Mais personne ne les remarqua : ils ne virent que des ombres.
Voyez vous, sans la Vérité des Yeux, les Happyfolk étaient aveugles.
 
Sautant d'avions et se cachant dans des trous,
Attendant que le coucher du soleil arrive, que les gens rentrent chez eux.
Ils sautent derrière eux et leur tirent dans la tête,
Maintenant tout le monde danse la danse macabre
La danse macabre, la danse macabre.
 
Au fil du temps, les Strangefolk trouvèrent le moyen d'atteindre les hauteurs de la montagne,
Et c'est là qu'ils trouvèrent les Grottes de l'Inimaginable Sincérité et du Don
Par hasard, ils tombèrent sur l'Endroit Où Toutes Les Bonnes Âmes Viennent Reposer.
Les Strangefolks, ils convoitaient par dessus tout les pierres précieuses dans les grottes,
Et bientôt, ils commencèrent à miner la montagne, ses richesses semblèrent alimenter le chaos de leur propre monde.
Pendant ce temps là, en bas dans la bille, les Happyfolk dormaient d'un sommeil agité,
Leurs rêves étaient envahis de ces figures ténébreuses qui creusaient leurs âmes.
Chaque jour, les gens se levaient et regardaient la montagne.
Pourquoi apportait-elle les ténèbres dans leurs vies ?
Et tandis que les Strangefolk creusaient encore et encore dans la montagne,
Des trous commencèrent à apparaître, apportant avec eux un vent froid et mordant qui les fit frissonner jusqu'à l'âme.
Pour la première fois, les Happyfolk se sentaient remplis de peur car ils savaient que bientôt, le Singe s'éveillerait vite de son profond sommeil.
Et alors vint un son.
D'abord distant, il devint une cacophonie si grande qu'elle pouvait être entendu de l'espace lointain.
Il n'y avais plus de cris.
Il n'y avait plus de temps.
La montagne appelée Singe avait parlé.
Il n'y avait que du feu.
Et ensuite, plus rien.
 
Oh petite ville des Etats-Unis, le temps est venu pour toi de voir
Qu'il n'y a rien que tu crois vouloir
Mais où étais-tu quand tout ça est tombé sur moi ?
M'as-tu appelé maintenant ?
 



(1) Littéralement, Gensheureux.

(2) Littéralement, Gensbizarres.

(source de la traduction Lacoccinelle.net

Qui veut gagner des milliards?


Un an après la chute de Lehman Brothers, la vie quotidienne de la City de Londres, où la crise n'a strictement rien changé.

Sur quelques kilomètres carrés au bord de la Tamise, la City de Londres représente la plus grande concentration de banques au monde, employant 300 000 personnes de toutes nationalités et brassant, chaque jour, des centaines de milliards de livres sterling. Bien que les excès des banques aient entraîné une crise économique majeure, et en dépit des pressions internationales, la City refuse d'être soumise à quelque régulation que ce soit. Tout semble y avoir recommencé comme avant : banquiers surpayés, fonds spéculatifs, pratiques risquées… Plongée au cœur d'un univers aussi feutré que cynique, ce film cherche à comprendre pourquoi. Il raconte comment ce petit bout d'Angleterre est devenu, au fil des décennies, la capitale du système bancaire mondial et pourquoi il a fini par oublier sa mission première : financer l'économie.




Partie 1 :








Partie 2 :








Partie 3 :







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Un paradis radioactif



Les essais nucléaires menés par la France dans le Pacifique ont durablement affecté l'environnement et les populations.

Ce documentaire dénonce la destruction d'une région autrefois considérée comme un paradis terrestre. Liberté, égalité, radioactivité ! Dans les années 60, désireuse de rester dans le camp des grandes puissances, la France veut se doter de sa propre arme nucléaire. Les premiers essais commencent dans le Sahara algérien. Après l'indépendance de l'Algérie, les autorités françaises décident de poursuivre leurs essais dans le Pacifique, en Polynésie française, notamment sur les atolls de Mururoa et de Fangataufa. Le 2 juillet 1966, de Gaulle regarde le premier champignon atomique français s'élever au-dessus de la lagune polynésienne. Par la suite, malgré les nombreuses protestations exprimées dans le monde entier et les actions menées notamment par Greenpeace, tous les présidents français se prononcent en faveur de la poursuite des essais. Les risques d'irradiation liés aux explosions, même quand elles sont réalisées sous terre à partir de 1974, sont bien connus. Mais le gouvernement français refuse de faire évacuer les populations locales, "pour des motifs politiques et psychologiques" comme l'indiquent des notes alors confidentielles du ministère de la Défense. Rendus partiellement publics depuis, ces documents encouragent aujourd'hui les populations concernées à demander l'accès à l'ensemble des dossiers, ainsi que des réparations pour les préjudices subis.









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Les secrets des essais nucléaires


Kazakhstan, URSS 1949-1989

On estime à près de cinq cents le nombre d'essais nucléaires qui ont été effectués entre 1949 et 1989 à Semipalatinsk, au Kazakhstan. Aujourd'hui, le périmètre de ces essais s'apparente à un décor de science-fiction...










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Essais nucléaires en Algérie, Polynésie : Quelles vérités?


De 1960 à 1996, quelques 150 000 appelés, civiles et militaire ont participé aux 210 essais nucléaires français. Expérience menée dans le Sahara algérien et aussi en Polynésie française.

40 ans plus tard, ils sont des centaines à en subir les séquelles physique et psychiques.

Depuis plusieurs années, ces vétérans se battaient pour obtenir la création de fond d'indemnisation et suivi sanitaire ; comme c'est le cas aux Etats-Unis, en grande Bretagne, en Australie et au Canada.

Leur combat s'est amplifié ces deux dernière année et l'Etat a finalement élaboré un loi d'indemnisation, votée à l'automne 2009. Ces vétérans ont ils été entendus pour autant? le doute est permis à la lumière de ces témoignages d'homme et de femmes présents dans ce documentaire.

Thierry Derouet et Nathalie Barbe reviennent sur cette période occultée de l'histoire en donnant la parole à ceux qui n'avaient pas été écouté 40ans durant.












Et histoire de bien enfoncer le clou voici une vidéo qui présente et représente tout les essais nucléaires réalisé dans le monde d'après les archives officielles de chaque puissances nucléaires de 1945 à 1998. Une bonne claque si j'ose dire :













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Carte de la radioactivité en France

WikiLeaks : la guerre contre le secret


Après les révélations sur l'Afghanistan qui ont secoué la planète en septembre 2010, les journalistes de WikiLeaks viennent de tirer une seconde salve. Sur l'Irak, cette fois. Des dizaines de milliers de documents confidentiels établissant une cartographie précise d'une guerre sur laquelle on sait peu de choses. Des révélations qui mettent le feu à Washington.

Les journalistes-activistes du site internet WikiLeaks sont-ils en passe de devenir des cibles militaires légitimes ? Les hommes du département de la Défense américain n’ont jamais émis de menaces publiques aussi explicites concernant des hommes de plume et de clavier. Du coup, les hommes de Wikileaks vivent dans une semi-clandestinité.

WikiLeaks a publié plusieurs dizaines de milliers de documents militaires secrets, acquis par des fuites venues de l’intérieur de l’armée américaine : des rapports d’incidents, des notes confidentielles, des vidéos de bavures...

Pour ARTE Reportage, Luc Hermann et Paul Moreira de l’agence de presse Premières Lignes racontent les coulisses de cette nouvelle forme de contre-pouvoir avec ces militants de la transparence, qui secouent les règles trop établies du secret-défense. Ils ont enquêté sur les révélations, mais aussi sur leurs limites. Lorsqu'on les confronte à une solide enquête de terrain, on réalise que les documents internes de l’armée américaine acquis par Wikileaks ne disent pas forcément toute la vérité.

Ils ont suivi Julian Assange, le fondateur du site WikiLeaks, qui vit caché, sans téléphone portable pour qu’aucune machine ne puisse identifier sa position. Charismatique, il cultive les zones d’ombre. Parfois paranoïaque, il se sent dans la ligne de mire. Peut être pas à tort. Ainsi, en Suède est il accusé dans une étrange affaire d'attentat à la pudeur, annulée par la police, puis rétablie par un magistrat. Assange n'en est pas moins libre de ses mouvements et continue à sillonner l'Europe.

A Londres, Washington, Reykjavik et Paris, Luc Hermann et Paul Moreira ont rencontré et interrogé les discrets enquêteurs de WikiLeaks, ainsi que les journalistes d’investigation des plus grands médias qui s’emparent des documents pour poursuivre l’enquête, et ainsi pénétrer dans la matrice de l’armée américaine en guerre en Irak et en Afghanistan. Ils ont aussi retrouvé un soldat américain qui était en Irak au moment de la bavure filmée par l'hélicoptère à Bagdad qui a fait 15 morts, des civils dont deux journalistes de l’agence Reuters. Depuis, le soldat a quitté l'armée, la fuite de la vidéo par WikiLeaks a changé sa vie.
Enquête sur le nouveau contre-pouvoir de WikiLeaks, une révolution qui bouleverse le rapport des citoyens à l’information.





Partie 1 :










Partie 2 :








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Journalisme servile ou opprimé ?


Article source d'Agoravox


Une récente révélation de Wikileaks fait apparaitre sur la presse française une vérité dérangeante, confirmée par un mélange des genres peu souhaitable : ces télescopages entre le monde du pouvoir, et celui de l’information, comme par exemple lors des « diners du siècle ».
Grace à Wikileaks on apprend que l’ambassade américaine à Paris, en date du 25 janvier 2007écrivait déjà ceci :
« Les médias français sont partiellement aux mains de l’état, ou dans les mains d’entreprises privées. Les téléspectateurs français sont en majorité accro aux 6 canaux traditionnels (…) Les grands journalistes sont souvent issus desmêmes écoles élitistes que de nombreux chefs de gouvernement. Ces journalistes considèrent que leur premier devoir n’est pas nécessairement de surveiller le pouvoir en place. Nombre d’entre eux se considèrent plutôt comme des intellectuels préférant analyser les évènements et influencer les lecteurs plutôt que de s’en tenir aux faits ». (Voir à partir du paragraphe 15)
Elle ajoute dans le paragraphe suivant «  le secteur privé des médias en France -journaux, TV et radios- continue d’être dominé par un petit groupe de conglomérats, et les médias français sont plus régulés et soumis à des pressions politiques et économiques que leurs homologues américains (…) Les blogs sont fortement utilisés par les minorités comme un moyen de communication pour exprimer leurs opinions car elles estiment que ces positions ne sont pas retranscrites dans les médias traditionnels ».
On ne peut que constater la lucidité de l’ambassade américaine qui décrit, déjà en 2007, la situation des journalistes en France, (elle s’est encore plus dégradée aujourd’hui) et on comprend mieux pourquoi la presse traditionnelle française s’en est prise comme un seul homme à Julian Assange, l’homme qui dérange.
Tous les médias ou presque insistent lourdement sur « les procédures de la justice suédoise pour viol et agression » sachant parfaitement de quoi il en revient :
En réalité, la plainte de la « violée » avait été retirée quelques heures après son dépôt, et le viol en question concernait le fait d’avoir fait l’amour avec un préservatif qui n’avait pas tenu ses promesses. lien
Or en Suède, faire l’amour sans préservatif est considéré comme un viol.
De plus l’accusation dont il avait fait l’objet était « sexe par surprise » et non pas viol. lien
Or de l’Express, au Point, en passant par le Figaro, et d’autres, tous ne font qu’évoquer ce « viol présumé ».
Ce n’est quasiment que dans la presse étrangère que les journalistes précisent un peu mieux ce qui s’est réellement passé. lien
On peut légitimement s’inquiéter de cette subjective approche de la vérité de la part des médias français.
Faut-il y voir un rapport avec les déclarations d’Éric Besson qui veut expulser Wikileaks du territoire français. lien
La situation est difficile pour les médias traditionnels français, dépendants qu’ils sont, soit de l’état qui les contrôle, soit des lobbies qui les financent.
On sait en quelle « estime » Sarközi tient le service public, comme on a pu le constater lors d’un son « off » avant une interview sur FR3lien
On sait aussi que le chef de l’état s’est donné les moyens de nommer le patron de France télévision, lequel contrôle France2 et France3, (lien) ainsi que France Inter, France Culture, France Info, FIP, France Musique, et France bleu, un réseau de 42 locales de Radio France. lien
Mais il contrôle aussi indirectement les médias privés.
On se souvient de l’éviction brutale de PPDA coupable d’avoir comparé le président à un petit garçon jouant dans la cour des grands (lien) ou à celle de Génestar de Paris Match, (cher à Bolloré) coupable d’avoir montré Cécilia au bras de son amant. lien
Le contrôle des médias que le pouvoir exerce est facilité par les liens qu’il a tissés avec eux.
« le Point » l’a évoqué dans un article. lien
Europe 1 dépend du groupe d’Arnaud Lagardère, (LVMH, Hachette, Filipacchi Médias, et France Télécom) lequel considère Sarközy comme son « frère ». lien
Serge Dassault, dont dépend « le Figaro » est aussi un des amis du Président.
Il faisait partie de la liste des privilégiés du « célèbre » repas du Fouquet’s, qui célébrait la victoire de Sarközi.
Il n’est d’ailleurs pas inutile de se remettre en mémoire cette liste, car on voit ainsi les liens étroits que les puissants patrons des médias ont avec le chef de l’état. lien
Ce qui relie ces journalistes « de l’élite » c’est leur tendance à ne pas poser les « questions qui dérangent », ou alors qu’ils effleurent, version soft, sans trop insister, si par malheur l’interlocuteur sort sa plus belle langue de bois.
On se souvient de l’interview de Sarközi que Pujadas a réalisée en juillet 2010, qualifié de « honteux » par Jean François Téaldi, sécrétaire général du SNJ-CGT :
« Une heure de communication sans opposition avec un journaliste KO debout face au président, un journaliste complaisant, incompétent sur les dossiers traités, notamment sur les retraites, et laissant Nicolas Sarközi avancer des contre-vérités ». lien
Ne parlons pas de Jean-Pierre Pernault, le journaliste de « la France profonde », celle du terroir régional, évitant d’évoquer la misère ou le chômage, mais prolixe sur la qualité d’un fromage, ou la beauté d’une danse Folklorique.
Sa prestation anesthésiante face au chef de l’état frôlait le degré zéro.  lien
Avec Arlette Chabot, ce n’est guère mieux : elle a subi sans broncher une colère noire du chef de l’état qui l’a humiliée publiquement pendant ¼ d’heure à la suite d'une interview. lien
Sarközy a regretté ce jour là qu’il n’y ait plus de « vraies émissions politiques », regrettant l’heure de vérité, chère à Henri de Virieu.
Et pourtant, malgré toutes ces humiliations, Chabot et Pujadas, avec beaucoup d’autres se pressent servilement au « diner du siècle » pour y rencontrer les puissants patrons du pays, et le chef de l’état, puisque tous ceux-ci sont membre du même club. lien
Rappelons que le prochain « diner du siècle » devait avoir lieu le mercredi 22 décembre, à l’Hôtel Crillon, place de la Concorde, et que devant la pression populaire, il a été annulé.
Sur le net, de nombreux blogs avaient appelé a participer à un apéro citoyen devant les portes du Crillon, et il est probable qu’ils auraient été nombreux, ceux qui seraient venu protester contre cet étrange et discutable mélange des genres. lien
Mais revenons à nos journalistes.
Certains acceptent de préparer les questions avec l’interviewé, afin d’éviter les « impairs ».
D’autres vont encore plus loin en bidonnant des reportages.
Comme Alexandre Delpérier, lorsqu’il a fait croire avoir réalisé une interview de Domenech (lien) ouPPDA pris la main dans le sac pour son interview bidon le 16 octobre 1990 avec Fidel Castro. lien
D’autres plus subtils, bidonnent les interviews en ne gardant que la partie caricaturale des propos, faisant dire aux interrogés ce que le journaliste veut entendre.
« Arrêt sur Image » relate un épisode révélateur lors d’un documentaire réalisé en banlieue par Cathy Sanchez. lien (la cité du mâle)
Et pourtant, ils sont nombreux à ne pas se sentir concernés, tel Alain Duhamel qui clame « je ne suis pas manipulable  »
Lorsqu’on l’interroge sur le désamour des français par rapport aux journalistes, il propose une réponse candide :
«  C’est une des dimension de la crise de la démocratie, ou de la crise de la représentation. Nous avons un rôle, une fonction dans la société politique. Quand celle-ci est en crise, tous ceux qui en font partie sont mis en cause. C’est le cas des journalistes, qui la co-symbolisent. On est furieux contre le monde politique, on est donc également furieux contre ceux qui l’interrogent, et le commentent. C’est inévitable ». lien
Jolie tour de passe-passe !
Ce n’est pas la faute du journaliste, c’est la faute de la crise.
Décidément, elle a bon dos.
Proposons-lui de s’interroger sur le respect que les français portent de plus en plus aux journalistes courageux : ceux de médiapart, de rue 89, du canard enchainé, et de quelques autres, malheureusement pas assez nombreux.
Proposons-lui d’expliquer pourquoi les sites internet de presse libre ont de plus en plus de succès.
Les tribunes qu’ont les journalistes vedettes de s’exprimer ne manquent pas : d’Aphatie à Bourdin en passant par Fogiel, Parizot, Demorand, Poincarré, Pernault et Ferrari, il est difficile d’y échapper, à moins de se priver de journaux, de Radio et de TV.
Et pourtant, ils sont mal aimés, et chacun y va de son explication, sans évoquer un seul instant la raison essentielle du désamour dont ils sont l’objet. lien
Ils songent rarement à remettre en cause leur servilité, leur manque d’insolence, ni leur difficulté à poser les questions qui dérangent.
Alors comme dit souvent mon vieil ami africain :
« La gaité du chien est dans sa queue ».
L'image illustrant l'article vient de : luttennord.wordpress.com





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Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...